Il n'est pas trop tard pour les découvrir... ou les offrir !
" Tu n'es pas seule à chercher "...
Ce mot anonyme laissé sur son paillasson est plus qu'un appel : un électrochoc. Cette fois, l'inspectrice Grace Campbell le sait, elle n'a pas le choix. Elle doit ouvrir la porte blindée du cabinet situé au fond de son appartement. Et accepter de se confronter au secret qui la hante depuis tant d'années...
Des confins de la campagne écossaise aux profondeurs de la Forêt-noire où prend vie le conte le plus glaçant de notre enfance, jamais Grace n'aurait pu imaginer monter dans ce train surgi de nulle part et affronter le Passager sans visage...
Avec ce thriller au suspense angoissant, Nicolas Beuglet nous plonge dans les perversions les plus terribles de nos sociétés. Et, au passage, nous interroge : et si parmi les puissants qui régissent le monde se cachaient aussi des monstres sans visage ?
Un train, un passager sans visage, une organisation terrifiante
" Nicolas Beuglet, le nouveau phénomène du polar français. " Sandrine Bajos,
Le Parisien
Après le succès du Dernier Message, Nicolas Beuglet revient avec une nouvelle enquête de Grace Campbell.
Sous une plume vive et fluide de Nicolas Beuglet, une intrigue redoutablement construite qui tourne autour de l’héroïne Grace Campbel et son passé. Un nombre limité de personnage nous permet de savourer ce thriller. Nicolas nous régale encore une fois avec un travail très bien documenté.
"Un passager sans visage" qui, pour ma part, ne fera que passer...Annoncé comme un thriller redoutable et moi, déçue dans mes attentes...
L'inspectrice écossaise Grace Campbell, après réception d'un mystérieux message, se décide à ouvrir la porte derrière laquelle se trouve "le secret de son enfance" Mise en scène théâtrale et moult états d'âme.
Amnésie traumatique, remontée partielle de souvenirs douloureux et souffrances.
La mission de Grace sera de retricoter et venger son enfance profanée.
Et dès lors on bascule dans une enquête surréaliste, ce qui pourrait ne pas me déranger outre mesure, si elle n'était pas laborieuse. Résoudre une enquête de pédocriminalité à partir du conte du joueur de flûte de Hamelin !
Et remonter la piste grâce à des rencontres particulièrement providentielles, échapper aux dangers sur le mode Indiana Jones, rencontrer la folie des hommes, côtoyer l'univers de Fantomas ou James Bond et ses méchants mégalos sans jamais l'atteindre...
Y caser tous les poncifs actuels de la surexploitation de la planète, pollution, rôle des médias, appauvrissement culturel etc...etc...
Peut-être le tome 3 de la trilogie Campbell sera-t-il plus..."vertigineux" ?
Nous retrouvons ici l’inspectrice Grace Campbell. Celle-ci, qui s’est à peine remise de sa précédente enquête, reçoit un étrange message anonyme. La voilà repartie pour une nouvelle enquête, mais cette fois à la recherche de son passé douloureux, pour enfin comprendre ce qui lui est arrivé quand elle n’avait que 10 ans.
L’auteur nous entraîne cette fois à la découverte d’un complot mondial machiavélique et inconcevable.
Encore un bon roman, j’entame d’ailleurs le 3ème roman de la série.
Encore un roman haletant de Nicolas Beuglet
Ce mot anonyme laissé sur le paillasson de Grace Campbell va raviver de nombreux souvenirs . Elle va devoir ouvrir cette mystérieuse pièce dans son appartement et enquêter sur son propre passé.
Dans Le passager sans visage, Nicolas Beuglet nous en apprend beaucoup plus sur l'enfance de l'enquêtrice Grace Campbell. Le récit est bien mené dans son ensemble et assez haletant.
Certains passages sont même assez violents psychologiquement. Je les ai même trouvés malsains.
Comme à son habitude, Nicolas Beuglet s'est basé sur des recherches et des faits réels. Et c'est là que l'auteur m'épate à chaque fois. À chaque roman, je me dis que ce n'est pas possible. Mais si, à la fin du livre, l'écrivain nous donne ses sources et c'est assez bluffant.
Encore une chouette enquête de Grace Campbell.
Avec ce livre qui est une suite directe du « Dernier message » , mais qui peut être lu indépendamment, nous retrouvons l’agente Ecossaise Grace Campbell , son chef Eliott Baxter et d’autres personnages revenus d’entre les morts.
Le suspense est toujours aussi bien entretenu, l’action est présente à chaque page, les rebondissements nombreux et savamment distillés tout au long du thriller font que nous ne pouvons plus le quitter.
Grace Campbell, quelques mois après son enquête périlleuse au Groenland, trouve sur son palier une lettre qui réveille son passé et l’oblige à ouvrir sa pièce secrète. Elle va plonger dans l’obscurité malfaisante de son passé et enquêter afin de trouver ceux qui lui ont volé sa vie. Ce faisant, elle va découvrir la nébuleuse qui se cache derrière ses actes méprisables et comprendre que son enquête ira bien au-delà de ce qui s’est passé naguère.
