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Andrei Kourkov

Andrei Kourkov
Andreï Kourkov est né en Russie en 1961 et vit à Kiev. Il est aujourd'hui un écrivain ukrainien de langue russe. Très doué pour les langues (il en parle sept), il débute sa carrière littéraire pendant son service militaire alors qu'il est gardien de prison à Odessa... Son premier roman, Le Pingou... Voir plus
Andreï Kourkov est né en Russie en 1961 et vit à Kiev. Il est aujourd'hui un écrivain ukrainien de langue russe. Très doué pour les langues (il en parle sept), il débute sa carrière littéraire pendant son service militaire alors qu'il est gardien de prison à Odessa... Son premier roman, Le Pingouin, remporte un succès international. Son oeuvre est aujourd'hui traduite en 36 langues.Il a dernièrement publié Journal de Maïdan, dans lequel il rend compte des évenements qui ont soulevé son pays.

Articles en lien avec Andrei Kourkov (1)

Avis sur cet auteur (50)

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    Couverture du livre « L'oreille de Kiev » de Andrei Kourkov aux éditions Liana Levi

    Mimosa sur L'oreille de Kiev de Andrei Kourkov

    Premier volet d'une trilogie, ce roman même s'il se déroule en 1919 nous éclaire sur la situation de Kiev,de ses habitants.Intéressant,déroutant même parfois:bien loin de l'Europe(?!)

    Premier volet d'une trilogie, ce roman même s'il se déroule en 1919 nous éclaire sur la situation de Kiev,de ses habitants.Intéressant,déroutant même parfois:bien loin de l'Europe(?!)

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    Couverture du livre « Le pingouin » de Andrei Kourkov aux éditions Liana Levi

    Yv Pol sur Le pingouin de Andrei Kourkov

    Le pingouin, Andreï Kourkov, Liana Levi (traduit par Nathalie Amargier)
    Victor a adopté un pingouin au zoo de Kiev, en faillite. Victor est écrivain mais au chômage. Il lui est proposé d’écrire des nécrologies pour un grand journal, sur des personnalités toujours en vie, qui, un jour,...
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    Le pingouin, Andreï Kourkov, Liana Levi (traduit par Nathalie Amargier)
    Victor a adopté un pingouin au zoo de Kiev, en faillite. Victor est écrivain mais au chômage. Il lui est proposé d’écrire des nécrologies pour un grand journal, sur des personnalités toujours en vie, qui, un jour, disparaissent l’une après l’autre.
    Partout signalé comme coup de cœur, autant sur les blogs que chez les libraires, je me suis dit que c’était un excellent livre pour les vacances. Mais je dois me rendre à l’évidence, je ne suis pas fait pour le mainstream, pour le "vu à la télé" ou autre label censé plaire à tous. Non pas que je n’aie pas aimé ce livre, que je trouve parfois décalé, absurde, mais je l’ai trouvé très long, bourré de temps morts, de répétitions de situations. Je m’y suis ennuyé et les divers personnages qui traversent la vie de Victor ne m’ont pas permis de décrocher de ce sentiment de monotonie. Ce qui est le comble pour un ouvrage que l’on me promettait enthousiasmant. Ni les morts des personnalités qui émaillent les pages ne m’ont pas donné de coup de boost pour reprendre me passionner pour ma lecture. Je suis allé au bout néanmoins, mais que ce fut long !

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    Couverture du livre « Les abeilles grises » de Andrei Kourkov aux éditions Liana Levi

    Sevlipp sur Les abeilles grises de Andrei Kourkov

    Un roman diablement d'actualité.
    En toile de fond, le conflit ukrainien, la volonté d'expansion de la Russie.
    Une zone grise, un village abandonné que deux "ennemis" d'enfance persistent à ne pas abandonner.
    Et puis les abeilles qu'il faut sauver, la nécessité de se déplacer, d'aller à la...
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    Un roman diablement d'actualité.
    En toile de fond, le conflit ukrainien, la volonté d'expansion de la Russie.
    Une zone grise, un village abandonné que deux "ennemis" d'enfance persistent à ne pas abandonner.
    Et puis les abeilles qu'il faut sauver, la nécessité de se déplacer, d'aller à la rencontre de l'autre.
    L'écriture est belle et poétique, le rythme nostalgique mais mes yeux se sont souvent fermés, mes pensées ont divaguées et j'ai eu bien du mal à suivre Sergueïtch dans son voyage.
    Un avis mitigé.

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    Couverture du livre « L'oreille de Kiev : avril 1919 » de Andrei Kourkov aux éditions Liana Levi

    Elizabeth Pianon sur L'oreille de Kiev : avril 1919 de Andrei Kourkov

    Kiev 1919
    Samson et son père sont attaqués par des cosaques.
    Son père meurt et lui a une oreille tranchée.
    Désormais seul, il trouve un emploi dans la milice et se trouve investi de plusieurs missions.
    Les temps sont très durs, peu de lumière, peu de chauffage, peu de nourriture et les morts...
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    Kiev 1919
    Samson et son père sont attaqués par des cosaques.
    Son père meurt et lui a une oreille tranchée.
    Désormais seul, il trouve un emploi dans la milice et se trouve investi de plusieurs missions.
    Les temps sont très durs, peu de lumière, peu de chauffage, peu de nourriture et les morts tombent comme des mouches, soit sous le coup des rouges, soit sous le coup des blancs.
    Le régime communiste s'impose par de multiples décrets, de multiples autorisations.
    Atmosphère trouble, dangereuse, angoissante.
    Kiev est comme un volcan en début d'éruption.
    Il est plutôt stressant de suivre les débuts dans la vie active de Samson.
    Heureusement que l''écriture de Kourkov nous aide à tenir le choc.
    J'au juste un peu regretté que l'oreille de Samson, qu'il conserve dans une boîte métallique, n'ait pas une plus grande importance .