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Superbe BD qui nous raconte comment est né le tout premier whisky japonais. Tout commence à Londres en 2007 où se tient le championnat du monde des meilleurs whiskys. C’est là que les experts écossais et irlandais vont découvrir les Single Malts japonais et que commence notre histoire .Au début du siècle dernier, un jeune japonais Masataka (Masa pour les intimes) Taketsuru va se mettre en tête de créer ce premier whisky au Japon. Pour cela il voyagera en Ecosse en 1918 pour apprendre la chimie organique à l’université de Glasgow. C’est aussi en Ecosse qu’il rencontrera celle qui deviendra sa femme et qui l’accompagnera de retour au Japon. .Pour développer son whisky, Masa s’associe à M. Torii qui deviendra par après son rival ce qui explique d’ailleurs l’existence parallèle de deux principaux whiskys au Japon, le Nikka de Masataka et le Suntory de M. Torii.
Le reste est à découvrir dans ce très beau récit aux dessins fluides et très agréables, de splendides couleurs. Un excellent moment tout en sirotant un whisky…japonais bien entendu.
Sa note : gros coup de ♥
https://nathavh49.blogspot.com/2024/06/whisky-san-rodhain-alcante-grande.html
À Hiroshima, au tournant du XXe siècle, Masataka Taketsuru est un jeune japonais, issu d’une famille de brasseurs de saké. Pendant son enfance, il découvre le whisky au côté de son grand-père. Dès lors, son ambition est claire : créer le tout premier whisky japonais. Commence alors l’histoire de la passion de toute une vie.
« La qualité a toujours été une véritable obsession de Masataka Taketsuru, dont nous essayons de préserver l’héritage ! »
Cet album nous fait découvrir l’un des grands noms du Whisky japonais, pionnier de cette industrie, fasciné et rêvant de produire un breuvage de qualité exceptionnelle. À travers cette histoire, nous découvrons les multiples défis qu’il a dû traverser pour arriver à réaliser son rêve : son voyage en Écosse pour maîtriser les secrets de la distillation, ses conflits familiaux, ses amitiés, sa rencontre avec une Irlandaise devenue son épouse, son ambition sans bornes, le poids des traditions, ses rivalités avec son concurrent direct Shinjiro Torii , ainsi que ses échecs et son inflexible détermination.
« Quand même, j’ai l’impression d’être maudit, il y a toujours quelque chose qui dérape… »
Une œuvre à l’histoire captivante, véritable hymne à la passion, au travail acharné, à la ténacité et à la dévotion. C’est aussi un récit fascinant sur l’histoire du whisky japonais, l’évolution d’un pays et l’histoire d’une famille.
Du whisky japonais ? Quelle drôle d'idée ! C'est assurément ce que diraient un irlandais et un écossais à une cérémonie de célébration des meilleurs whiskies du monde en 2007. Mais d'où vient cette idée folle de faire un whisky japonais ? Et qui l'a fait naître ?
Fabien Rodhain et Didier Alcante démarrent aux origines de l'idée. Puis ils tracent avec nous le long parcours, semé d'embûches, qui a mené Masataka Taketsuru, avec une abnégation impressionnante à atteindre son but, De son voyage en Ecosse en pleine Grande Guerre, à l'ouverture de sa propre distillerie en 1934, il lui en a fallu de la persévérance pour sortir la première bouteille de whisky local.
J'avais beaucoup aimé le dessin d'Alicia Grande pour ses débuts dans le diptyque "Retour de flammes" (avec Laurent Galandon chez Glénat). Son style semi réaliste convient très bien à cette histoire humaine et historique. Si je suis moins convaincu par les couleurs, le tout n'en reste pas moins fort agréable.
Cette histoire complète est très intéressante à lire, j'ai pris plaisir à découvrir l'histoire du whisky japonais, et pas besoin d'être un amateur du liquide ambré pour y trouver de l'intérêt. Une découverte sympathique !
Chronique précédemment parue sur le blog www.sambabd.net
Ah enfin ! Enfin un diptyque qui ne se termine pas en eau de boudin. A vrai dire, la qualité scénaristique de l’ensemble se devinait déjà dans le premier tome où l’on voyait bien que le scénariste avait mitonné sont histoire aux petits oignons.
Dans ce deuxième tome, nous suivons donc toujours l’enquête de l’inspecteur Lange, plongé entre les tourments de son enfance malheureuse loin d’une mère qui lui a préféré une hypothétique carrière d’actrice outre-Atlantique et la complexité de la/sa situation. Entre les actes héroïques de certains, les cocufiages d’autres, la Gestapo, les allemands, une voisine aussi charmante que mystérieuse et un producteur puissant et borné, la beauté du scénario vient du fait que l’on s’y retrouve sans problème. Les problématiques, aussi nombreuses et imbriquées soient-elles, restent non seulement accessibles mais également parfaitement compréhensibles. Chapeau Galandon !
Accessoirement, c’est bien dessiné. Que dis-je ? C’est TRES bien dessiné. Je crois qu’au match aller… pardon, au premier tome, j’étais passé un peu à côté de l’admirable talent d’Alicia Grande. Car si elle maîtrise tout à fait les codes de la bande dessinée (cadrages, enchaînements des cases, etc.) elle brille également par un trait précis, à la fois vif et léger, doublé d’une parfaite gestion du mouvement. Madelen, la mère de Lange qui apparaît régulièrement de manière fantasmagorique, est à ce titre magnifiquement réussie.
Si je résume, on a un scénario en béton mis en lumière (j’oubliais les très belles couleurs) et soutenu par un dessin de très haute qualité, le tout en deux tomes homogènes. Bref, ENFIN un excellent dyptique !
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