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Un roman captivant, une enquête drôle et ironique dans les milieux des parcs aquatiques et de la mafia de la Côte Sébastien, documentariste en mal de projets, réussit à convaincre son producteur de l'envoyer à Nice en repérage pour un film sur les orques, ces prodigieux cétacés. Mais le spectacle auquel il assiste au parc aquatique Océland tourne au désastre lorsqu'une vieille orque entraîne son dresseur Ludo au fond de la piscine. La mort suspecte de ce dernier quelques jours plus tard à l'hôpital, alors qu'il est quasiment rétabli, ainsi que celle de son ami journaliste à La Provence persuadent Sébastien qu'Océland baigne dans un milieu aussi saumâtre que l'eau de ses bassins. Depuis le couple qui dirige l'établissement jusqu'aux mafias de l'Est et du Proche-Orient, en passant par des rumeurs de sextapes dans le club de foot local : ça craint, c'est dangereux. Sébastien escomptait réaliser un film sur l'harmonie du vivant, le voilà emporté dans le tourbillon de la grande chasse d'eau des basses-fosses humaines.
Avec verve et humour, Vincent Maillard nous embarque dans l'univers de la télévision, des parcs aquatiques qui révulsent par la maltraitance animale qu'on y pratique, des orques éblouissantes de Norvège, et de la mafia de la Côte, plus près de la beaufitude bling-bling que des gentlemen cambrioleurs. Le smoking, ce sont les orques qui le portent.
Un roman riche et sonore qui ne laissera personne indemne, pas même le sommet de la République...
Ce roman prêté par une amie m'interpellait par son tire, mais aussi parce que mon grand chien, mon géant au cœur d'or, porte le nom d'une orque tueuse, O'Tilikum (nous n'avons pas choisi).
Je me suis donc plongée dedans avec avidité. J'ai toutefois rapidement été freinée par un début pour le moins poussif. Si j'ai adoré toute la partie consacrée aux orques et de manière plus générale le rapport de l'homme à la nature, les longues tirades sur le monde vérolé de la télé et de l'audiovisuel m'a plutôt ennuyée.
J'ai tout particulièrement aimé les entames de chapitres où les orques "prennent la parole". J'ignore pourquoi, mais ces soliloques imaginaires m'ont profondément émue.
A lire.
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