Scrupuleusement fidèle à la réalité historique, méticuleusement documenté, Les Guerres de Lucas met en scène l'invraisemblable épopée de George Lucas, enfant rebelle passé à côté de la mort, prodige du nouvel Hollywood et visionnaire indomptable.
Une exploration inédite des coulisses de Star Wars, de l'enfer du casting au tournage cauchemardesque, où querelles entre acteurs, histoire d'amour secrète et désastres en pagaille jalonnent le quotidien. Un bourbier gigantesque dont sortira pourtant une oeuvre majeure qui changera à jamais le cinéma.
Les Guerres de Lucas est une plongée en apnée dans les affres de la création, intense et poignante, mais drôle malgré tout. Making of ultime, success-story jouissive et leçon de cinéma, une ode à la magie de l'enfance et à la persévérance.
Un roman graphique exceptionnel qui raconte l'incroyable parcours de George Lucas, le créateur de Star Wars
Des bandes dessinées, mangas et romans graphiques à glisser sous le sapin !
Bon, que dire de plus ?
Tout le monde s'extasie devant cet album, et je m'inclue dedans, assurément.
Peut-être une chose que je n'ai pas lue, et qui pour moi est une info relativement forte.
Les trois derniers mots de la dernière page du récit de ces guerres de Lucas :
TO
BE
CONTINUED
!!!
Eh oui, The Empire strikes back !?!
Superbe bd sur la véritable aventure que fut la réalisation de ce premier volet de la saga. On arrive a comprendre l’économie d’Hollywood et les contraintes qui pèsent sur les réalisateurs. Le dessin est très agréable et le rythme passionnant.
Très belle découverte, j'ai adoré. Je n'ai vu aucuns films de Star Wars mais j'ai été transportée. Le livre nous emmène dans les coulisses de création de Star Wars. On y apprend pleins de choses ( L'écriture du scénario, les castings des acteurs, les effets spéciaux......). L'histoire relate également les nombreux combats qu'a dû traverser Georges Lucas pour réussir à sortir son film.
Cela m'a donné envie de voir les films !!
Merci 1000 fois, lecteurs.com, de m'avoir fait gagner ce livre.
C'est absolument passionnant. Le déroulement est fluide et clair, Laurent Hopman a-t-il retravaillé moult fois son scénario comme l'avait fait Lucas pour ce beau résultat ?
Quand au dessin, assez dépouillé en apparence, il est d'une précision remarquable et parfait pour cet exercice. Les célébrités sont d'une ressemblance stupéfiante. Les attitudes et les mouvements très bien rendus. Bravo pour cet excellent travail.
Pour tout fan de cette saga, et encore plus pour ceux qui ont eu comme moi, la chance vivre cette époque, et donc, cette claque cinématographique : c'est un livre indispensable. Mais aussi pour les autres. Car c'est la création de A à Z d'un jalon culturel de notre époque qui nous est conté avec talent.
On découvre l'étonnante personnalité de Georges Lucas, obstiné et prêt à tout supporter et prendre tous les risques pour donner vie à son rêve, seul contre tous. Bien d'autres auraient abandonné. Caractère sans lequel le monde aurait été privé de cette oeuvre mythique.
Étant fan de bande dessinée, je regrette seulement que les auteurs n'aient pas fait allusion à l'utilisation évidente et non avouée du visuel des albums de Valérian (par Jean-Claude Mézières), lors des créations de vaisseaux, décors, extraterrestres, etc...
Les Guerres de Lucas
Voici un album que je n’avais pas pris le temps de lire malgré le plus grand bien qui en a été dit jusqu’à présent. Il me fallait donc enfin, à mon tour, aller à la rencontre de ce “documentaire” sur le tournage de ce qu’on peut appeler un des monuments du cinéma mondial. Qui n’a pas entendu parler de Star Wars ? Certainement peu de gens. Mais qui connaît la façon, un peu chaotique il faut bien l’avouer, dont s’est déroulé le tournage ? Certainement la plupart d’entre nous.
