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Carrie White, dix-sept ans, solitaire, timide et pas vraiment jolie, vit un calvaire : elle est victime du fanatisme religieux de sa mère et des moqueries incessantes de ses camarades de classe. Sans compter ce don, cet étrange pouvoir de déplacer les objets à distance, bien qu'elle le maîtrise encore avec diffi culté... Un jour, cependant, la chance paraît lui sourire. Tommy Ross, le seul garçon qui semble la comprendre et l'aimer, l'invite au bal de printemps de l'école. Une marque d'attention qu'elle n'aurait jamais espérée, et peut-être même le signe d'un renouveau !
Mike Flanagan travail sur une adaptation en série pour Amazon Prime !
Carrie l'un des roman Culte de Stephen King qui est son premier roman publié, plusieurs fois adapté pour la télévisons ou le cinéma, d'ailleurs il existe une suite en téléfilm que King n'a pas écrit.
Carrie est un roman horrifique qui aborde le thème du rejet, la croyance, de la vengeance, du surnaturel et du harcèlement, Carrisa White dite Carrie et le souffre au douleurs de ses camarades jusqu'à que le pire arrive.
King fait une critique social et familial dans cette société américaine. Passage à l'âge adulte, humiliation, des personnages bien construits, quelques défaut de rythmes, un final qui tranche mais qui peu poussé a ne pas être simple spectateur lorsque quelqu'un chute.
"Mais les gens ne se rendent jamais compte qu'ils peuvent vraiment blesser les autres! Ils ne deviennent pas meilleurs, les gens, ils deviennent seulement plus malins. Et quand tu deviens plus malin, tu ne cesses pas d'arracher les ailes des mouches, tu te contentes de trouver de meilleures raisons de le faire."
Une mère puritaine, obsédée par le diable et le péché ; des camarades de classe dont elle est le souffre-douleur : Carrie est profondément malheureuse, laide, toujours perdante. Mais à seize ans resurgit en elle le souvenir d'un « don » étrange qui avait marqué fugitivement son enfance : de par sa seule volonté elle pouvait faire se déplacer des objets à distance
Des thèmes intéressants : une adolescente qui découvre sa féminité, le fanatisme religieux et le harcèlement scolaire, mais je n'ai pas réussi à m'impliquer dans cette lecture.
J'ai trouvé le rythme assez plat, en plus un livre assez court, donc il faut que cela prenne vite, et cela pas était le cas.
La construction était particulière on passe d'un article d'un journal a la biographie de sue ensuite à la description de Carrie, cela ne m'a pas plu et surtout pas opportun, je sais que c'est son premier livre, donc on peut lui pardonner.
Après l'ambiance malsaine de la folie est présente, ce qui as fait que j'ai pu finir ce livre, mais c'était assez compliquée de lire ce livre, je ne suis pas arrivée à m'attacher à cette histoire, a ce personnage.
C'est mon 40éme livre de Stephen KIng, et c'est ma deuxième déception, c'est une bonne moyenne, bientôt je lirais un autre livre de lui, et je suis sûr que ça ira mieux.
Je l'ai trouvée vraiment mal fait avec ces paragraphes qui se suivent, pas avec la même période, je me suis sentie perdue, confuse, rien n'a aider dans cette lecture laborieuse. Mais je tenterais un autre titre.
J'ai ressenti énormément de longueurs, l'action est kasi inexistante, énormément de répétitions, je crois simplement que ce n'est pas un livre pour moi, au prochain.
Un très bon King.
Début et premier roman de mon "challenge", de mon envie plutôt de découvrir TOUT les Stephen King dans leur ordre de parution. Carrie est donc le tout premier de cet auteur, paru dans les années 70.
Quand on dit Stephen King on pense à horreur et angoisse. Pour le coup, ce livre est plus angoissant qu'effrayant, en même temps je n'ai jamais lu de livre qui m'avait réellement fait peur. Ce livre est par contre vraiment angoissant à certain moment et je dirais surtout malsain. Les scènes avec la mère de Carrie m'ont vraiment mise dans cette angoisse, cette chape de plomb qui se pose autour de Carrie est clairement palpable (ce qui est apparemment visible dans les films aussi). Vous pourrez peut-être être gêné par la longueur du récit malgré qu'il ne fasse même pas 300 pages. On reste sur du Stephen King, le style d'écriture est particulier ainsi que la structure.
