Le film est adapté de la BD de Pénélope Bagieu et Boulet
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Une jeune femme reprend ses esprits sur un banc sans se rappeler ni de son nom ni de ce qu'elle fait là. Menant l'enquête tant bien que mal, elle tente de recouvrer la mémoire et de retrouver son identité. Mais que va-t-elle découvrir ? Un passé romanesque fait de drames et de romances ou l'existence banale d'une femme ordinaire ? Et dans ce cas, saura-t-elle devenir quelqu'un après avoir été quelconque ?
Le film est adapté de la BD de Pénélope Bagieu et Boulet
“La Page Blanche” surprend par son originalité. L’histoire explore l’identité avec finesse, mêlant suspense et introspection. Le dessin de Pénélope Bagieu, simple mais expressif, illumine le récit grâce à ses couleurs franches et ses personnages vivants. La quête d’Éloïse captive par son mélange d’humour et d’émotion, même si le dénouement reste frustrant.
Tout d'abord, un grand merci aux Editions Delcourt et à Lecteurs.com pour cet envoi.
Alors qu'elle est sur un banc, une jeune femme semble se réveiller et se retrouver dans un autre univers. Elle ne se rappelle plus de son nom, elle ne sait pas si elle a un petit ami, son métier... Elle va mener sa propre enquête et devenir amie avec l'une de ses collègues libraires qui pourtant jusque là, était mise de côté. Petit à petit elle va tenter de recouvrer la mémoire et surtout son identité.
J'aime beaucoup les ouvrages de Pénélope Bagieu, que je trouve toujours drôle, fins . J'ai aimé les couleurs utilisées, la mise en page mais je me suis un peu ennuyée, pourtant le sujet était fort intéressant mais me semble-t-il pas assez approfondi : problème de scénario? J'ai parfois souri de certaines situations cocasses comme souvent dans les BD de la dessinatrice mais j'ai été vraiment déçue par la fin de ce roman graphique. Ca manque de profondeur. On ne peut pas se contenter d'une fin comme celle-ci, perdre la mémoire et recommencer la vie d'un autre moi tout simplement, le sujet est survolé, dommage.
Et si on se réveillait un jour sans plus connaître ni son nom ni reconnaître son chat ? Telle est l'idée de base de la géniale Pénélope Bagieu. A travers le personnage attachant et attendrissant d'Héloïse, on part à la recherche de la mémoire. Cette bande dessinée n'a rien de mélancolique ou de triste. Au contraire, cette amnésie soudaine est l'occasion de toutes les audaces et de tous les possibles. Le scénario est magnifiquement servi par les dessins de Pénélope Bagieu. Les dialogues sont peu nombreux, l'essentiel passe dans les expressions de son jeune personnage. La page de la vie d'Héloïse ne restera pas longtemps blanche.
Total coup de coeur pour cette fable moderne !
Que feriez-vous de votre vie si vous oubliez totalement qui vous étiez ? Voilà le point de départ de cette BD pleine d'humour, d'émotions et d'introspection. En cherchant à savoir qui elle est et pourquoi elle a perdu la mémoire, notre héroïne va découvrir que sa vie n'est peut-être pas idéale et rêvée... Que faire alors ?
J'ai totalement adoré le concept, la morale, les dessins et l'humour autour de ce sujet plutôt sérieux malgré tout.
"Moi c'est pire, j'étais morte de mon vivant"
Comment raconter sans dévoiler... ce trou noir, cette page blanche est une remise en question.
MERCI ORANGE pour cette découverte.
Certains dessins restent suspendus, sans bulle, mais tout est dit.
Dès les premières pages on est happé par l'histoire, celle d'Eloïse, une jeune femme qui se retrouve assise sur un banc à la tombée du jour dans un quartier de Paris qu'elle ne connaît pas. Elle ne sait pas ce qu'elle fait là, quel est son nom, où elle habite. Terrible moment. Que fait-on quand notre mémoire ne répond plus...? Après un temps d'hébétude Eloïse se lance dans une véritable enquête...sur elle-même afin de trouver des éléments sur son identité. Quel métier exerce-t-elle, qui sont ses amis, quelles relations a-t-elle avec sa famille ? Une recherche dans tous les domaines d'une vie. Elle glane quelques pistes, des bribes de souvenirs. Ce dont elle se souvient ce sont des références communes, le nom d'une chanteuse, d'un écrivain de best sellers, mais rien de ce qui fait sa spécificité. Cette quête pour réintégrer sa vie se suit allègrement dans un suspens un peu anxieux mais surtout selon un rythme alerte et avec des touches d'humour, avec en filigrane une douce critique de la culture réceptive-passive qui nous fait suivre sans réfléchir les basiques dont on parle. Les dessins de Pénélope Bagieu sont très attirants, les couleurs varient en fonction des étapes de l'histoire, des chapitres, ils nous appellent, ils créent une sympathie, et offrent une belle immersion dans l'ambiance du récit . L'aboutissement de cette recherche de soi est inattendu... A méditer ! C'est alors que commence la vraie recherche d'identité de Eloïse...
Merci à Lecteurs.com pour le plaisir de ce bon moment de lecture
Je viens de dévorer La Page Blanche, impossible de m'arrêter en chemin ! J'ai adoré le concept et suis tombée sous le charme de l'humour de Penelope Bagieu.
Les illustrations sont également très bien pensées et sont souvent très éloquentes, nul besoin de bulles pour les décrypter.
Alors que raconte La Page Blanche ?
C'est l'histoire d'une jeune femme seule sur un banc qui ne se souvient pas de son Identité, Identité au sens large : qui est-elle ? Où vit-elle? Qu'aime-t-elle dans la vie? Est-elle entourée ? Elle ne sait plus.
Elle va donc mener l'enquête et tenter de reconstituer son identité mais y parviendra-t-elle ?
Dans une ère où tout le monde fait, pense et vit comme tout le monde, cette jeune femme a-t-elle une identité propre ?
Un album qui questionne donc et qui bouscule un peu aussi tout en douceur et en humour.
Merci à lecteurs.com pour cette si jolie découverte.
Une fois n'est pas coutume, c'est une bande annonce de film qui m'a décidée à lire cette BD. Il faut dire que les étoiles devaient être alignées, car juste après avoir été intriguée par la bande annonce, j'ai trouvé cet album par hasard chez un bouquiniste.
La mise en situation est aussi simple qu'efficace, une jeune femme se rend subitement compte qu'elle a perdu tous ses souvenirs. Alors certes, elle se rappelle de Britney Spears ou de la Fnac, mais rien ne lui revient sur elle. Si quelques indices lui permettent de rentrer chez elle, elle va avoir l'impression d'être chez une autre, dans une vie qui ne lui appartient pas et dont elle ne se souvient pas.
Ne vous attendez pas à un thriller à l'Américaine comme Jason Bourne. Pas d'espions ou d'agents secrets, mais plutôt une quête sur ce qui fait notre identité.
Une jolie BD pour se détendre.
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