Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Au coeur de la nuit, un wagon se détache d'un train-couchettes et s'arrête soudain. D'abord persuadés qu'il s'agit d'une panne, les occupants découvrent qu'ils sont perdus au milieu de nulle part. Abandonnés, oubliés par les secours, certains partent en éclaireurs et disparaissent. Leurs cadavres sont retrouvés, dans une ville déserte et en ruine. La terreur s'empare alors des survivants...
Quelle claque, quelle réussite !
Bon certes, la fin vous laissera sur votre faim, mais il serait injuste de laisser 2 pages en ternir 144. Donc ce sont ces 144 premières pages qui l'emportent.
On ressort de cette lecture en ayant vu un film, des images très claires dans la tête, ce qui est déjà très fort.
On se dit aussi que décidément, la littérature noire, c'est autre chose que la blanche. Réussir à créer quelque chose d'atypique, de déroutant, c'est quand même plus valeureux qu'un texte germanopratin qui se regarde le nombril. Jean-Bernard Pouy a créé une intrigue très originale, angoissante, sur laquelle il ne vaut peut-être mieux rien savoir avant de se faire embarquer.
Je trouve que c'est un livre qui pourrait être proposé en fin de collège ou au lycée. C'est tout à fait aussi réussi qu'un Fred Vargas, alors changeons un peu nos habitudes.
Le rythme du titre "Train perdu wagon mort" m'a fait penser au titre "Chiens perdus sans collier", voilà je l'aurai dit.
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