Déjà il n'y a pas de chapitre, personnellement j'avais déjà remarqué ça en commençant Ça qui a des parties et juste plusieurs numéros qui en soit ne correspondent pas vraiment à des chapitres, seulement à des changements de point de vue ou d'époque. Ici on a juste trois partie dont la dernière qui ne fait que quelques pages. Entre temps il n'y a aucune délimitation du texte. De plus le texte est entrecoupé d'article après la catastrophe, le récit commence même par un de ces articles. Au début il faut clairement s'y adapter, mais malgré la maniaque du chapitre que je suis (il me faut toujours finir mon moment de lecture à la fin d'un chapitre) j'ai réussi à apprécier ça.
Bon et si on parlait plus concrètement de l'histoire. Si on s'adapte à la forme on ne peut qu'apprécier le fond de cette histoire. Carrie est donc une adolescente victime de harcèlement scolaire et de harcèlement de la part de sa mère qui est clairement, selon le résumé, fanatique religieuse, selon moi, complètement chtarbée.
Ce qui m'a déjà impressionné c'est que les problèmes que Stephen King a écrit il y a 50 ans n'ont absolument pas changé. J'avais réellement l'impression de lire un livre sorti récemment. Bon les problèmes de harcèlement n'ont évidemment pas changés, les tabous autour des règles dans certaines familles (et même dans la société) sont toujours présent, mais j'ai aussi relevé un passage qui m'a pas mal montré qu'absolument rien ne s'est amélioré : la réaction des professeurs et des personnes de l'école en générale face au harcèlement. Sans spoiler la prof gifle quand même Carrie parce qu'elle crie après s’être faite humiliée. Comment ça ? Par la suite ils se rendent compte de leurs (non)réaction mais ce passage m'a tout de même pas mal marqué. Surtout qu'au final les punitions choisis au lieu de servir de leçon ne donne juste que plus envie de se venger.
En parlant des personnages, beaucoup ont été un peu perturbé par le fait qu'au final on ne s'attache à personne au début du roman. Je suis parfaitement d'accord. Mon attachement envers Carrie était clairement en dent de scie, je l'aimais pas au début, puis oui, puis non, puis oui. Les autres, bah clairement comment s'attacher à des harceleurs ? Une mère tyrannique ? Les seuls personnages que j'ai réussi à apprécier sur la fin sont Snue et Tommy mais Stephen King par le mélange de point de vue arrive à complètement nous perdre, je ne savais plus si je devais croire en leur bonne foi ou non. Ce qui ne m'a permit que de les apprécier lorsque j'ai été plus ou moins sûre de ce que je pensais (Stephen King selon moi ne donne pas la "vérité"). Par contre le petit groupe je ne pouvais vraiment pas les aimer, même si on se retrouve à un moment avec une scène qui pourrait nous montrer un plus ou moins désespoir de la meneuse de la bande, je n'ai pas réussi à l'apprécier. Attention en plus de ça il y a une scène très cruelle envers les animaux menée par ce groupe que j'ai sauté et qui n'a pas aidé à ma pitié.
J'ai vu l'apparition du don comme une belle métaphore du changement chez la femme. Son don se manifeste réellement à partir du moment où elle commence à avoir ses règles. Sa méconnaissance à propos de ce phénomène et la colère contre sa mère et les autres qui ne lui dise rien de ce changement hormis respectivement lui reprocher ou se moquer d'elle. Pour moi clairement le don de Carrie démontre bien la dangerosité de ne pas comprendre son corps, la haine qui monte mélangée aux changements du corps et cela se transforme en énorme puissance destructrice.
Et si on parlait de la fin ? Enfin je dirais plutôt la "double fin". On a une fin de l'histoire de Carrie qui se termine à la fin de la deuxième partie et une autre à la fin du livre. Et quelle ironie pour les deux. Je ne peux pas vous spoiler donc je ne peux pas vous en parler mais, orh elles sont incroyables. La première est clairement dramatique et a justement renforcé mon attachement envers certains personnages. La deuxième fin est juste bien démonstrative de ce que je disais juste avant. Enfin bref, rien que pour la fin ce livre est incroyable. J'ai énormément d'autres remarques faites par des petits post-it sur mon livre ou dans mon petit carnet mais il faut que je m'arrête là ma chronique est déjà bien trop longue et je suis pas sure que vous arriverez jusqu'ici ^^.
Un univers fantastique et terrifiant qui traite également de la différence. La problématique de l'adolescence rend le personnage de Carrie très actuel. Ce livre se lit très facilement et il est difficile de le lâcher avant d'en connaître la fin.
Stephen King ( 1947 - ) est un écrivain américain.
