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Le Crime de l'Orient-Express Par le plus grand des hasards, Hercule Poirot se trouve dans le wagon de l'Orient-Express - ce train de luxe qui traverse l'Europe - où un crime féroce a été commis. Une des plus difficiles et des plus délicates enquêtes commence pour le fameux détective belge. Autour de ce cadavre, trop de suspects, trop d'alibis. Privé de tous les moyens d'investigation habituels, ne pouvant contrôler les déclarations des voyageurs, Hercule Poirot ne devra compter que sur son intelligence et son flair.
Le Crime de l'Orient-Express est l'un des plus célèbres romans d'Agatha Christie.
Un crime parfait
Au retour d'Alep et alors qu'il comptait prendre quelques jours de repos à Constantinople, Hercule Poirot est rappelé à Londres pour une affaire urgente. Il parvient à trouver une cabine dans le train Constantinople-Londres et embarque dans le luxueux Orient-Express pour un voyage de plusieurs jours. Une nuit, alors que le train est immobilisé en rase campagne par une tempête de neige, l'un des passagers, un homme, est assassiné, lardé de plusieurs coups de couteau… Hercule Poirot est chargé de l'enquête par le directeur de la Compagnie Internationale des Wagons Lits.
Un lieu clos, une galerie de personnages, un crime qui semble parfait : Agatha Christie au sommet de son art !
Une relecture plaisir en ce début de vacances.
Pour rêver un peu : https://www.geo.fr/voyage/accor-relance-lorient-express-entre-paris-et-vienne-premier-depart-annonce-en-2024-210708
L'Orient-Express, ce train de luxe qui circulait à travers l'Europe vers Constantinople, un véritable rêve de confort et de richesse, synonyme d'exotisme et d'argent, est transformé dans ce livre haletant en scène de crime. Un des passagers est retrouvé assassiné alors que le train est arrêté au milieu de nulle part, et la neige qui n'a cessé de tomber toute la nuit ne porte aucune trace de pas. L'assassin est donc toujours là. Hercule Poirot, voyageant par hasard à bord du train, est prié d'enquêter discrètement pour identifier lequel des passagers est le ou la coupable du meurtre, avant que le train ne reparte. Il s'agit donc d'aller vite et de ne pas se tromper. Est-ce la belle comtesse hongroise? Son mari au comportement étrange? La vieille aristocrate russe si méprisante? Et que dire des conclusions du médecin qui a examiné le cadavre: les coups indiquent tantôt un gaucher, tantôt un droitier... Il semblerait que l'assassin, cette fois-ci, ait si bien couvert ses traces qu'il soit bien près d'échapper à Poirot. Le petit détective belge parviendra-t-il à retrouver l'auteur de l'abominable crime? Je prends toujours autant de plaisir à relire les romans policiers de la Reine du Crime, qui pour moi a le don de créer en quelques pages une atmosphère dans laquelle on se plonge au point de s'oublier. Agatha Christie se révèle systématiquement une fine observatrice de la psychologie humaine, montrant avec malice nos failles et nos contradictions. Si crimes sordides et haines tenaces émaillent ses œuvres, ils ne sont jamais évoqués de manière extrêmement violente et voyeuriste, ni avec ce côté presque pervers que l'on peut parfois retrouver dans d'autres polars. Dans "Le Crime de l'Orient-Express", elle est à son apogée et nous présente un huis clos passionnant où on peine à trouver le coupable... A découvrir.
Ces passagers de l'Orient Express semblent tous différents... mais ont pourtant un point commun!
C'est ce détail qui permettra à Hercule Poirot de résoudre cette enquête bouleversante qui se déroule dans le train nommé orient Express, malheureusement bloqué par la neige.
Un roman saisissant, l'auteure française Agatha Christie montre l'ampleur de sa maîtrise du suspens lors du raisonnement d'Hercule Poirot au dénouement de l'enquête!
Je vous conseille vivement de le lire!
Le début fut extrêmement lent, mais je pu m'empêcher d'apprécier le style de lecture, très British.
On remarque très vite que ce détective, fait attention à tous les petits détails des passagers.
