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Justine Niogret

Justine Niogret
Justine Niogret est l'auteur de plusieurs romans primés (Chien du Heaume, Mordre le Bouclier, le Syndrome du Varan...) Elle est aussi traductrice, travaille dans le jeu de rôle (Vermine, 7eme Mer, Cthulhu, L'Anneau Unique...), dans le jeu de plateau (Mythic Battle Ragnarök) et le jeu vidéo... Voir plus
Justine Niogret est l'auteur de plusieurs romans primés (Chien du Heaume, Mordre le Bouclier, le Syndrome du Varan...) Elle est aussi traductrice, travaille dans le jeu de rôle (Vermine, 7eme Mer, Cthulhu, L'Anneau Unique...), dans le jeu de plateau (Mythic Battle Ragnarök) et le jeu vidéo. Son dernier roman est un livre jeunesse parlant de pirates et de vaudou, Bayuk. Elle lit du Stephen King depuis ses neuf ans, et a commencé par Cujo... ce qui l'a poussée à écrire à son tour. Justine Niogret vit et travaille à Quimper(29)

Articles en lien avec Justine Niogret (1)

Avis sur cet auteur (15)

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    Couverture du livre « Quand on eut mangé le dernier chien » de Justine Niogret aux éditions Au Diable Vauvert

    Lecteurenserie sur Quand on eut mangé le dernier chien de Justine Niogret

    Justine Niogret surprend une fois de plus en explorant un nouveau genre. Avec "Quand on eut mangé le dernier chien", elle plonge dans la fiction historique pour raconter l’expédition tragique de la « Far Eastern Party » en Antarctique, en 1912. En 200 pages intenses, elle nous entraîne dans le...
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    Justine Niogret surprend une fois de plus en explorant un nouveau genre. Avec "Quand on eut mangé le dernier chien", elle plonge dans la fiction historique pour raconter l’expédition tragique de la « Far Eastern Party » en Antarctique, en 1912. En 200 pages intenses, elle nous entraîne dans le froid glacial et l’exploit humain.

    Justine Niogret s’inspire de l’expédition antarctique australasienne menée par Douglas Mawson, accompagné de Xavier Mertz et Belgrave Ninnis. Partis avec des traîneaux et des chiens, seuls Mawson revient après des mois de souffrance inimaginable. L’autrice narre cette aventure avec une écriture précise et incisive, capturant à la fois la grandeur et le désespoir de cette survie.

    La glace comme personnage
    Justine Niogret excelle à décrire l’hostilité de l’Antarctique : un froid implacable, des paysages meurtriers et une nature qui ne laisse aucun répit. À travers des chapitres courts, elle rend palpable chaque sacrifice, chaque douleur, chaque disparition. La glace devient un personnage central, indomptable et cruel.

    Avec son style tranchant, Justine Niogret explore le combat intérieur de Douglas Mawson, dernier survivant avançant envers et contre tout. Elle interroge ce qui pousse un homme à continuer malgré la faim, le froid et l’abandon total. Douglas Mawson devient sous sa plume une figure de légende, incarnant la résilience humaine dans toute sa brutalité.

    Justine Niogret signe ici un roman puissant, où douleur et exploit se mêlent. Court, glaçant, mais inoubliable, "Quand on eut mangé le dernier chien" laisse une empreinte profonde et rend hommage à l’incroyable force de survie humaine.

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    Couverture du livre « Quand on eut mangé le dernier chien » de Justine Niogret aux éditions Au Diable Vauvert

    Revues_Livresques sur Quand on eut mangé le dernier chien de Justine Niogret

    Un roman qui nous rappelle ceux de Jack London où la Nature, à la fois hypnotisante et terrifiante, règne sur et domine l'Homme.

    Inspiré de faits réels, l'histoire se déroule en Antarctique en 1911, où l'explorateur Douglas Mawson part en mission pour cartographier ce désert de glace....
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    Un roman qui nous rappelle ceux de Jack London où la Nature, à la fois hypnotisante et terrifiante, règne sur et domine l'Homme.

    Inspiré de faits réels, l'histoire se déroule en Antarctique en 1911, où l'explorateur Douglas Mawson part en mission pour cartographier ce désert de glace. Accompagné de deux jeunes mais expérimentés hommes et d'une dizaine de chiens de traîneau, il se lance dans un voyage de plus de 1 000 kilomètres. Si les trois hommes habitués à ce type de périples sont optimistes au départ, très vite la tournure des éléments va les refroidir.

    Bien que le titre du roman annonce la couleur, nous ne sommes jamais prêt à lire de telles horreurs et encore moins lorsqu'on apprend qu'elles viennent de faits réels et non pas de l'imagination de l'écrivaine.
    La Nature est impitoyable et ramène l'Homme à sa petite condition. Elle nous rappelle qu'il ne faut jamais la sous-estimer et repousse dans leurs retranchements Mawson, Hertz et Ninnis. Jusqu'où peut-on aller pour survivre ?
    On se retrouve également en admiration face à tant de résilience mentale et physique. Tous ces hommes qui ont voyagé dans ces paysages inhospitaliers pendant des mois et des années. Pour la Science. Ou, pour certains, dans l'espoir d'un avenir plus prospère.

