Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
" Ecrire, c'est creuser dans du noir ", ces vers de Guillevic, Véronique Joyaux aurait pu les mettre en exergue à ses " Haies vives ", car elle creuse sans arrêt dans la matière brute de la vie.
Il lui faut " tenter de dire ce qui est essentiel " avec les mots de tous les jours. Il s'agit pour elle de sentir plus loin et plus profond notre domaine terrestre et de le sublimer. C'est ainsi qu'elle trouve les mots et les assemblages de mots qui correspondent à cette chose secrète, ombreuse qu'elle porte en elle. Elle parle pour " sauver les mots ". Les choses de la vie, le pain, les arbres, le fleuve, en sont transfigurés et on s'attachera en particulier à ces évocations de sa maison, " La maison est ce feu allumé dans le méandre du fleuve...
La maison est ce vaste nous-mêmes devant nous étalé une bulle d'air dans la pierre "... une maison onirique tout à fait bachelardienne. Odile Caradec
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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