Les meilleurs albums, romans, documentaires, BD à offrir aux petits et aux plus grands
Même les anges ont leurs démons...
Paris, Noël 2021.
Après un accident cardiaque, Mathias Taillefer se réveille dans une chambre d'hôpital. Une jeune fille inconnue se tient à son chevet. C'est Louise Collange, une étudiante venue jouer bénévolement du violoncelle aux patients.
Lorsqu'elle apprend que Mathias est flic, elle lui demande de reprendre une affaire un peu particulière. D'abord réticent, Mathias accepte finalement de l'aider, les plongeant dès lors, tous les deux, dans un engrenage mortel.
Ainsi commence une enquête hors du commun, dont le secret tient à la vie qu'on aurait voulu mener, l'amour qu'on aurait pu connaître, et la place qu'on espère encore trouver...
Fiévreux, inattendu, exaltant,
un labyrinthe d'émotions
où les certitudes d'une page
ne sont jamais celles de la suivante.
" Le maître français du suspense. "The New York Times, USA" Un romancier hors norme. "France Info" Le Roi du noir européen. "La Reppublica, Italie" Un phénomène. "El Mundo, Espagne
"Depuis toujours le souffle de la nuit m’apaise. Ma frustration se dilue, mes idées se fixent, plus saillantes et constructives, même si par vagues revient la même souffrance.
Celle de passer à côté de ma vie. Celle d’être étrangère à mon existence. Une simple spectatrice incapable d’écrire sa propre partition."
J'ai passé un bon moment avec ce roman de Guillaume Musso, il y a des rebondissements.
C'est une bonne surprise que j'ai trouvée à la boîte à livres de mon quartier.
Tres bon roman avec du suspens. Se lit vite.
Un roman inégal car si j'ai beaucoup aimé les deux tiers du roman, la dernière partie du livre m'a semblé bien compliquée et n'a pas répondu à toutes mes questions, c'est bien dommage. L'écriture est agréable à lire et fluide mais j'ai eu l'impression d'avoir loupé quelque chose en fermant ce roman. J'ai lu beaucoup de livres de Guillaume Musso, celui-ci ne figurera pas parmi mes préférés.
Un bon polar difficile à lâcher avant la dernière page.
Un bon Musso qui se lit très bien, très vite. L’histoire est intéressante. Je recommande !
Guillaume Musso est un auteur que j'ai beaucoup aimé a ces débuts. J'étais au rendez-vous chaque année lors de la parution de son nouveau roman. Beaucoup de ses premiers m'ont beaucoup plu, et je me suis retrouvée plus d'une fois scotchée par les révélations finales. J'avoue avoir décroché à un moment et ne plus avoir été aussi assidue. J'avais envie de lire ce nouveau roman. Je pense que c'est la couverture qui m'a tout de suite tapé dans l'oeil. Et le prénom aussi, qui peut donner une personnalité spéciale, mi ange mi démon... Et je n'ai pas été déçue du tout par cette nouvelle cuvée.
Je ne peux pas trop vous parler de l'histoire, car il faut la découvrir soi-même et surtout comme a voulu le faire l'auteur. Tout va se jouer entre plusieurs personnages. Le principal est Mathias Taillefer. Il a un accident cardiaque, il se retrouve à l'hôpital. Lorsqu'il se réveille, une jeune fille est là, assise près de lui, et joue du violoncelle. Elle fait partie de bénévoles et accompagne les malades pendant leur maladie. Lorsque cette jeune fille, Louise, apprend que Matthias est flic, elle ne peut s'empêcher de lui parler de quelque chose qui la touche de très près. Il s'agit de la mort de sa mère, conclue comme un suicide, mais Louise est persuadée que ce n'en est pas un. Matthias est un peu réticent au début, mais il va se laisser prendre au jeu, découvrir des indices qui vont faire que, lui aussi va se mettre à douter. Il est loin de s'imaginer alors vers quel engrenage il met les pieds et où tout cela va le mener.
