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Alors que la maladie d'Alzheimer de sa femme Antonietta progresse, Gérard Haddad prend la plume pour écrire à celle qui ne parle déjà plus. Ces lettres retracent la lente progression de la maladie : d'abord le déni, puis la lutte, les traitements et l'espoir de revivre « comme avant », puis les rechutes et l'entrée à l'Ehpad, peu avant l'épidémie de Covid et l'absolue solitude qu'elle impose pendant plusieurs longs mois.
Étrangement, du creuset de la maladie émerge un nouvel amour, triomphant de tous les malentendus des années de vie partagées. Les souvenirs des moments de grâce affluent alors, et chaque instant de vie à partager encore prend une intensité et une profondeur insoupçonnée.
Un texte poignant, qui dit toute la force d'un amour conjugal confronté à la maladie.
Un texte émouvant dont le sujet est vraiment d'actualité: Gérard Haddad évoque les dernières années de vie de sa femme, atteinte de la maladie d'Alzheimer.
J'ai beaucoup aimé la réflexion sur la fin de vie, les bouleversements liés à la maladie du conjoint, les diverses formes de l'amour... Un peu moins les longs récits de vacances que j'ai trouvé trop personnels pour s'y identifier.
Je trouve malgré tout ce texte intéressant, une base de réflexion sur le sujet abordé et beaucoup d'émotions transmises.
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