Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
«- Vous savez, on peut mêler l'histoire de la criminalité à celle de la peinture. Au début, on peignait comme on tue, à main tue. L'art brut, on pourrait dire... L'instinct avant la technique. Ensuite est intervenu l'outil, le bâton, le pinceau. Un beau jour, on s'est mis à peindre au couteau. Regardez le travail d'un Jack l'Éventreur... Et puis on a inventé le pistolet. Peindre au pistolet apportait quelque chose de définitif et radical. Et maintenant, à l'ère terroriste, on peint à la bombe, dans la ville, dans le métro. Le graffiti anonyme qui saute au coin de la rue...»
Notre narrateur accroche le jour des tableaux dans une galerie d'art et la nuit, joue au billard. C'est un expert dans ce domaine et il pourrait devenir bientôt le prochain champion français. Un jour, tout bascule.
Un homme vient à la galerie pour dérober l'un des tableaux, d'ailleurs emblématique de l'exposition. Notre héros se jette sur l'homme en question. Bien mal lui en prend : le voleur lui sectionne le poignet. Fini pour lui le billard, il sera handicapé jusque la fin de ses jours. Il lui faut réapprendre à vivre, devenir gaucher et il veut savoir. Pourquoi ce tableau ? Il semblerait que l'histoire de ce tableau remonte aux années 60, à un groupe nommé les "obscurantistes". Par contre, plus notre personnage avance dans son enquête, plus il met sa vie en danger.
Un roman policier qui ne tombe pas dans le mélodramatique mais oh combien bien écrit. J'ai adoré notamment l'amalgame entre la criminalité et la peinture que vous pouvez retrouver en 4ème de couverture. A la fin, on retrouve le style de l'auteur, un peu fou, comme d'habitude.
Notre narrateur accroche le jour des tableaux dans une galerie d'art et la nuit, joue au billard. C'est un expert dans ce domaine et il pourrait devenir bientôt le prochain champion français. Un jour, tout bascule.
Un homme vient à la galerie pour dérober l'un des tableaux, d'ailleurs emblématique de l'exposition. Notre héros se jette sur l'homme en question. Bien mal lui en prend : le voleur lui sectionne le poignet. Fini pour lui le billard, il sera handicapé jusque la fin de ses jours. Il lui faut réapprendre à vivre, devenir gaucher et il veut savoir. Pourquoi ce tableau ? Il semblerait que l'histoire de ce tableau remonte aux années 60, à un groupe nommé les "obscurantistes". Par contre, plus notre personnage avance dans son enquête, plus il met sa vie en danger.
Un roman policier qui ne tombe pas dans le mélodramatique mais oh combien bien écrit. J'ai adoré notamment l'amalgame entre la criminalité et la peinture que vous pouvez retrouver en 4ème de couverture. A la fin, on retrouve le style de l'auteur, un peu fou, comme d'habitude.
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