Et, pareil pour moi en tant que lectrice. Je n'en dirais pas plus, je ne vous dévoilerais pas l'identité des autres personnages, car il y en a qui vont être vraiment très dérangeant. Je les découvrais petit à petit, me demandant parfois ce qu'ils venaient faire là, et je l'ai compris plus tard, lorsque le nom réapparaît d'un coup. Et là, je retourne en arrière dans le livre pour relire les passages le concernant. C'est du Musso à l'état pur, avec des indices semés ça et là, qui passent inaperçus, et on s'en souvient cent pages plus tard lorsqu'ils prennent de l'importance. Et là, on se rend compte qu'on s'est fait avoir depuis le début. C'est cette façon de faire qui me manquait dans les précédents romans de Musso, et là, ça a été un régal de la retrouver. En découvrant la vérité sur tout, en recomposent le puzzle pièce après pièce, je me suis rendue compte que je m'étais trompée sur ce que j'imaginais. J'ai eu alors envie de relire le roman en sachant le tout, afin de pouvoir voir les indices. J'aime vraiment beaucoup quand l'auteur fait cela, il le fait tellement bien, il arrive tellement à retourner le cerveau du lecteur en un rien de temps. On se rend compte aussi que tous les personnages sont liés, on se demande pourquoi et comment, je me suis doutée, connaissant un peu la patte de l'auteur, mais j'avais beau chercher, je ne trouvais pas.
Les personnages sont attachants. Guillaume Musso a le talent de créer des personnalités différentes, à les rendre sympathiques, jusqu'à ce qu'on apprenne un détail ou que la personne fasse un geste qui remette tout en question. Et qui du coup nous fait ressentir d'autres sentiments sur ce personnage qu'il appréciait juste avant. L'auteur fait le choix d'une narration à la troisième personne du singulier, et je la trouve appropriée, car elle permet de garder un peu de distance avec les personnages, et c'est pas plus mal parfois.
L'écriture est toujours aussi fluide, les chapitres plus ou moins courts, cela amène beaucoup de fluidité et la lecture se fait rapidement. Et l'envie de savoir rend aussi le livre addictif, pas question de me déranger à quelques pages de la fin, tellement je voulais savoir. Le livre est partagé en plusieurs parties, et chacune concerne un personnage important du roman. Cela permet d'en apprendre plus sur cette personne, d'avoir son point de vue sur une même situation vécue par une autre. Et cela rajoute une bonne dose de mystère. C'est une recette qu'a déjà employée Guillaume Musso et c'est à chaque fois une réussite.
Les différentes parties commencent par une très jolie illustration de Matthieu Forichon qui met tout de suite dans l'ambiance et qui représente une scène importante de la partie. L'auteur nous emmène aussi en voyage, comme dans ses autres romans, on n'est pas à New-York pour une fois, mais à Paris et à Venise, dans une période de l'année très importante pour cette ville italienne. L'acqua Alta, les Hautes eaux, est un phénomène de marées hautes pas forcément connu.
L'histoire se situe récemment, en 2021. L'auteur n'a pas fait l'impasse du COVID, et j'ai trouvé ça bien. Il l'a incorporé dans l'histoire comme faisant partie de notre vie de tous les jours. Je n'ai pas trouvé ça redondant ou déprimant. Au contraire, j'aurais trouvé bizarre qu'il n'en fasse pas mention. Car, malheureusement, le virus fait partie de nos vies, et ne pas le mentionner serait un gros vide. Ce n'est pas le plus important, mais cela permet
Dès que je l'ai commencé je ne l'ai plus lâché, super roman avec des rebondissements très prenant.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Les meilleurs albums, romans, documentaires, BD à offrir aux petits et aux plus grands
Il n'est pas trop tard pour les découvrir... ou les offrir !
Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
L’écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy poursuit l’exploration fantasmagorique de sa mémoire familiale...