Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
«J'ai choisi Papier tue-mouches à la fin de l'année 1975 parmi une liste de projets de livres qui m'avaient intéressés autrefois (...). Ce qui me plaisait le plus avec Papier tue-mouches, c'est que tout y était un peu miteux, presque ordinaire. Les protagonistes ne sont ni très pauvres, ni très riches, les détectives ne sont pas des surhommes, et du côté des criminels, il n'y a rien d'extravagant non plus. Ça m'intéressait de savoir s'il était possible de raconter l'histoire sur environ 60 à 90 pages en utilisant à chaque fois des dessins en pleine page ou des dessins répartis sur une double page, en ajoutant le moins de texte possible sous les images... Presque sept ans plus tard, voilà où j'en étais : les quelques 60 à 90 pages initialement prévues étaient devenues un livre de 288 pages.» Hans Hillmann.
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