Heureusement, grâce à Laurent Hopman (scénario) et Renaud Roche (dessin), nous voilà donc à même d’entrer dans les coulisses de ce qui aurait pu être un magnifique fiasco, sans le combat acharné d’un homme, prêt à tout pour réaliser son rêve. Les Guerres de George Lucas furent en effet nombreuses. Film signé très tardivement par la Fox, il aura fallu énormément de détermination à Lucas, mais également aux membres de son équipe qui l’accompagnèrent, pour que ce premier film, d’une longue série, soit projeté sur les écrans américains, le 25 mai 1977.
Rien ne prédestinait George Lucas à devenir réalisateur de films. Fils de commerçant, que l’école ennuyait profondément, c’est à l’université que le cinéma devint vite une passion pour lui. Après deux films au compteur, il réalisa que la science-fiction était une évidence pour lui. L’aventure débute donc en 1973, avec la signature d’un simple accord pour un scénario. Il écrira plusieurs versions de son scénario avant d’en débuter le tournage en Tunisie pour les extérieurs, puis à Londres. Lucas créera également ILM, un studio chargé de réaliser les effets spéciaux. Il va sans compter que ces quatre années de travail ne furent pas un long fleuve tranquille. Beaucoup de stress et de pression mirent le réalisateur au bord de l’infarctus. Mais sa détermination sans faille, et la présence à ses côtes de sa femme Marcia, ont eu raison du projet de cet homme qu’on peut qualifier de visionnaire.
Et c’est de la plus belle des manières que les auteurs des Guerres de Lucas lui ont rendu hommage, avec un scénario haletant et rythmé, ainsi qu’un dessin puissant et dynamique. En résumé, une très belle réalisation.
Merci Lecteurs.com pour l'envoi de cet album, suite à un concours sur votre site.
Je l'ai lue d'une traite car j'étais littéralement captivée par l'histoire. Cette plongée dans l’univers de StarWars (genèse et tournage des films) est tout simplement passionnante.
C'est un ÉNORME coup de cœur ! Tout lecteur qui aime la saga 'la guerre des étoiles' se doit de lire cet album. Incontournable.
Prix BD France Info 2024
Prix BD Fnac-France Inter 2024
Quand le 9 ème art permet d’aller voir derrière le rideau du7 ème art et de mesurer les freins et difficultés rencontrées par Lucas pour réaliser son Star Wars (ce qui permet d’apprécier que sans son premier succès d’Américan Graffiti il n’aurait probablement pas pu disposer des ressources financières minimales vue la frilosité des Studios).
Ce roman graphique est particulièrement bien documenté et permet de passer en revue :
• les réécritures multiples du scénario … et la découverte en lisant « Le héros aux mille et un visages » de Joseph Campbell qu’il (Lucas) était en train de s’inscrire dans un « monomythe » (*) et qu’il va trouver et affirmer dans ces références le fil de son histoire ;
• les enjeux de la créativité (et de la débrouille) pour les effets spéciaux,
• le casting (avec les partis pris de Lucas) et les relations (multiples) avec et entre les acteurs ;
• la lutte avec les studios dont il finira par sortir vainqueur malgré les freins mis (paradoxalement) par ces mêmes studios ;
• La puissance créative de John Williams avec une musique qui a contribué au succès de StarWars ;
• Le choix assumé du merchandising ;
• une certaine communauté avec les réalisateurs montant de la période : Coppola, Spielberg, Palma, … et certains liens privilégiés qui donneront naissance à des partenariats qui ont marqué le cinéma.
• De multiples anecdotes comme la consigne donné par Lucas pour créer le vaisseau « faucon millénium » de s’inspirer d’un mélange d’Hamburger et de côte de porc (sic !) ; etc.
• …
Lucas aura tout donné (y compris sa santé) pour réaliser ce qui va s’avérer un succès … planétaire.
