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Un grand roman, suprêmement bien ficelé Julie Malaure, Le Point Le nouveau roman policier de l'autrice de La Petite Ritournelle de l'Horreur.
Avec des personnalités noires et effrayantes, ce polar rythmé fonctionne formidablement. Sud-Ouest N'oubliez jamais que n'importe qui peut se rendre coupable du pire...
Trois heures du matin, dans une maison isolée à proximité de l'étang de Prigonrieux, Brisseau découvre le cadavre d'une femme. Aussitôt, une hypothèse se dessine : suicide. Pour ce capitaine fatigué du métier, le soulagement est intense, l'enquête devrait être bouclée sans difficulté. Pourtant, très vite, tout se complique.
Une seconde victime est retrouvée à la cave, flottant dans une cuve d'acide. Et le premier corps se révèle être celui d'une ex-flic. Une flic qui ne faisait pas l'unanimité auprès de ses collègues. Une flic dont le sens de la justice surpassait tout, quitte à se mettre en danger pour traquer des assassins. Une flic, surtout, hantée par deux affaires non résolues.
De là à imaginer qu'elle commençait à s'approcher trop près de la vérité, il n'y a qu'un pas. Et Brisseau pourra compter sur l'énergie de la jeune lieutenant Marianne Decointet pour démêler les fils de ce tableau dans lequel le mal semble s'être insinué partout...
J'ai découvert Cécile Cabanac avec "le chaos dans nos veines", et c'est une révélation.
Le roman débute par la découverte du corps d'une ancienne flic, Cécile Arbin dans une maison abandonnée et le début de l'enquête menée par le duo de policiers Remy Brisseau et Marianne Decointet.
Le titre fait écho à la thématique centrale du roman : l'hérédité et la question de la naissance du Mal.
De vielles affaires vont remonter à la surface et faire ressortir la noirceur des personnages. L’histoire est complexe, pleine de rebondissements, avec des mensonges et des secrets de famille.
Ce thriller haletant est addictif.
Cécile Cabanac est une écrivaine de polars que je lis assidûment depuis son tout premier roman. Après un final bouleversant et étourdissant dans La petite ritournelle de l’horreur, j’avais plus que hâte de me plonger dans cette nouvelle lecture. Première surprise, nous ne retrouvons pas l’équipe de la commandant Virginie Sevran mais une nouvelle équipe, celle de Rémy Brisseau et Marianne Decointet. Je me suis immédiatement attachée à eux, je les ai trouvés humains, en particulier Rémy qui peine à jongler entre sa vie professionnelle et sa vie familiale. Notre équipe est appelée dans une maison abandonnée où gît une ex-agent de police, tuée par balle. Dans une autre pièce, une cuve d’acide renferme un corps non-identifié. C’est le début d’une très vaste enquête.
J’ai lu ce roman en moins de 24 heures, tant je l’ai trouvé addictif. Les différents chapitres sont consacrés à différents protagonistes et surtout, à différentes époques. Cette enquête est clairement de grande ampleur !
J’ai été agréablement surprise par la tournure que prenait l’intrigue. Je me suis sentie baladée, comme les enquêteurs, notamment concernant l’identité du corps dans la cuve. Différentes affaires, différentes époques mais un seul lien, dont les contours ne se dessineront qu’au fil des chapitres. Une fois de plus, j’ai aimé les thématiques abordées : le droit pénal, les cold-cases, les agressions sexuelles, les origines du Mal, entre autres !
Pour conclure, Cécile Cabanac monte encore d’un cran avec ce polar très réussi !
Ma première expérience avec Cécile Cabanac avait été la bonne. En effet, « La petite ritournelle de l’horreur » avait été un de mes coups de cœur de l’année 2022. N’ayant pas pris le temps de lire ses précédents livres, j’étais dans les starting-blocks pour accueillir le nouveau.
Dès le début du roman, on comprend que le meurtre de la policière découle d’une de ses affaires du passé. De chapitre en chapitre, le récit fait donc des allers-retours dans le temps. On suit en parallèle les deux enquêtes. Plus on avance dans l’histoire, plus des éléments sont apportés au puzzle. Celui-ci prend forme au fil des pages et il nous réserve de belles surprises.
Comme l’aventure est mené sur un rythme soutenu, avec des chapitres courts, on est absorbé par la lecture. Et comme le texte est entrecoupé des pensées du tueur, la tension est d’autant plus grande et on a vraiment envie de connaître le fin mot de l’histoire.
C’est un roman qu’il faut aborder sur de longues plages horaires afin d’appréhender au mieux toute la mécanique mise en place. L’autrice a peaufiné une intrigue d’une grande complexité avec de multiples ramifications. De plus, elle prend le temps d’approfondir ces acteurs. Elle leur donne des nuances qui nous les rendent insaisissables. Le résultat est un casse-tête qui va vous donner mal à la tête. Plusieurs fois, j’ai pensé avoir trouvé la solution mais mon enthousiasme a été douché par les nouvelles révélations.
Tout ce qui m’avait plu chez Cécile Cabanac s’est confirmé dans ce dernier né. J’ai retrouvé toute l’efficacité d’un thriller maîtrisé. Une nouvelle fois, elle n’y va pas avec le dos de la cuillère pour faire appel aux bas instincts de l’être humain et pour nous confronter aux comportements les plus diaboliques. Embarqué dans cet univers d’esprits tordus, j’y ai encore pris un plaisir malsain !
https://leslivresdek79.wordpress.com/2023/04/24/842-cecile-cabanac-le-chaos-dans-nos-veines/
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