Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

La Courneuve, mémoires vives ; portraits des habitants de la Courneuve par les élèves du lycée Jacques Brel

Couverture du livre « La Courneuve, mémoires vives ; portraits des habitants de la Courneuve par les élèves du lycée Jacques Brel » de Cloe Korman aux éditions Mediapop
  • Date de parution :
  • Editeur : Mediapop
  • EAN : 9782918932031
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

« À partir du moment où tu prends du papier, un bout de stylo, soit t'essayes de devenir rappeur, soit t'essayes de devenir ce que tu peux » - en insufflant humour et solennité à leur incroyable comédie humaine, les élèves du Lycée Jacques Brel, en Seine Saint-Denis, ont réalisé entre janvier et... Voir plus

« À partir du moment où tu prends du papier, un bout de stylo, soit t'essayes de devenir rappeur, soit t'essayes de devenir ce que tu peux » - en insufflant humour et solennité à leur incroyable comédie humaine, les élèves du Lycée Jacques Brel, en Seine Saint-Denis, ont réalisé entre janvier et juin 2011 des portraits de leurs proches, en textes et en photos.
Ils retracent la vie de ceux qui leur sont chers à partir d'entretiens, de souvenirs ou d'épisodes fictifs qu'ils ont inventés pour combler les lacunes et les blessures. Invoquant la mémoire de la guerre d'Algérie et de tous les colonialismes, convoquant rappeurs, djinns, esprit du vaudou ou éthique sportive, ils racontent de l'intérieur une des villes les plus fantasmées de France.

"La Courneuve, portraits à vif et ville multiple" Sortir la banlieue des clichés, rendre sa dimension humaine à l'espace urbain, incarner la ville, croiser des regards: entre janvier et juin 2011, les élèves du lycée Jacques-Brel de La Courneuve (Seine-Saint-Denis) ont réalisé une série de portraits, La Courneuve, Mémoires vives, lors d'un atelier encadré par l'écrivain Cloé Korman et leur professeur d'anglais, Solène Nicolas (...) article de Christine Marcandier, Mediapart

Donner votre avis