Cette nouvelle enquête nous plonge dans la pire perversion de nos sociétés dites civilisées et nous amène à ne plus considérer de la même façon les contes qui baignèrent notre enfance.
Tout comme dans « Le dernier message », Nicolas Beuglet, porte un regard acéré et sans complaisance aucune sur notre société qu’il dissèque .Il nous amène à réfléchir profondément sur les risques de la technologie et du numérique qui prennent une place toujours grandissante dans notre quotidien et nous asservit.
Le point de départ de ses fictions étant un fait avéré, l’histoire en elle-même est glaçante mais la réalité qui l’a nourri n’en est pas moins troublante.
Donnant congé à Sarah Geringën au terme de trois passionnantes aventures, Nicolas Beuglet nous présentait ensuite Grace Campbell, une inspectrice écossaise plus tourmentée qu’il n’y paraît, qui ne demandait qu’à prouver ses capacités et compétences à sa hiérarchie comme à ses lecteurs, ce qu’elle a brillamment fait dans « Le Dernier Message« , également paru aux éditions XO et désormais disponible chez Pocket. Aussi étais-je ravie de la retrouver en librairie à la rentrée pour cette nouvelle aventure, certes différente mais tout aussi captivante !
S’il n’est pas indispensable d’avoir lu « Le dernier message » pour rencontrer « Le Passager sans visage« , je vous conseille toutefois de lire ces deux opus dans l’ordre, non seulement parce que ne pas le faire serait gâcher, mais surtout parce qu’il vous permettra de faire connaissance avec Grace Campbell dans les meilleures conditions.
Non content de la faire revenir sur le devant le scène (de crime), Nicolas Beuglet place en effet son héroïne au cœur de son roman… Je dirais même qu’elle EST le cœur du roman tant l’intrigue, redoutablement bien construite et maîtrisée comme jamais, tourne véritablement autour d’elle et son passé dont je ne peux décidément rien vous dévoiler au risque de vous spoiler !
Toujours est-il qu’on retrouve Grace Campbell peu ou prou là où on l’avait laissée avant de la suivre de l’Ecosse aux Alpes Suisses en passant par la Forêt Noire pour une enquête qui s’annonce bigrement retorse et d’autant plus saisissante qu’elle est, une fois encore, inspirée de faits réels : Tel est l’ADN littéraire de Nicolas Beuglet.
Tandis qu’on redécouvre un célèbre conte pour enfants dont on n’avait pas saisi toute l’horreur, l’auteur aborde de nombreuses thématiques tristement d’actualité et nous entraîne à la poursuite d’une terrible organisation aux desseins plus sombres que les abysses, ceci sans nous laisser le moindre répit jusqu’à un final aussi ahurissant que frustrant : Dire qu’on n’avait pas vu venir celle-ci relève du pur euphémisme, et il va maintenant nous falloir attendre… C’est officiel : Nicolas Beuglet est un talentueux sadique !
Parce qu’au delà de cette couverture particulièrement intrigante, on ne tarde pas à se laisser embarquer par ce récit de haut vol servi par une plume fluide, vive et addictive, un style direct, efficace et percutant… Pour un moment de lecture tout simplement fascinant.
En bref, un thriller d’autant plus prenant et captivant qu’il ne manque pas de nous faire réfléchir… Sans nous empêcher d’enrager de devoir ainsi patienter : Je suis prête pour la phase 3, qu’on se le dise !
(Chronique complète : https://deslivresetmoi7.fr/2021/11/chroniques-2021-le-passager-sans-visage-de-nicolas-beuglet.html)
Tout le long de ma lecture, je me suis demandée ce que faisait ce train en couverture. Ce n’est que dans les dernières pages que le mystère s’éclaircit.
Mais avant cela, nous retrouvons l’inspectrice écossaise Grace Campbell qui reçoit un bien étrange message qui l’oblige à ouvrir sa porte secrète et à se plonger dans son passé.
Nous la suivons ainsi à la recherche de son ravisseur lorsqu’elle était enfant. Petit à petit, ses souvenirs remontent à la surface.
J’ai aimé l’univers des contes morbides qui sont le fil conducteur de son enquête. Car oui, les contes ne sont pas féériques mais violents.
J’ai souris car c’est la première fois que je lisais le pronom « iel » dans un roman.
Encore une fois, l’auteur part de faits réels qui dépassent la fiction pour nous entraîner dans une histoire que l’on n’aimerai pas vivre.
Quelques citations :
La sécurité doit devenir la religion des individus, celle pour laquelle ils renonceront à tout le reste. Cette envie de protection doit s’infiltrer partout. Elle doit devenir si impérieuse, si nécessaire que la liberté sera perçue comme un luxe que l’on ne peut malheureusement plus s’offrir.
Ceux qui contrôlent la peur des gens deviennent maîtres de leur âme.
L’image que je retiendrai :
Celle du fameux passager qui veut devenir le Maître du Monde.
https://alexmotamots.fr/le-passager-sans-visage-nicolas-beuglet/
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