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Neuvième épisode, Wismerhill s’allie, corps et âme à la Lune Noire, le rendant puissant, presque invincible. Un scénario encore simplifié, à sa plus simple expression, des pages et des pages qui n’amènent rien. La guerre se prépare encore. Et l’humour décalé devient pénible, agaçant. Soit c’est sérieux, soit ça ne l’est pas, et là, le mélange ne prend pas, en tout cas pour ma part, c’est définitif, j’arrête. Le graphisme en revanche grimpe encore d’un niveau avec des illustrations toujours mieux travaillées. Mais ça ne suffira pas. Je n’ai pas accroché, trop long à s’installer, trop brouillon.
Et on recommence dans cet album. Nous nous retrouvons dans une bataille avec l’armée de Wismerhill contre les morts-vivants, puis Parsifal part en guerre pour rétablir la vérité, celle de Dieu. Et là, très clairement, nous assistons à la création d’armées immenses dont l’objectif sera indéniablement une guerre violente.
Le scénario semble plus clair, mais plus simple surtout, très linéaire. Mais cela ne fait pas beaucoup avancer le récit général, et la compréhension de ce monde fantastique. Je commence à ne plus trop apprécier cet humour décalé et ce style qui manque de sérieux. Malgré tout, le graphisme s’améliore nettement dans cet album dans lequel les scènes de guerre commencent à devenir intéressantes.
Un album qui je pensais allait faire monter d’un cran la série mais il n’en est rien, le scénario moins brouillon est devenu basique.
Enfin le premier album de la saga dans lequel les pièces du puzzle commencent à se mettre en place. Le récit emmène Wismerhill rencontrer la Lune Noire. Quelques pointes d’humour font leur apparition mais nous sommes loin des albums un peu lourds. Un récit mieux construit donc, qui nous permet d’entrevoir un peu mieux ce qui se trame. Enfin devrais-je dire…
Même au niveau du graphisme, une nette amélioration est là, et ça fait plaisir. Pour un classique de la fantasy française, je commençais à m’ennuyer ferme dans cette série. Ce n’est pas transcendant, mais je continue encore un peu.
Dans cet épisode violent, Wismerhill prend du galon. Il règne sans partage sur un royaume grandissant et devient le pantin de forces bien plus puissantes et dont le dessein n’est pas encore bien défini. Le récit est assez linéaire mais laisse un peu plus de place à une histoire qui se pose enfin, et paraît moins fouillis. Le graphisme est en amélioration par rapport aux épisodes précédents. Même si ce n’est pas encore ce à quoi je m’attends, le dessin est plus sombre, mieux travaillé. Les personnages qui gravitent autour de Wis sont mieux traités pas le scénariste mais aussi par le dessinateur. Nous avons donc ici un album qui peut se définir comme le vrai grand départ de la saga. Un bon épisode même si certains points sont encore à améliorer.
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