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Karine Giebel

Karine Giebel
"Karine Giébel est née en 1971 dans le Var, où elle vit toujours. Son premier roman, Terminus Elicius (Editions la Vie du rail, 2004) reçoit le Prix Marseillais du Polar en 2005. Suivront Meurtres pour rédemption (Editions la Vie du rail, 2006, et réédité au Fleuve Noir en 2010) qui a été sélecti... Voir plus
"Karine Giébel est née en 1971 dans le Var, où elle vit toujours. Son premier roman, Terminus Elicius (Editions la Vie du rail, 2004) reçoit le Prix Marseillais du Polar en 2005. Suivront Meurtres pour rédemption (Editions la Vie du rail, 2006, et réédité au Fleuve Noir en 2010) qui a été sélectionné pour le Prix Polar Cognac, Les Morsures de l'ombre (Editions Fleuve Noir, 2007) tour à tour lauréat du prix Intramuros, du Prix SNCF 2009 et du Prix Derrière les murs, Chiens de sang (Editions Fleuve Noir, 2008) et Jusqu'à ce que la mort nous unisse (Fleuve Noir, 2009), Lauréat du Prix des Lecteurs au Festival Polar de Cognac. Juste une ombre a reçu le Prix Marseillais du Polar et le Prix Polar de Cognac. Purgatoire des Innocents est son dernier roman paru au Fleuve Noir. www.karinegiebel.fr"

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Articles en lien avec Karine Giebel (6)

Avis sur cet auteur (450)

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    Couverture du livre « Glen Affric » de Karine Giebel aux éditions Plon

    Johanna Karniewicz sur Glen Affric de Karine Giebel

    En voilà un roman qui m'a tenue en haleine : pas moins de 750 pages à couper le souffle !

    J'ai suivi Léonard, le cœur serré, le ventre noué et les larmes aux yeux. Parce que Léo, la vie lui a pas fait de cadeau, pire que ça, la vie a été une vraie enflure avec lui. Pauvre gosse...

    C'était...
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    En voilà un roman qui m'a tenue en haleine : pas moins de 750 pages à couper le souffle !

    J'ai suivi Léonard, le cœur serré, le ventre noué et les larmes aux yeux. Parce que Léo, la vie lui a pas fait de cadeau, pire que ça, la vie a été une vraie enflure avec lui. Pauvre gosse...

    C'était mon premier roman de Karine Giebel et je suis pas sûre de retenter l'expérience car d'après vos retours, ils sont tous comme ça ! Par comme ça, j'entends "le monde n’est qu’un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange..." Et moi, je ne peux pas. C'est pas possible, je ne lis pas pour me faire du mal, j'ai besoin d'espoir, d'amour et de soleil pour mon petit cœur !

    Si vous n'avez pas peur de souffrir, foncez ! Parce que ce roman n'en est pas moins excellent pour autant ! Juste pas ma came !

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    Couverture du livre « Et chaque fois, mourir un peu Tome 1 : Blast » de Karine Giebel aux éditions Recamier

    Les livres de K79 sur Et chaque fois, mourir un peu Tome 1 : Blast de Karine Giebel

    Karine Giebel est une écrivaine qui aime pousser les curseurs au maximum. Elle fait tout son possible pour que chacun de ses romans laisse des traces dans notre esprit. Même si ses propositions sont variées, jusqu’à présent, je peux dire que qu’elle a toujours atteint ses objectifs avec moi...
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    Karine Giebel est une écrivaine qui aime pousser les curseurs au maximum. Elle fait tout son possible pour que chacun de ses romans laisse des traces dans notre esprit. Même si ses propositions sont variées, jusqu’à présent, je peux dire que qu’elle a toujours atteint ses objectifs avec moi !

    Pour ce premier des deux volumes de « Et chaque fois, mourir un peu », elle nous fait partager le quotidien chaotique d’un infirmier engagé dans l’aide internationale. Il nous fait voyager vers des contrées variées où les conflits font rage : Rwanda, Tchétchénie, Congo, Colombie… Sur place, l’immersion est totale. On perçoit à travers ses yeux, la misère, la détresse des victimes collatérales et la cruauté des belligérants. Il apporte avec ses collègues une forme d’humanité dans ces endroits où elle semble avoir complètement disparue.

