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Il restera toujours, dans le vaste domaine de l'imaginaire, des terres vierges à conquérir.
Et si la surprise venait de Skopje ? Avec Ma cousine Emilie, qui est tout sauf un récit d'enfance, le Macédonien Vlada Urosevic, né en 1934, nous fait entrer dans un univers kaléidoscopique où il n'y a pas de frontière nette séparant le monde des enfants de celui des adultes, comme par exemple dans les Enfantines de Valery Larbaud. Le roman débute en 1941, alors que la menace nazie se concrétise (bombardements, occupation, déportations), et la population macédonienne est contrainte à de lourds sacrifices.
Néanmoins, la vie se poursuit et, sans dévoiler le sel particulier des dix-huit récits composant ce roman, disons que le fantastique peut y surgir à chaque coin de rue, notamment grâce aux pouvoirs quasi magiques de la petite Emilie. Skopje se peuple d'éléphants, de licornes, de mystérieux personnages émergeant d'on ne sait où, l'espace et le temps se troublent. Une sorte d'inquiétante étrangeté règne en permanence, même au sein de la famille du cousin d'Emilie...
Un livre inoubliable, à l'intense réalisme magique.
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