Aujourd'hui, les explorateurs de la BD reviennent !
Aujourd'hui, les explorateurs de la BD reviennent !
L’association Loustal - Götting vaut à elle seule l’achat de cet album. Ils nous plongent dans un roman noir à la Simenon, une histoire sombre d’un jeune provincial qui monte à Paris pour venger la mort de son père.
Les personnages sont bien cernés, l’ambiance est forte, le dessin raconte aussi bien que les mots… Certes le scénario a comme un air de déjà-vu mais on ne boude pas son plaisir, passer un moment avec ces 2 grands reste un privilège !
Un trait franc et épais dans un décor année 50. Un petite enquête sympa dans le milieu des petites frappe de Pigalle
"Pigalle 62.27" s'ouvre sur un prologue : un homme se pend et laisse une lettre.
Antoine découvre ce qui a poussé son père au suicide et il débarque à Paris pour venger cette mort.
Après une Première découverte du Paris des années cinquante, il finit par trouver en la personne de Moncamp le responsable de la mort de son père. Il recule dans son projet de tuer Moncamp, fait sa connaissance dans le quartier de Pigalle et finit par se mettre à son service en l'aidant à monter de petites escroqueries. Incapable de tuer, il finit par prendre la décision de voler le magot de Moncamp et de quitter Paris avec Caroline, une jeune femme qu'il a connu..... mais les choses ne se passent pas comme prévues...
Sur un scénario de Götting qui délaisse le crayon et le noir pour l'écriture, Loustal compose avec son style si particulier, un dessin au trait net et un peu raide qui a quelque chose de naïf, un joli album qui ne s’embarrasse pas de détails.
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