L'enquête est intéressante, car dans le cadre d'un huis clos, ou toutes les personnes présentes peuvent être soupçonnées.
La personne qui est décédée est responsable d'un autre méfait, et toute l'intrigue va tourner autour de ce drame.
Qui va se venger ?
J'ai bien aimé les retors de l'investigation mais je n'ai pas été passionnée par l'histoire.
Après je dirais que ça soit une déception, ce n'est pas le cas, mais bon c'était sympatrique mais je n'ai pas aimé plus que ça.
Cela manquait probablement un peu de pep, de punch, j'ai vraiment du mal avec les lectures avec un rythme assez lent.
La cadence était assez indolente, et je n'ai pu vraiment me laisser embarquer.
Après je ne me suis pas ennuyé, on se laisse prendre par les théories du détective, mais je pense que c'est une lecture que j'oublierais vite.
Éventuellement une autrice comme Agatha Christie, n'est pas faite pour moi, après je ferais une nouvelle expérience, mais pour l'instant, je ressens un avis mitigé sur cette lecture.
Marathon Agatha Christie ré-enclenché !
Et ce deuxième titre de l'année n'est pas le moindre, c'est en effet une des enquêtes les plus célèbres d'Hercule Poirot, voire même la plus célèbre, maintes fois adaptée pour le cinéma ou la télévision.
La version de Kenneth Branagh en 2017, avec sa formidable moustache, m'avait d'ailleurs beaucoup plu.
De retour après une affaire rondement menée en Syrie, notre détective belge trouve à la dernière minute et grâce à son ami M. Bouc, directeur de la compagnie des wagons-lits, une couchette à bord de l'Orient-Express, inhabituellement bondé.
Lors de la première nuit, l'homme occupant la cabine voisine de celle de Poirot, est assassiné ; l'occasion pour le célèbre détective d'enquêter alors que le train est immobilisé en raison des fortes neiges.
Si j'aime me faire balader, j'aime aussi parfois lire une enquête en connaissant d'avance le dénouement, afin de lire entre les lignes, d'essayer de mener moi-même l'enquête.
Mais je suis beaucoup moins douée qu'Hercule Poirot pour déjouer les pièges tendus par les témoins et je n'aurais pas été capable de démasquer le ou les coupables.
Du fait de l'absence de Hastings, l'attention se porte moins sur le personnage de Poirot, et plus sur l'enquête, même si Bouc tient un peu ce rôle de faire-valoir.
Ce qui m'est apparu par contre, en lieu et place des états d'âme de Poirot, beaucoup plus apparents dans les adaptations, c'est que ce dernier cherche plus la vérité, le plaisir de faire fonctionner ses petites cellules grises pour résoudre un puzzle intellectuel, qu'il ne cherche à faire appliquer la loi. En cela, il m'a rappelé Sherlock Holmes et Dr House, deux de mes personnages de fiction favoris.
Comme tout un chacun, je connais Agatha Christie, et son fameux détective belge, Hercule Poirot (il n'y avait d'ailleurs qu'un/e anglais/e pour trouver un nom pareil).
Jusqu'à présent, je n'avais lu que Mort sur le Nil et Cinq petits cochons, et surtout Les Dix petits nègres qui m'avait fait très forte impression à l'époque.
J'avais Le Crime de l'Orient-Express (ou plutôt Murder on the Orient Express) depuis pas loin de vingt ans dans ma PAL (j'ai encore l'étiquette derrière le roman, il m'avait coûté 39 francs à l'époque).
Cette lecture ne fut pas une surprise pour moi car je connaissais déjà l'histoire pour avoir vu les adaptations cinématographiques (le film de Sydney Lumet avec l'excellent Alfred Finney en 1974, puis celui de Kenneth Branagh, dans le rôle du détective également, en 2017).
