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En 1925, André Beucler faisait avec éclat son entrée en littérature. En mai, paraissait chez Gallimard son premier roman : La ville anonyme. En juillet, la NRF accueillait en son sommaire, entre Rilke, Proust, Gide et G. B. Shaw, sa première nouvelle : Un nouvel amour. En août, les Cahiers du mois de Maurice Darantière publiait un conte fantastique : Entrée du désordre. En octobre, la collection d'avant-garde Cinario offrait aux cinéphiles un synopsis inédit : Un suicide. Quatre oeuvres immédiatement remarquées. Dès le mois de juin, Paul Morand salue le nouveau venu : «Il y a des années que je n'ai pas adhéré à un auteur avec autant de contentement.» En août, Max Jacob lui écrit : «Vous êtes un homme nouveau : c'est le plus grand éloge qu'on puisse faire à un artiste.» Albert Thibaudet et Edmond Jaloux enregistrent la révélation d'un grand auteur. Un «magicien romanesque» ajoute Hélène Vacaresco. «Comme je voudrais vivre dans votre ville anonyme ! au moins la moitié de ma vie !... » confie Joseph Delteil. Et Kessel : «Ton talent me rendrait un peu envieux si je t'aimais moins.» 1925, c'est aussi pour Beucler l'année où se nouent des amitiés définitives : Léon-Paul Fargue, Max Jacob, Jean Cocteau, Paul Morand, Joseph Kessel, Emmanuel Bove. Puis ce sera le grand succès populaire de Gueule d'amour, que Jean Gabin incarnera au cinéma.
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