    Dans ces différents romans, l’autrice essaye de nous pousser dans nos retranchements, d’ébranler nos certitudes, de mettre à mal nos émotions, de nous mettre face à l’indicible, de nous révolter contre les injustices. Elle réussit une nouvelle fois à combiner tous ces composants dans ce texte. Grâce à son style accessible et efficace, les pages se tournent facilement alors que la lecture s’avère terrible. Chaque scène nous met face à des monstruosités plus inhumaines les unes que les autres.

    Sur toute la durée de roman, j’ai trouvé que les allers retours de Grégory étaient un peu répétitifs, mais c’était surement un mal nécessaire pour insister sur l’ampleur des drames qui secouent notre planète. Karine Giebel a frappé fort, comme d’habitude ! Elle m’a privé d’air, saisi aux tripes et écœuré tout au long de cette aventure. Je ne ressors donc pas indemne de cette lecture désespérante et oppressante dont la seule lueur d’espoir repose sur ces hommes et femmes qui vivent dans le seul but d’aider les autres.

    https://leslivresdek79.wordpress.com/2024/05/13/936-karine-giebel-et-chaque-fois-mourir-un-peu-1/

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    Couverture du livre « Et chaque fois, mourir un peu Tome 1 : Blast » de Karine Giebel aux éditions Recamier

    caro manil sur Et chaque fois, mourir un peu Tome 1 : Blast de Karine Giebel

    Inutile de répéter l'amour que j'ai pour cette autrice ... Je crois que j'en ai assez dit sur elle, sur le pourquoi ses livres m'ont autant percuté. Depuis qu'elle a annoncé sur les reseaux sociaux la sortie de ce roman, j'étais à l'affut et quand le grand jour est arrivé, je me suis précipitée...
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    Inutile de répéter l'amour que j'ai pour cette autrice ... Je crois que j'en ai assez dit sur elle, sur le pourquoi ses livres m'ont autant percuté. Depuis qu'elle a annoncé sur les reseaux sociaux la sortie de ce roman, j'étais à l'affut et quand le grand jour est arrivé, je me suis précipitée à ma librairie pour l'acheter ! Je me suis ruée sur ces pages et malheureusement elles ne m'ont pas transportées ... Quand mon ami m'a posé la question "c'est un thriller ? , il y a un gros méchant ? " je lui ai répondu oui le méchant dans cette histoire c'est la GUERRE ... Ce livre, c'est ça ... Les horreurs de la guerre à travers un personnage qui travaille pour la croix rouge.
    On va d'horreur en horreur en se demandant combien de temps encore ça va durer ... Je vous avoue qu'après la 102 eme amputation, j'étais saoulée ... ! Ce livre est sans doute nécessaire pour qu'on ne banalise pas ces horreurs mais franchement ça m'a fait l'effet inverse ! Il y en a tellement que ça en devient "banal" ... Je lirai sans doute la suite car j'espère y trouver une chute plus "consistante" ... A suivre donc !

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    Couverture du livre « Et chaque fois, mourir un peu Tome 1 : Blast » de Karine Giebel aux éditions Recamier

    Claforiane sur Et chaque fois, mourir un peu Tome 1 : Blast de Karine Giebel

    Une dernière page qui se tourne et vivement le tome 2.
    Comme à son habitude, Karine GIEBEL nous tient en haleine tout au long de son roman.
    Elle signe ici un livre hommage à tous ces hommes et femmes qui consacrent leurs vies à essayer d'en sauver d'autres, dans les coins du monde soumis à la...
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    Une dernière page qui se tourne et vivement le tome 2.
    Comme à son habitude, Karine GIEBEL nous tient en haleine tout au long de son roman.
    Elle signe ici un livre hommage à tous ces hommes et femmes qui consacrent leurs vies à essayer d'en sauver d'autres, dans les coins du monde soumis à la misère, à la guerre.
    Cette histoire est prenante, addictive, difficile et nécessaire pour comprendre la vie difficile des pays en guerre.
    Gros coup de coeur.