Alors qu'il pensait prendre quelques jours de congé bien mérités, Hercule Poirot est rappelé à Londres de toute urgence. Il arrive in extremis à prendre place dans le célèbre Orient-Express où un meurtre va être commis. Très rapidement, il est établi que la victime était un homme fort peu aimable, au sens premier du terme, puisqu'il avait élaboré l'enlèvement de la petite Daisy Armstrong afin d'extorquer de l'argent à ses fortunés parents. Malheureusement, malgré le versement de la rançon, la petite fille sera retrouvée morte et une série d'événements tragiques découlera de ce décès parmi les proches de la famille Armstrong. L'agresseur n'aura pas payé pour son crime et vivra dans l'opulence sous un nom d'emprunt. Mais, finalement, quelqu'un l'aura reconnu, l'aura retrouvé, lui aura fait payer son geste atroce. Mais qui ? La seule chose certaine est que c'est l'une des personnes à bord du train car, ce dernier, bloqué par la neige, n'a pas pu prendre de nouveau voyageur. Et aucune trace de pas n'a été retrouvée dans la neige, preuve s'il en est que le meurtrier était déjà à bord de l'Orient-Express au moment du crime et s'y trouve encore.
Agatha Christie s'est appuyée sur deux faits divers pour écrire ce roman : l'affaire du bébé Lindbergh, kidnappé la nuit du 1er mars 1932 et retrouvé mort un peu plus de deux mois plus tard, ainsi que le réel blocage pour cause d'intempérie du célèbre train en 1929. Il n'en fallait pas davantage pour que la reine du crime écrive une de ses plus célèbres enquêtes.
Même si je connaissais la fin – ce qui est plutôt ballot quand on lit un policier – j'ai pris beaucoup de plaisir à me glisser dans ce huis-clos hivernal et à revivre l'histoire.
La résolution est surprenante, à plusieurs niveaux. Je n'en dirai pas davantage pour ceux qui ne connaîtraient pas ce roman.
Un très agréable moment de lecture, un roman qui se lit très vite.
Un tout petit bémol (mais parce que je l'ai lu en version originale) : le livre est truffé de petites phrases en français, puisque Hercule Poirot est belge et francophone, ce qui est très plaisant et rigolo. Par contre, même si je comprends l'impossibilité pour Agatha Christie d'écrire un dialogue complet en français, cela m'a semblé très artificiel que deux personnages francophones dans le roman échangent en anglais (ce qui bien sûr ne se retrouve pas dans la traduction). Mais ce n'est finalement qu'un détail.
Le train Stamboul-Calais bloqué par la neige. Un mort. Une dizaine de passagers. Tous sont suspects. Démarre alors une enquête à huit clos magistralement construit.
Qui est coupable ?
Hercule Poirot qui, après une enquête en Syrie est rappelé à Londres, fait partie des passagers et est mandaté par le directeur pour mener l’enquête. Et il va le faire d’une main de maitre !
Agatha Christie a écrit ce livre en 1933 et c’est sûrement l’un des plus connu de l’auteur
J’ai aimé cette lecture ! On voyage dans le luxueux Orient-express. L’intrigue est parfaite, ingénieuse, la fin est époustouflante.
Hercule Poirot, certainement ancêtre de Colombo, est brillant. Il fait preuve d’ingéniosité, de minutie et de persévérance. Il a un don assez impressionnant pour résoudre cette enquête. J’ai adoré son esprit de déduction, sa façon de poser les questions.
Les autres personnages sont vraiment très intéressants. Ils ont tous quelque chose à cacher et chacun joue un rôle particulier dans cette histoire, et quand on connait la chute, on pose un regard différent sur chacun d'entre eux. Agatha Christie est très forte et je me suis retrouvée bluffée. En effet, la complexité de l’intrigue est telle qu’il est impossible de voir où l'auteur nous emmène. On en peut donc que subir passivement les évènements se déroulant dans une ambiance de luxe et d’aventure du début du 19ème siècle.
Niveau ambiance, j’y étais ! Le train d’époque, les mensonges, les wagons-lits, et bien sûr la neige !
Agathe Christie signe ici l'un de ses plus grands chefs-d’œuvre et je ne me suis pas attendue une seconde à cette fin que l'on peut qualifier de grandiose. Et en plus j’ai adoré lire ce livre d’une édition ancienne qui me rappelle l’époque où ma mère lisait dans on fauteuil.
A lire sans faute !
Retour à mes premières amours avec ce grand classique. Agatha Christie m'a donné le goût de la lecture et le goût du polar.
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