Encore plus de livres à rattraper ou à offrir en cette fin d'année !
« Ce livre me fait peur. Le processus a été douloureux. Mon père nous a annoncé qu'il n'allait pas tarder à mourir et je me suis mis à écrire. Trois années au peigne fin, mes relations, mes pensées paranoïaques, mon rapport étrange à lui, crachés sur le papier. Je me suis donné pour but de le tuer avant qu'il ne meure. C'est l'histoire de quelqu'un qui cherche à tuer. Soi, ou le père, finalement ça revient au même. »Panayotis Pascot s'attaque d'une plume tranchante et moderne à trois thématiques qu'il tisse pour composer un récit autofictionnel aussi acide qu'ultralucide. La relation au père, l'acceptation de son homosexualité et la dépression s'enchevêtrent ici dans un violent passage à l'âge adulte. Mais la lumière en sort toujours, d'un regard, d'une façon d'observer le quotidien avec autant de tendresse et d'humour que de clairvoyance.
Encore plus de livres à rattraper ou à offrir en cette fin d'année !
"Je comprends, la mémoire, c'est la vie sans l'urgence de la vie, sans la gravité, c'est l'espace sans le temps. C'est un endroit qu'on façonne, une zone de confort, l'on peut revivre, une deuxième fois, sans le poids des conséquences, des nuits d'angoisse. Je comprends qu'on ait envie d'y vivre."
Un roman autobiographique qui sonne juste, vrai, lucide et que j'ai trouvé touchant.
Ce roman est un exutoire très personnel des rapports entre un père et un fils. Mais quelques pages et je m'ennuie déjà devant les descriptions de sexe mou , d'anus et j'en passe! il y'en a des pages et des pages ! c'est tellement long ...Un texte brut , violent. c'était quoi son but , Nous choquer?
Bref je pensai passer un beau moment de lecture, j'avais vu son passage dans la grande librairie mais non... cette lecture n'est pas pour moi, j'essaie d'avancer et au fil des pages je me demande quel était le but recherché par son auteur? Et non je ne le connais pas mieux à la fin, je vais vite l'oublier
Je découvre la vie et ce Chroniqueur, Panayotis Pascot qui travaille dans une émission de TV, sa biographie parle de son homosexualité, de son coming out, de la dépression et de sa relation avec son père. Cette autobiographie résonne comme un cri du coeur, intime et bouleversant, il traite de sujet difficiles, c'est une sorte d'exutoire pour Panayotis mais cela libérera aussi la parole de d'autres personnes, malgré un manque de fluidité et une histoire très personnelle, le livre est intéressant à découvrir.
Récit autobiographique brut et authentique, "La prochaine fois que tu mordras la poussière" est une virée intérieure de Panayotis Pascot qui se livre sans fard et sans tabou.
Il y décrit par petites touches sa relation avec son père qui lui a annoncé sa mort prochaine : comment profiter de ses derniers instants sans faire éclater cette pudeur qui est la leur?
Il y raconte aussi - et surtout sans doute- son long périple vers l'acceptation de sa sexualité et la place que les hommes de sa vie ont joué pour lui. Ces pages sont sans nul doute très fortes car elles montrent cette lutte intérieure et initiale pour se conformer à une idée pré-forgée, comme une injonction de la société.
J’avoue que je connais assez peu le personnage.
Mais ce fût l’occasion de le découvrir un peu plus avec son livre.
Un récit vraiment intime.
L’auteur aborde la perte de son père.
Il évoque également sa vie à lui, ses relations sentimentales, sa sexualité, ses angoisses.
L’écriture est très crue.
Parfois même un peu trop à mon goût.
Ce qui m’a je pense empêché de vraiment accrocher à ce texte.
Un livre audio que j’ai pu découvrir grâce à @netgalley @netgalleyfrance
Alors que son père approche de la fin de vie, Payanotis Pascot décide d’écrire sur sa propre existence et de diffuser au grand jour cette autobiographie, ses relations désastreuses avec son père comme ses déflagrations personnelles qui l’ont mené dans le chaos de la dépression.
Compatissante sur ses longues années de doute, de souffrance et de grande solitude, j’ai plus de difficultés à lire tant de révélations très intimes lancées dans le grand au-delà de la sphère publique … quel intérêt ?
J’aurais préféré rester sur l’image que m’avait laissée Panayotis Pascot dans l’émission « La Grande Librairie », émission qu’il avait d’ailleurs conclue avec un texte personnel touchant.
