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Jean Cremers

Jean Cremers

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Avis sur cet auteur (19)

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    Couverture du livre « Le Grand Large » de Jean Cremers aux éditions Glenat

    s.laby sur Le Grand Large de Jean Cremers

    On n’est pas tous équipés pareil dans la vie. Bateau à moteur, planche à voile, canoë, yacht de luxe… Léonie, elle, part avec une barque en bois et un bras en moins. “Mes parents disent qu’il ne faut pas avoir peur du Grand Large… qu’il s’agit ‘simplement’ de trouver la terre ferme.”

    Au...
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    On n’est pas tous équipés pareil dans la vie. Bateau à moteur, planche à voile, canoë, yacht de luxe… Léonie, elle, part avec une barque en bois et un bras en moins. “Mes parents disent qu’il ne faut pas avoir peur du Grand Large… qu’il s’agit ‘simplement’ de trouver la terre ferme.”

    Au large, elle croise d’autres enfants, perdus comme elle dans l’immensité bleue. Balthazar, un garçon muet qu’elle recueille dans son embarcation de fortune. Mais aussi Agathe, une vieille adolescente farceuse au corps buriné par la mer et le soleil. Ensemble, ils errent pendant plus de deux cents pages sur cette mer pleine de plastique et de personnages peu recommandables. Face à la violence des hommes et des flots, une seule issue : l’amitié.

    On ne se lasse jamais du décor, toujours le même, toujours changeant. On se focalise forcément davantage sur les personnages aux visages anguleux et aux contours fragiles. Et on prend la mesure de toutes les métaphores de cette odyssée pleine de tempêtes et de remous. Affronter “le Grand Large”, c’est traverser la vie.

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    Couverture du livre « Le Grand Large » de Jean Cremers aux éditions Glenat

    jelispleindebd sur Le Grand Large de Jean Cremers

    (Lu dans le cadre du Prix Orange de la BD 2024)

    Derrière cette aventure en haute mer, on voit une métaphore assez claire du passage à l'âge adulte, des inégalités en jeu, et de l'importance des rencontres pour surmonter les épreuves. Le propos est intéressant, mais finalement un peu léger à...
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    (Lu dans le cadre du Prix Orange de la BD 2024)

    Derrière cette aventure en haute mer, on voit une métaphore assez claire du passage à l'âge adulte, des inégalités en jeu, et de l'importance des rencontres pour surmonter les épreuves. Le propos est intéressant, mais finalement un peu léger à mon goût. J'ai trouvé que la force de l'album résidait surtout dans la capacité de Jean Cremers à mener son récit d'aventures. Avec son trait simple mais dynamique, et son découpage efficace, les presque 250 pages de l'album passent à toute vitesse, avec quelques belles séquences émouvantes, et plusieurs doubles pages marquantes.

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    Couverture du livre « Le Grand Large » de Jean Cremers aux éditions Glenat

    Claire @fillefan2bd sur Le Grand Large de Jean Cremers

    Mais qu’allait-elle donc faire dans cette galère ? Ou plus exactement, dans cette barque. Elle, c’est Léonie. Comme les autres enfants de son âge, elle doit prendre le large. Ses parents l’ont aidée à organiser ce voyage imposé. Même si son embarcation est sommaire, celle-ci est étanche et...
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    Mais qu’allait-elle donc faire dans cette galère ? Ou plus exactement, dans cette barque. Elle, c’est Léonie. Comme les autres enfants de son âge, elle doit prendre le large. Ses parents l’ont aidée à organiser ce voyage imposé. Même si son embarcation est sommaire, celle-ci est étanche et dispose de rames pour avancer. La jeune fille a donc revêtu son gilet de sauvetage et a, à disposition, des provisions, pour ne manquer de rien. Bien que née avec un seul bras, son père a essayé de pallier son handicap en lui fabriquant une prothèse en bois.
    Voilà, Léonie n’est pas seule à prendre le départ de cette course. À moins que ce ne soit une odyssée. Mais quelle est la destination à laquelle elle doit se rendre. A priori, il est question de terre ferme. Mais en attendant, il va falloir ramer. Et surtout faire très attention à celles et ceux, prêts à lui voguer dessus, pour atteindre avant tout le monde, leur terre promise.
    Après un début de navigation un peu chaotique, tempête, accident, perte de rames, barque un peu endommagée, Léonie rencontre Balthazar, qui est sur le point de se noyer. Elle lui propose de la rejoindre dans son embarcation de fortune, afin de ne pas être seuls, l’un comme l’autre. L’union faisant la force, le jeune garçon apporte, dans leur nouvel univers partagé, une paire de rames. Ainsi mieux armés, Léonie et Balthazar vont-ils enfin naviguer sur une mer plus calme ?
    C’est avec un récit truffé de métaphores, que Jean Cremers de La Vague de Froid nous entraîne vers d’autres courants, ceux du passage vers l’âge adulte. Avec son récit très imagé, au propre comme au figuré, nous pouvons ainsi suivre les aléas de la vie auxquels sont confrontés les jeunes qui, un jour, doivent quitter le monde de l’adolescence. Un parcours qui se fait à domicile quand on a la possibilité de rester chez soi. Mais un changement plus radical quand on doit quitter le nid familial, son port d’attache.
    Ce Grand Large nous permet de retrouver, avec grand plaisir, le trait très reconnaissable de ce jeune auteur, qui encore une fois, nous aura permis de faire un beau voyage. Cette fois, en compagnie de celle ou celui que nous avons été, il y a à peine quelques années !

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    Couverture du livre « Le Grand Large » de Jean Cremers aux éditions Glenat

    bibliothecaire_bd sur Le Grand Large de Jean Cremers

    Une gamine est envoyée en mer dans une barque fragile. Tandis qu'elle hurle à ses parents de ne pas l'abandonner, ces derniers la lâchent en plein "hunger games" maritimes. Face à d'autres jeunes adolescents, l'héroïne tente de survivre et de trouver le grand large. Elle fait la rencontre d'un...
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    Une gamine est envoyée en mer dans une barque fragile. Tandis qu'elle hurle à ses parents de ne pas l'abandonner, ces derniers la lâchent en plein "hunger games" maritimes. Face à d'autres jeunes adolescents, l'héroïne tente de survivre et de trouver le grand large. Elle fait la rencontre d'un garçon muet et d'une vieille femme durant son aventure.

    Récit survivaliste, fable post-apocalyptique et écologique, cette bd interpelle. Quelle est la mission de ces jeunes sacrifiés génération après génération ? Cela nous renvoie à des récits mythologiques, tels les quatorze jeunes envoyés à la demande du roi Minos dans le labyrinthe du Minotaure. Dans un futur imaginaire il y a quelque chose d'archaïque dans ce sacrifice d'enfants. Je regrette cependant qu'on n'ait pas plus de réponses sur les raisons de cette aventure. Personnellement j'ai aimé cette bd mais je l'ai refermée sur un sentiment de trop peu.

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