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Création d'un atelier d'écriture en ligne. Accroche du jour:

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  • Saint-Fort a dit :
    Peut-être pourrions-nous utiliser une de ces phrases et la développer en guise de réponse pour un éventuel redémarrage mais en écrivant un texte court ?

    Tu pourrais commencer Saint Fort STP; ça nous ferait un exemple?
    Merci.
  • Cymone a dit :
    Tu pourrais commencer Saint Fort STP; ça nous ferait un exemple?
    Merci.


    Oui bonne idée !
  • Cymone a dit :
    Tu pourrais commencer Saint Fort STP; ça nous ferait un exemple?
    Merci.


    De la myopie et de ses avantages

    Il était myope, tellement myope que parfois il lui fallait remonter ses super lunettes anti-myopie sur son front afin de rapprocher de son œil droit, qui n’était pas autant myope que son œil gauche, le document qu’il n’arrivait pas à déchiffrer.
    C’était un mathématicien solitaire non par choix, il aimait la compagnie de ses collègues, mais parce qu’il était timide et redoutait le monde extérieur : des gens qu’il côtoyait il n’en connaissait que la silhouette et la voix. Et c’est d’une voix qu’il tomba amoureux : une voix de femme si mélodieuse qu’il s’en éprit aussitôt.
    « Une nouvelle collègue, lui dit-on, très forte en mathématiques, « et célibataire », ajouta quelqu’un.
    Il fit sa cour à cette femme à la voix envoûtante puis la demanda en mariage, ce qu’elle accepta.
    La nouvelle fit sensation dans les bureaux car personne ne s’imaginait que ce mathématicien hors pair mais à la vue courte séduirait une femme aussi belle.
    Qu’advint-il de cette union ? Un nouveau théorème et un enfant qui sera peut-être mathématicien à son tour.
  • Saint-Fort a dit :
    De la myopie et de ses avantages

    Il était myope, tellement myope que parfois il lui fallait remonter ses super lunettes anti-myopie sur son front afin de rapprocher de son œil droit, qui n’était pas autant myope que son œil gauche, le document qu’il n’arrivait pas à déchiffrer.
    C’était un mathématicien solitaire non par choix, il aimait la compagnie de ses collègues, mais parce qu’il était timide et redoutait le monde extérieur : des gens qu’il côtoyait il n’en connaissait que la silhouette et la voix. Et

    c’est d’une voix qu’il tomba amoureux : une voix de femme si mélodieuse qu’il s’en éprit aussitôt.
    « Une nouvelle collègue, lui dit-on, très forte en mathématiques, « et célibataire », ajouta quelqu’un.
    Il fit sa cour à cette femme à la voix envoûtante puis la demanda en mariage, ce qu’elle accepta.
    La nouvelle fit sensation dans les bureaux car personne ne s’imaginait que ce mathématicien hors pair mais à la vue courte séduirait une femme aussi belle.
    Qu’advint-il de cette union ? Un nouveau théorème et un enfant qui sera peut-être mathématicien à son tour.


    Super!!!
  • Le grain de sable dans la chaussure ( réponse à Bernard Dominique )

    La proposition m’allât droit au cœur car, hélas, je fais partie de cette catégorie de gens qui récupèrent très régulièrement un petit caillou dans leur chaussure. Souvent c’est mon pied gauche qui est attaqué ( allez me dire pourquoi !) Ce caillou me rappelle un grand-père qui trouvait toujours « le » caillou dans les lentilles cuisinées soigneusement, pourtant, par sa femme. Moi c’est le caillou dans la chaussure.
    .
    Chercher un banc ou un endroit herbeux, sans orties, défaire les lacets, secouer la chaussure pour en chasser le fautif est devenu une sorte de rituel si bien qu’un jour sans caillou me surprend toujours.
    J’ai eu beau changer de chaussure de marche il y a assurément un tout petit caillou qui m’attend !
  • Kryan a dit :
    Comme tu veux, j'avoue que là j'ai un peu un trou dans le cerveau je sors d'une énième crise de migraine et c'est très dur de se reconnecter...


    Bonjour Kryan je t’ai envoyé un message qui n’est pas arrivé dans ta boîte aux lettres mais dont l’essentiel disait : guéri vite car on aime bien tes contes et tes commentaires
  • Saint-Fort a dit :
    Bonjour Kryan je t’ai envoyé un message qui n’est pas arrivé dans ta boîte aux lettres mais dont l’essentiel disait : guéri vite car on aime bien tes contes et tes commentaires


    Merci beaucoup, c'est vraiment adorable non je n'ai pas eu ton message mais je sais que je peux compter sur votre soutien vous êtes tellement formidables tous et toutes!
  • Kryan a dit :
    Comme tu veux, j'avoue que là j'ai un peu un trou dans le cerveau je sors d'une énième crise de migraine et c'est très dur de se reconnecter...

    Je comprends. C'est malheureux à dire, mais les médecins sont parfois désappointés avec certaines maladies chroniques. Que faire?
  • Saint-Fort a dit :
    De la myopie et de ses avantages

    Il était myope, tellement myope que parfois il lui fallait remonter ses super lunettes anti-myopie sur son front afin de rapprocher de son œil droit, qui n’était pas autant myope que son œil gauche, le document qu’il n’arrivait pas à déchiffrer.
    C’était un mathématicien solitaire non par choix, il aimait la compagnie de ses collègues, mais parce qu’il était timide et redoutait le monde extérieur : des gens qu’il côtoyait il n’en connaissait que la silhouette et la voix. Et c’est d’une voix qu’il tomba amoureux : une voix de femme si mélodieuse qu’il s’en éprit aussitôt.
    « Une nouvelle collègue, lui dit-on, très forte en mathématiques, « et célibataire », ajouta quelqu’un.
    Il fit sa cour à cette femme à la voix envoûtante puis la demanda en mariage, ce qu’elle accepta.
    La nouvelle fit sensation dans les bureaux car personne ne s’imaginait que ce mathématicien hors pair mais à la vue courte séduirait une femme aussi belle.
    Qu’advint-il de cette union ? Un nouveau théorème et un enfant qui sera peut-être mathématicien à son tour.

    Quelle imagination. Bravo.
  • « Être au bord du précipice » Phrase de Dominique
    Marianne n’arrivait plus à s’en sortir. Son mariage avec un homme sans scrupule, fut un désastre. Il n’hésitait pas à dépenser leurs dernières économies afin d’assouvir tous ses plaisirs personnels. Avec, il acheta une voiture de sport, fit sa valise, et quitta sa petite famille. Quand Marianne découvrit le pot-aux-roses, elle fut anéantie. Elle pleura longtemps dans les bras de ses deux jumeaux encore en bas âge. Au bord du précipice, et de ce gouffre affectueux et financier, elle décida de trouver rapidement un emploi plutôt que d’aller se jeter du haut de la falaise, comme le fut pourtant sa première réaction. Ils allaient s’en sortir tous les trois.

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