Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
La Peau : en être au plus près, ne voir qu'elle, de si près qu'elle en paraît pour le coup tout à fait inouïe.
La Grande Ourse : une constellation. Dans les livres, il est écrit que " de tous temps, les hommes ont associé des étoiles. Les amas d'étoiles, ils les ont appelés constellations, mais la plupart du temps les étoiles d'une même constellation n'ont aucun lien entre elles ".
La Peau de la Grande Ourse est le titre générique de six portraits fictionnels où rien ne se résume ou plutôt tout se résume. A des noms. Des noms dits propres :
Achille - Seigneur - Annie - Chrysler - Tony - Copernic - Alexandre - Lia - Fiat - Atlantide - Yvan - Tanger - Georges Drevski - Marc - Baltimore - Gagarine - Maria - Marthe Adler - Moktar - Caddie, et caetera.
Des noms impropres :
Armoire à glace - fruits - ventre - horizon - raison de famille - poussière - attrait - litière - boulot - ange - panne - cadence - héros - bordel - panoplie - canari - hachoir - guerre - dôme - résurrection - bois - couple - rez-de-chaussée - night-club, et caetera.
Le reste c'est des histoires. Des vies habitées par des gens. Des sillons dans la neige. Du temps.
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...