Ce roman graphique est classique (avec des choix pertinents notamment dans les représentations graphiques : cf. d’ailleurs le petit cahier explicitant les choix de Renaud Roche), efficace, et intéressant avec une histoire structurante (qui, a contrario, ne laisse pas la place à certaines créativités de scénario ou picturales).
On se laisse prendre et on prend plaisir à lire ces plus de 200 pages récompensées par le prix BD Fnac-France Inter 2024.
La couverture suggère immédiatement le récit : le réalisateur George Lucas mais aussi sa solitude…
Embarquement immédiat dans la vie de George Lucas avec son enfance. Un gamin « indolent, tire-au-flanc » que rien n’intéresse, hormis les aventures de Flash Gordon et les voitures de course.
Après un accident qui manque de lui coûter la vie, il décide d’étudier le cinéma.
Contrairement à son ami Coppola, c’est un passionné mais aussi un introverti, un taiseux. Star Wars, c’est son bébé. Il le rêve, il l’envisage, il le poursuit, infatigable, déterminé et obstiné. Il le voit déjà sur l’écran alors que tous le considèrent comme un projet confus et irréalisable.
Comme quoi, entre la genèse d’un film et sa sortie sur les écrans, il a y souvent des années lumière. Stars War a été maintes et maintes fois remaniée par George Lucas. Un scénario abscons, laborieux jusqu’au moment où il comprend ce qui manque à son scénario : un thème à portée universelles.
On découvre avec beaucoup d’intérêt, les difficultés pour se faire financer, en même temps les coulisses du cinéma. Ainsi que les sociétés de production et tous les métiers essentiels et inconnus du grand public.
Un journal de l’époque résume parfaitement l’essence même de Star Wars : « la réussite de Star Wars repose moins sur ses trucages futuristes que sur son scénario : un cocktail d’archaïsme et de modernité, qui puise dans la mythologie et la psychanalyse. »
Et c’est l’essence même de George Lucas : un scénariste, un « imagineur » d’histoires comme lorsqu’il était gamin.
Une BD dont le scénario est bien maîtrisé. C’est le moins qu’on puisse faire quand le sujet de l’histoire est un scénariste. :- )
Les personnages sont particulièrement bien analysés. On sent la précision et la profondeur de la documentation.
J’ai adoré la désinvolture apparente de Coppola, son humour, quand on lui propose l’idée du futur « Parrain » : On vient de me proposer un film. Mais ça ne me parle pas du tout… Une histoire de famille italienne dans les années 40, c’est tiré d’un bouquin… »
L’accent graphique est mis sur les expressions, sur les éléments immédiatement reconnaissables des personnages : la barbe et les lunettes de Lucas, l’air goguenard de Spielberg, ses lunettes à la Ray-ban, et bien sûr, sa casquette.
J’ai adoré le passage musical où John Williams présente la version définitive de la musique : ça décoiffe ! Et cela le dessinateur a particulièrement bien réussi à le rendre.
La mise en page est classique, 4 et 5 cases, en majorité. Plutôt noir et blanc, quelquefois noir et bleu avec souvent un élément en couleur. Insistance sur l’élément essentiel de l’action. Comme le contrat jaune de Star Wars, comme la casquette de Spielberg.
Plus que la vie de George Lucas, c’est l’épopée très détaillée et passionnante de Star Wars.
BD lue dans le cadre du Jury BD Fnac / France Inter, où il faisait partie de mon Top 3.
Je remercie La Fnac, France Inter et les Editions Deman
https://commelaplume.blogspot.com/
Félicitation d'avoir participé au jury BD Fnac / France Inter ; beaucoup "d'appellant" et peu d'élu.e.s
Toujours intéressant
_I-
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Revenu sur les terres de son enfance, l'auteur entame un dialogue avec ce petit garçon plein d'ambitions qu'il a été...
Merci ! C'était exigeant, mais passionnant... :- )