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    Couverture du livre « Quand on eut mangé le dernier chien » de Justine Niogret aux éditions Au Diable Vauvert

    Les Waouh de Claire sur Quand on eut mangé le dernier chien de Justine Niogret

    Le titre « Après qu’on eut mangé le dernier chien » donne le ton ! Mawson, Ninnis et Mertz, accompagné de 17 chiens partent pour une expédition de l’extrême en 1912 en Antarctique. Et là, c’est l’enfer : météo épouvantable, relief quasi-impossible à traverser, le froid, la perte de la...
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    Le titre « Après qu’on eut mangé le dernier chien » donne le ton ! Mawson, Ninnis et Mertz, accompagné de 17 chiens partent pour une expédition de l’extrême en 1912 en Antarctique. Et là, c’est l’enfer : météo épouvantable, relief quasi-impossible à traverser, le froid, la perte de la nourriture, les maladies, les blessures… Bref, imaginez le pire et cela ne sera rien comparé à ce qu’ont vécu ces hommes et ces chiens ! C’est un récit de survie dans des conditions extrêmes, une lecture passionnante mais qui fait froid dans le dos et dans tout le corps. On assiste, totalement impuissant, à la disparition progressive des protagonistes… C’est effroyable mais je suis sûre que, comme moi, vous aurez envie d’aller au bout de cette lecture.

    Ce récit est romancé mais tiré d’une histoire vraie. Il m’est difficile d’imaginer ce qu’ils sont enduré ! C’est un témoignage de courage, de détermination au-delà de ce que le corps et l’esprit sont capables de supporter !

    Merci Lecteurs.com pour cette découverte !

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    Couverture du livre « Quand on eut mangé le dernier chien » de Justine Niogret aux éditions Au Diable Vauvert

    Spitfire89 sur Quand on eut mangé le dernier chien de Justine Niogret

    Merci Lecteur.com de m'avoir envoyé ce livre lors du tirage sort suite à l'article : Découvrez 5 romans en format poche et tentez de les gagner.

    Un récit historique et nature writting d'une expédition qui tourne à la tentative de survis trois scientifiques, Mawson, Ninnis et Mertz partent...
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    Merci Lecteur.com de m'avoir envoyé ce livre lors du tirage sort suite à l'article : Découvrez 5 romans en format poche et tentez de les gagner.

    Un récit historique et nature writting d'une expédition qui tourne à la tentative de survis trois scientifiques, Mawson, Ninnis et Mertz partent avec dix-sept chiens groenlandais, et deux traîneaux en 1912 pour une expédition en antarctique au Cap Denison en Terre Adélie. Au retour à cinq cents kilomètres de leur base un accident arrive.

    Justine Niogret nous entraine dans ce récit d'aventure inspiré d'une histoire vrai mais raconté avec un sens du romanesque. Les chapitres sont courts, un voyage captivant, intimiste, inoubliable, une impitoyable force de la nature avec les trois scientifiques courageux. Une écriture dépouillé, le style est puissant, documenté, une course contre la montre, le froid, la souffrance, la douleur, la force d'esprit, l'amitié. Beaucoup d'émotions, on frissonne jusqu'à la fin. Une lecture que je recommande.


    "Il avait déjà vu des hommes à bout de force et de moral marcher avec un regain d’énergie, une fois que le chef d’expédition leur avait juré qu’ils mangeraient, dans quatre jours et ramollie dans leur thé, une lanière de graisse d’éléphant de mer vieille de plusieurs semaines. Sur la glace, la nourriture était un but, un rite et en cela, elle cristallisait tous les besoins et les désirs des explorateurs. La nourriture, elle, restait humaine."

    "Il s’agissait de crêtes de neige aiguës, toutes parallèles, montant au moins jusqu’aux hanches, parfois au sternum. Le vent changeait ces dunes en glace transparente et Mawson, en voyant leur dos lisse et bleu percer la surface poudreuse de la banquise, songeait aux ailerons des dauphins qui accompagnaient parfois les bateaux sur l’océan. Les sastrugi étaient dures comme de l’acier et rencontraient presque toujours le chemin des explorateurs de façon perpendiculaire. Les patins des traîneaux ne pouvaient les briser pour s’y faire un chemin et les passer à skis relevait du numéro d’équilibriste : on ne pouvait tenir que sur le sommet de deux crêtes et le bois des skis pliait comme un arc, puis se brisait. Il n’y avait guère que deux solutions : faire un détour, ou s’y frayer un pénible chemin, à pied, en aidant les chiens à faire monter et descendre les traîneaux, tout en s’assurant que les cargaisons ne se renversent pas. Les sastrugi se passaient à la force des bras, et les trois hommes ne le savaient que trop bien."

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