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« J'aime avant tout la révolte. Si je pouvais partir, je partirais en guerre contre le monde entier. Mais ce n'est pas possible. Alors, mes amis et moi, nous nous sommes rabattus sur une cible plus modeste. Nous avons choisi de diriger nos attaques contre la machine à endormir les foules : je parle bien sûr de la télévision. Nous sommes fatigués des images, du conditionnement permanent qu'on nous impose. Pour nous, la télévision ne sert qu'à niveler les consciences. Elle empêche les grandeurs, les excentricités, tout ce qui fait que les hommes pourraient se mettre debout et vivre enfin quelque chose de mystique, de fou, de divin... »
Ainsi parle le héros de cette histoire, Mathieu Labech, meneur d'un groupe de jeunes révolutionnaires baptisé la « Mire ». L'action s'enchaîne sur un rythme rapide. Distributions de tracts, sabotages, incendies volontaires, plongée dans la clandestinité et la guérilla urbaine : les personnages sont prêts à tout pour faire entendre leur voix, pour nuire à l'industrie des images, à cette dictature des écrans dans laquelle nous vivons.
La Mire renoue avec le genre du roman engagé et invente un mythe résolument contemporain : celui des vidéo-clastes, les casseurs de télé.
© Flammarion, 2003
L' organisation "la mire" est en lutte active et violente contre la télévision, son emprise sur notre société, anesthésiant les cerveaux dès le plus jeune âge. Pourquoi ces trois jeunes ont décidé de s'unir à la vie à la mort contre le système ? Un récit psychologique fluide bien mené.
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