N.B : Livre audio. Genre : Roman contemporain Avis : DESTABILISANT
La vox populi m’avait incitée à lire ce roman qui caracole en tête des classements, sirènes auxquelles je cède rarement mais Audiolib a répondu si vite à ma demande que je m’y suis plongée sur le champ. Soyons honnête, 250 km, le livre au lieu de la radio, et je savais tout. Alors j’ai pu remonter à la surface. Car c’est d’une immersion qu’il s’agit, on plonge et on remonte à bout de souffle. La voix de Gabriel Bismuth-Bienaimé y est pour beaucoup, je pense. Chaude, envoûtante, elle colle aux mots de façon intime, leur donnant corps et âme.
Panayotis Pascot que j’avais vu alors qu’il faisait partie des plus jeunes journalistes de la télévision, tape fort ! Comme c’est sur lui, il en a bien le droit mais il fait bien attention de ne pas trop égratigner ceux qui partagent sa vie. Il se veut coupable de tout et pour tout. Et ce que l’on voit, c’est un garçon perdu qui veut pénétrer à tout prix et se laisser pénétrer. Hélas, à l’époque qu’il décrit, il n’avait pas encore accepté de faire ou de se laisser faire. En revanche, être sur scène, être regardé, pour de bonnes ou de mauvaises raisons, il l’a voulu très tôt.
Si ce livre est un exutoire pour lui, un somnifère géant puisqu’il ne peut dormir qu’après avoir apprivoisé les ombres de la nuit par l’écriture, je reste mitigée sur la vérité absolue libérée. Il a un trop grand sens du spectacle pour cela. Malgré ce qui peut sembler être des réserves, j’ai trouvé ce livre fascinant.
J’ai reculé une seule fois devant une description qui ne m’a pas semblé indispensable à la compréhension générale, mais le reste du temps j’ai été scotchée et touchée par le terrible mal-être exprimé et subtilement décrit. Mettre des mots sur la dépression mélancolique n’est pas si facile et je suis persuadée que beaucoup de lecteurs y trouveront matière à réflexion pour se sortir d’un état qu’ils combattent.
Les mots autour de la masculinité, de la virilité, du coming-out ont un air de déjà-vu, mais sont sûrement porteurs de sens pour des garçons ou des filles qui se cherchent ; l’auteur nous fait comprendre que cela n’est pas beaucoup plus facile aujourd’hui en termes d’image sociale et d’acceptation de soi.
C’est le roman d’un enfant qui veut tuer son père, le rendant responsable de ses difficultés à ressentir mais conscient qu’il sera toujours en lui et qu’il doit se préparer à l’accepter pour trouver la paix. Un roman qui parlera à beaucoup, surtout à ceux qui ne dorment pas la nuit.
Je remercie #NetGalleyFrance et Audiolib pour m’avoir donné l’occasion de me faire mon propre avis sur #Laprochainefoisquetumordraslapoussière en livre audio
LIVRE AUDIO
Panayotis Pascot est une personnalité publique que je ne connaissais pas, mais dont le roman avait attiré mon attention sur les réseaux sociaux.
Je me suis lancée dans cette lecture audio sans trop savoir à quoi m'attendre, mais malheureusement, ce livre ne m'a pas convaincu.
Premièrement, le langage était excessivement vulgaire, parsemé de mots crus qui m'ont dérangé.
Est-ce vraiment nécessaire pour s'exprimer ?
Ensuite, l'histoire en elle-même ne m'a pas captivée. Je suis désolée, mais je n'ai pas saisi l'objectif de ce livre, si ce n'est peut-être servir de thérapie à l'auteur.
Cependant, même si la majorité du récit ne m'a pas touchée, je dois admettre que la dernière demi-heure m'a quelque peu réconciliée avec l'ensemble du roman.
Cette partie finale était émouvante, dévoilant la détresse et le profond mal-être de l'auteur. Je ne peux rester insensible à de telles émotions.
En outre, les sentiments exprimés envers ses parents, particulièrement envers son père et sa mère, sont touchants. De même, la complicité et le soutien offerts par ses frères.
Un autre aspect positif est la franchise et l'absence de tabou autour de l'homosexualité.
Cependant, malgré tout ça, l'histoire se concentrait principalement sur l'auteur lui-même, mettant de côté presque tout le reste, y compris la relation avec son père, qui semblait être le principal sujet de ce livre.
Il est certain que certains lecteurs apprécieront ce livre, mais pour ma part, il ne m'a rien apporté.
https://www.instagram.com/claudia.passionlivres/
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