Il publie son premier roman en 1974 et devient rapidement le maître de l'Horreur, du Fantastique et la Science-fiction.
Carrie paraît en 1974 et connait un succès fulgurant.
Sandy Hook, Columbine, autant de tueries de masse perpétrées dans des écoles américaines et qui sont devenues de banals faits divers.
Stephen King l'avait probablement pressenti lors de l'écriture de "Carrie.
Cette jeune étudiante élevée par une mère fanatique qui applique des préceptes religieux à la lettre, condamnant sa fille à une vie mystique.
Carrie est la souffre-douleur de l'école, celle qu'on insulte, qu'on moque et que l'on frappe à loisir.
Alors, lorsque au bal de printemps de l'école désignant le Roi et la Reine de la promotion, Carrie est invitée; elle pense que la roue a tourné et qu'elle va pouvoir être reconnue à sa juste valeur.
Mais rien ne va se passer comme prévu, l'humiliation et la trahison seront au menu.
Une oeuvre devenue "culte" par les adaptations cinématographiques réussies.
Carrie aborde des thèmes forts, encore d'actualité aujourd'hui; la harcèlement scolaire, la différence, les tueries de masse.
Le TK (la télékinésie) est abordée sous l'angle scientifique. La complexité du cerveau humain, son adaptation .
J'avais déjà lu ce roman adolescent. J'y ai vu beaucoup d'autres choses cette fois ci .
Un roman addictif que je recommande.
Un livre plutôt court, et qui se lit facilement.
Carrie est vraiment une étrange créature.. Je n'en dis pas plus pour ne pas spoiler, mais la télékinésie, c'est vraiment quelque chose !
Un bon Stephen King !!!
Le livre est assez court : on suit Carrie dans un laps de temps très réduit. Il est ainsi divisé en trois parties: « le jeu du sang », « le bal » et « épaves ». Des extraits viennent également agrémenter notre lecture, ajouter des détails à l’histoire si tragique de la pauvre Carrie White. S’ils ont intéressants (parfois ennuyants), il aurait été utile de les distinguer du reste du récit. Ici, ils sont simplement insérés dans l’histoire sans la moindre précision et coupent bien souvent notre élan dans la lecture. J’ai dû relire deux fois certains paragraphes pour bien tout comprendre à cause des extraits qui « cassent » le récit. Comme je le précisais, l’histoire est courte ce qui implique très peu de descriptions. Point positif ? Point négatif ? Je dirais les deux. L’histoire avance vite mais j’aurais aimé plus de précisions sur certains passages.
En ce qui concerne les scènes d’action, elles sont tellement bien décrites que l’on se croirait presque dans l’histoire aux côtés de Carrie. C’est l’un des principaux points positifs que j’ai pu relever dans le style de Stephen King. Il ne lésine pas sur les descriptions des scènes « d’épouvante » ! La psychologie des personnages est, elle aussi, bien décrite et particulièrement mise en avant. Carrie est un personnage compliqué, tourmenté et parfois même effrayant. Je n’arrivais pas toujours la cerner. À certains moments, je compatissais, j’avais de la peine pour elle tandis qu’à d’autres je ne pouvais pas m’empêcher de la trouver agaçante, blessante avec les personnes qui tentaient de l’aider.
Pour ce qui est des autres personnages, je ne me suis attachée à presque aucun d’entre eux. Chris est une fille pourrie gâtée par son père, je l’ai trouvée détestable et manipulatrice. Quant à Billy et compagnie, ils ne sont que les marionnettes de cette dernière (ou du moins, on le croit jusqu’à la fin). La mère de Carrie n’agit tout simplement pas comme devrait agir une mère. Elle l’empêche de faire tellement de choses que Carrie se trouve être totalement différente des personnes qui l’entourent. Elle est victime du fanatisme obsessionnel de sa mère alors que tout ce qu’elle désire, c’est être normale et avoir des amis.
Ce livre est moins effrayant que je ne le pensais (on qualifie souvent Stephen King de « maître de l’horreur ») même si certains passages nous donnent parfois des frissons. On se rend compte, la plupart du temps, que ce sont les victimes qui deviennent les pires personnes simplement. Les moqueries que l’on trouve anodines au début peuvent prendre une ampleur très importante. Même si le fait d’avoir regardé la bande-annonce du film m’a révélé une bonne partie de l’histoire, j’ai pris plaisir à découvrir l’auteur avec son premier roman et ce ne sera certainement pas mon dernier Stephen King !
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