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Toujours présent en filigrane dans ses oeuvres, William Styron l'est ici au premier degré. Un matin de Virginie se compose de trois longues histoires reliées par la chaîne de la mémoire. Paul à vingt ans dans les Marines, Paul à dix et treize ans dans le village de son enfance ne sont autres que l'auteur, dont l'omniprésence donne à chaque étape de la chronique l'authenticité d'une tranche de vie. Par la tendresse et la révolte, l'angoisse et le doute qui les marquent, ces réminiscences et ces confidences font écho aux sombres méditations qui émaillent les oeuvres antérieures. Une fois encore, Styron affirme sa stature de moraliste et d'idéaliste, et proclame sa fidélité aux causes qu'il n'a cessé de défendre : le respect de la dignité humaine, le refus de la violence et du racisme. Vibrante de ferveur et d'émotion, à la fois familière et soutenue, la prose s'allie à l'architecture de l'oeuvre pour en souligner la dimension intimiste et l'originalité.
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