Des romans policiers à offrir ? Faites le plein de bonnes idées !
Plutôt d'accord avec le commentaire de Franck Finet.
Un album décevant, qui adresse les débats de société mainstream sans grande ambition.
Je cite la dernière page de l'album :
Henry Bergh - "Désormais, je vais me tourner vers l'éducation des enfants ; ce sont les générations futures qui changeront nos habitudes ! JE LANCE UNE REVUE DESSINÉE AVEC DES PERSONNAGES ANIMALIERS... "
Lucky-Luke - "Bonne idée ! Il paraît que ça marche très bien !"
Tout est dit...
L'album est vraiment faiblard de par l'action ou l'humour (on est bien loin des albums de Goscinny), les personnages ont peu de présence et de caractère, ils s'oublient très vite.
Pour finir, certes le contexte est particulier (je n'en dis pas plus), mais Lucky-Luke pleure (pour la première fois, je pense ?), puis tire et BLESSE le gringo qui prend la fuite... Non mais, OH ?!
Je n'ai jamais vu ça (pour ne pas paraphraser le Commandant Turbo de Natacha l'hôtesse de l'air) !!!
Un album dans l’air du temps qui parle de protection des animaux, de véganisme, tout ça sur fond de grand-ouest américain au pays des cowboys. Lucky Luke endosse son rôle légendaire de sauveur des opprimés. Un bon opus, plein d’humour et de références, mais on regrettera malgré tout l’absence des Dalton qui donnent toujours du piment à l’histoire. Le scénario est solide, le graphisme rigoureux, les couleurs respectées, tout est fidèle à Morris et Goscinny. En bonus, un petit « le saviez-vous ? » nous dévoile une brève biographie de Henry Bergh (1813-1888), fondateur de l’USPCA, société américaine de prévention contre la cruauté envers les animaux. Plaisir et culture réunis, pour notre plus grand bonheur de lecteur.
Une couverture pleine d’animaux, un titre en référence à l’Arche de Noé.
Pour ce 82e numéro, Jul, scénariste de la bande-dessinée, et Achdé, le dessinateur, ont voulu aborder le sujet de la cause animale.
A Cattle Gulch, seul Ovide Byrde, un "illuminé" défenseur de la cause animale, s'agite et peine à sensibiliser ses concitoyens.
L'Histoire de la construction de l'Amérique l'a pleinement justifié ( extermination des bisons, .... )
Lucky Luke lui évite une pendaison expéditive et tente de rétablir l'ordre .
Par des circonstances hasardeuses, Ovide Byrde - assisté bien malgré lui par un bandit notoire - parvient à prendre le contrôle de la ville - rebaptisée Veggie Town , une ville dorénavant aux mains des défenseurs des animaux.
Un bouleversement des habitudes qui vire souvent à l'extrémisme.
La population est sous tension, les indiens s'en mêlent et Lucky Luke doit -une nouvelle fois - tenter d'apaiser les foules.
Un hommage à Henry Bergh (1813) , fondateur de la première SPA américaine.
Une courte BD au message politique.
L'écologie, la défense de la cause animale poussées à l’extrême et l'humour induit.
J'avoue être particulièrement déçu par cette BD . On ne voit pas ce que Lucky Luke vient faire dans le débat.
Notre héros semble être accommodé à toutes les sauces.
Lucky Luke devenu un produit marketing.
Lucky Luke prend des vacances bien méritées dans une petite ville du Kansas quand il voit débarquer les frères Dalton, en route pour le pénitencier, escortés par son ami, le célèbre Bass Reever. C’est donc devant leurs yeux médusés qu’il apprend qu’il hérite d’une plantation de coton en Louisiane. Voilà donc le poor lonesome cow-boy, devenu riche, en route pour l’état du Sud afin de régler la succession de Constance Pinkwater, la chère défunte, fan absolue de Luke.
Mais que ferait un cow-boy dans une plantation ? Rien ! Pressé de retourner dans l’Ouest, Lucky Luke veut céder sa propriété aux anciens esclaves qui y travaillent, au grand dam de ses riches voisins et des Dalton qui l’ont suivi afin de le liquider et de prendre possession de son héritage.
Si le lecteur est par définition polyamoureux, il est aussi capable d’être fidèle à un auteur ou à un héros. Lucky Luke est de ceux que l’on aime retrouver, par amour ou par habitude et pourtant…la déception est plus souvent au rendez-vous que le coup de cœur depuis que son père l’a laissé orphelin et que d’autres essaient de ranimer la flamme avec peu de réussite.
Dans ce dernier opus, l’homme qui tire plus vite que son ombre n’est que l’ombre de lui-même. Il débarque dans le Sud tel un benêt qui découvre que tous les hommes ne sont pas égaux et que les noirs sont toujours oppressés malgré l’abolition de l’esclavage. Sait-il seulement que cette abomination a existé… ? On peut en douter quand on le voit s’étonner de la manière de vivre des planteurs blancs.
Pendant qu’il découvre la vie, les Dalton se démènent dans les sables mouvants de Louisiane, rencontrent des cajuns et apportent une touche d’humour (pas toujours drôle) à cet opus qui sombre dans le néant.
Pas de scénario, pas d’histoire, pas d’aventures, rien ne permet de capter l’attention le long de ces 46 pages qui s’étirent comme un jour sans pain.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
Des romans policiers à offrir ? Faites le plein de bonnes idées !
Nostalgique, nomade ou plutôt romantique ? Trouvez le livre de la rentrée qui vous correspond !
Nouveaux talents, nouveaux horizons littéraires !
Des romans, livres de recettes et BD pour se régaler en famille !