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Mohamed Hmoudane poursuit une oeuvre iconoclaste, hantée par la violence de l'époque et la fulgurance du verbe. (Khalid Lyamlahy, En attendant Nadeau, Paris, juin 2021) La poésie de Mohamed Hmoudane fait penser à celle de Saint-John Perse : même rythme fulgurant, même invocation des mythes et des éléments naturels - ici, le feu. Toutefois, la poésie de Hmoudane est plus immédiate, plus concrète, charnelle et érotique. (Aurélie Soulatges, Cahier Critique de Poésie n°9, CIPM, Marseille, 2005) Flamboyante poésie héritière des grands élans comme les Chants de Maldoror où la guerre calcine le verbe et le ressuscite, où l'esprit refuse le clonage... (Jacques Sterchi, La Liberté, Fribourg, 02 juin 2007) Dans une langue toujours sublime et innovante, Mohamed Hmoudane se montre ici particulièrement polymorphe, mettant en scène une parole prophétique, intransigeante et corporelle. (Aurélie Soulatges, Cahier Critique de Poésie n°2, CIPM, Marseille, 2006) Ce livre est édité avec le concours de l'Institut Français du Maroc. Et Le Conseil de la Communauté Marocaine à l'Etranger.
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