Les écrivains russes sont à l’honneur à Livre Paris du 16 au 19 mars 2018, et c’est une immense fête pour le livre.
Les écrivains russes sont à l’honneur à Livre Paris du 16 au 19 mars 2018, et c’est une immense fête pour le livre.
Premier volet d'une trilogie, ce roman même s'il se déroule en 1919 nous éclaire sur la situation de Kiev,de ses habitants.Intéressant,déroutant même parfois:bien loin de l'Europe(?!)
Le pingouin, Andreï Kourkov, Liana Levi (traduit par Nathalie Amargier)
Victor a adopté un pingouin au zoo de Kiev, en faillite. Victor est écrivain mais au chômage. Il lui est proposé d’écrire des nécrologies pour un grand journal, sur des personnalités toujours en vie, qui, un jour, disparaissent l’une après l’autre.
Partout signalé comme coup de cœur, autant sur les blogs que chez les libraires, je me suis dit que c’était un excellent livre pour les vacances. Mais je dois me rendre à l’évidence, je ne suis pas fait pour le mainstream, pour le "vu à la télé" ou autre label censé plaire à tous. Non pas que je n’aie pas aimé ce livre, que je trouve parfois décalé, absurde, mais je l’ai trouvé très long, bourré de temps morts, de répétitions de situations. Je m’y suis ennuyé et les divers personnages qui traversent la vie de Victor ne m’ont pas permis de décrocher de ce sentiment de monotonie. Ce qui est le comble pour un ouvrage que l’on me promettait enthousiasmant. Ni les morts des personnalités qui émaillent les pages ne m’ont pas donné de coup de boost pour reprendre me passionner pour ma lecture. Je suis allé au bout néanmoins, mais que ce fut long !
Un roman diablement d'actualité.
En toile de fond, le conflit ukrainien, la volonté d'expansion de la Russie.
Une zone grise, un village abandonné que deux "ennemis" d'enfance persistent à ne pas abandonner.
Et puis les abeilles qu'il faut sauver, la nécessité de se déplacer, d'aller à la rencontre de l'autre.
L'écriture est belle et poétique, le rythme nostalgique mais mes yeux se sont souvent fermés, mes pensées ont divaguées et j'ai eu bien du mal à suivre Sergueïtch dans son voyage.
Un avis mitigé.
Kiev 1919
Samson et son père sont attaqués par des cosaques.
Son père meurt et lui a une oreille tranchée.
Désormais seul, il trouve un emploi dans la milice et se trouve investi de plusieurs missions.
Les temps sont très durs, peu de lumière, peu de chauffage, peu de nourriture et les morts tombent comme des mouches, soit sous le coup des rouges, soit sous le coup des blancs.
Le régime communiste s'impose par de multiples décrets, de multiples autorisations.
Atmosphère trouble, dangereuse, angoissante.
Kiev est comme un volcan en début d'éruption.
Il est plutôt stressant de suivre les débuts dans la vie active de Samson.
Heureusement que l''écriture de Kourkov nous aide à tenir le choc.
J'au juste un peu regretté que l'oreille de Samson, qu'il conserve dans une boîte métallique, n'ait pas une plus grande importance .
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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