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Tome 1 (836 pages) – Tome 2 (863 pages)
Les Griffiths ont quatre enfants (Hester, Clyde, Julia et Frank) et rêvent d’évangéliser tout Kansas City. Malheureusement, parents irresponsables, ils en oublient l’éducation sociale et culturelle de leurs enfants, négligeant totalement leur avenir … Au point que leur fille ainée (Hesta) s’enfuira avec un homme et que devant la menace de plus en plus précise d’un déménagement à Denver, Clyde se chargera de trouver un bon emploi dans un hôtel de luxe (le Green-Davidson) afin d’échapper à cette humiliante vie de misère …
Après un accident de voiture (provoqué par un collègue) qui aurait pu le conduire tout droit en prison, Clyde fuit à Chicago (où il se fera le plus discret possible) puis à Lycurgue où son (richissime) oncle paternel (Samuel) – un peu honteux du manque de solidarité vis à vis de son propre frère – lui fournira un premier emploi dans son usine. Au grand ressentiment de son cousin Gilbert qui le jalouse terriblement. Une situation (relativement modeste, il faut le dire) qui permettra toutefois de redonner foi en l’avenir, à cet ambitieux jeune homme …
Tout d’abord attiré par Roberte, une jeune et naïve ouvrière qui lui accordera son coeur et ses faveurs, Clyde va rapidement s’enhardir jusqu’à envisager une destinée plus reluisante dans les bras d’une riche et altière héritière, la belle Sondra (elle même fort séduite par le physique avantageux du parent pauvre de l’agaçant Gilbert Griffiths …)
Magnifique roman naturaliste de Theodore Dreiser (que je qualifierais sans l’ombre d’une hésitation de « Zola américain ») il fut édité en 1925 et traduit en français en 1932. L’auteur se serait basé sur un terrible fait divers (l’affaire retentissante en 1906 de Grace Brown et Chester Gillette …) Traitée comme une comédie humaine et sociale, chargée de nombreux rebondissements, l’intrigue aborde la nature égoïste, lâche et orgueilleuse de l’individu et sa faculté à s’approprier le rôle de victime ou de bourreau, selon les aléas de l’existence …
Un récit noir autant que sublime, écrit et analysé avec brio. Qui donne vraiment envie de se lancer sur la trace d’éventuels autres ouvrages traduits en français de cet auteur « culte » que je ne connaissais pas avant (l’opportune) ré-édition de cet immense coup de coeur !
Tome 1 (836 pages) – Tome 2 (863 pages)
Les Griffiths ont quatre enfants (Hester, Clyde, Julia et Frank) et rêvent d’évangéliser tout Kansas City. Malheureusement, parents irresponsables, ils en oublient l’éducation sociale et culturelle de leurs enfants, négligeant totalement leur avenir … Au point que leur fille ainée (Hesta) s’enfuira avec un homme et que devant la menace de plus en plus précise d’un déménagement à Denver, Clyde se chargera de trouver un bon emploi dans un hôtel de luxe (le Green-Davidson) afin d’échapper à cette humiliante vie de misère …
Après un accident de voiture (provoqué par un collègue) qui aurait pu le conduire tout droit en prison, Clyde fuit à Chicago (où il se fera le plus discret possible) puis à Lycurgue où son (richissime) oncle paternel (Samuel) – un peu honteux du manque de solidarité vis à vis de son propre frère – lui fournira un premier emploi dans son usine. Au grand ressentiment de son cousin Gilbert qui le jalouse terriblement. Une situation (relativement modeste, il faut le dire) qui permettra toutefois de redonner foi en l’avenir, à cet ambitieux jeune homme …
Tout d’abord attiré par Roberte, une jeune et naïve ouvrière qui lui accordera son coeur et ses faveurs, Clyde va rapidement s’enhardir jusqu’à envisager une destinée plus reluisante dans les bras d’une riche et altière héritière, la belle Sondra (elle même fort séduite par le physique avantageux du parent pauvre de l’agaçant Gilbert Griffiths …)
Magnifique roman naturaliste de Theodore Dreiser (que je qualifierais sans l’ombre d’une hésitation de « Zola américain ») il fut édité en 1925 et traduit en français en 1932. L’auteur se serait basé sur un terrible fait divers (l’affaire retentissante en 1906 de Grace Brown et Chester Gillette …) Traitée comme une comédie humaine et sociale, chargée de nombreux rebondissements, l’intrigue aborde la nature égoïste, lâche et orgueilleuse de l’individu et sa faculté à s’approprier le rôle de victime ou de bourreau, selon les aléas de l’existence …
Un récit noir autant que sublime, écrit et analysé avec brio. Qui donne vraiment envie de se lancer sur la trace d’éventuels autres ouvrages traduits en français de cet auteur « culte » que je ne connaissais pas avant (l’opportune) ré-édition de cet immense coup de coeur !
Roman lu il y bien trois ans aujourd'hui, il me faisait de l'oeil dans sa belle couverture avec une photographie de Montgomery Clift et Elizabeth Taylor du film Une Place au Soleil inspiré de l'oeuvre de Theodore Dreiser.
Ce gros pavé, roman social, est considéré comme l'un des 100 plus grands romans écrits en langue anglaise.
Clyde, fils d'évangélistes ambulants, ne supporte plus cette vie et souhaite se faire une place "au soleil". Il n'en peut plus de cette vie de miséreux et se rappelle qu'il a un oncle qui a réussi à grimper l'échelle sociale. Il s'en rapproche et obtient un poste dans son usine. D'abord au bas de l'échelle, il va grimper peu à peu les échelons. Dans cette usine, il fait la connaissance d'une jeune et jolie ouvrière, Roberte, avec qui il va entretenir une relation secrète. Cependant, gardant bien en tête son désir de promotion sociale, il va commencer à s'insérer dans des cercles plus élevés et fera la connaissance de la pétulante, belle et riche Sondra. Il navigue entre ces deux femmes.
Jusqu'au jour où Roberte lui apprend qu'elle est enceinte et lui demande de l'épouser. Clyde, ne pouvant renoncer à son rêve, décide alors de prendre les choses en main. Mais jusqu'où...
Theodore Dreiser décortique minutieusement les tourments de ce garçon, des rêves qui le consument et des conséquences de ses actes.
Un TRES TRES TRES grand roman
A !!! Ce bon vieux rêve américain, ce rêve qui a conduit bon nombre de personnes vers la chute. Clyde Griffiths vit difficilement auprès de ses parents évangélistes, la misère, la mendicité lui font honte…Un oncle frère de son père lui donne sa chance, il possède une entreprise florissante de faux-cols, il l’embauche et Clyde doit faire ses preuves. Il va essayer, il désire s’intégrer, il rencontre Roberte dont il est fou amoureux. Une jeune fille d’un milieu pauvre comme lui et puis le temps passe, petit à petit son nom de Griffiths lui ouvre les portes de la haute société et là tout dérive. Oui bien sûr il est fait pour vivre dans ce milieu, auprès de ces gens fortunés et surtout auprès de Sondra, mais Roberte ????Alors vous verrez si vous lisez ce livre à quoi peut conduire l’envie du paraître, de l’argent…C’est merveilleusement bien écrit, comme on écrivait au siècle dernier, de la vraie littérature, un vrai bijou.
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