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Les destins entrelacés de trois femmes qui croient au pouvoir des livres pour triompher des moments les plus sombres de la Seconde Guerre mondiale.
Berlin, 1933. Après le succès de son premier roman, l'écrivaine américaine Althea reçoit une invitation pour participer à un programme d'échange culturel en Allemagne. À la barre, un charismatique nouveau chancelier...
Paris, 1936. Elle a peut-être fui Berlin pour Paris, mais Hannah découvre que la Ville Lumière n'est pas le refuge contre l'antisémitisme qu'elle pensait trouver. Tourmentée par le rôle qu'elle a joué dans la trahison qui a détruit sa famille, Hannah se consacre à son travail à la Bibliothèque allemande des livres brûlés.
New York, 1944. Depuis que son mari a été tué en combattant les nazis, Vivian mène sa propre guerre : empêcher les tentatives d'un puissant sénateur de censurer les Armed Service Editions, des livres de poche qui sont expédiés par millions aux soldats à l'étranger.
Leur combat commun contre la censure et la haine réunira ces trois inoubliables héroïnes dans un flot d'émotions et de poésie inouï.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Carole Delporte
À propos de l'auteur
Née en Pennsylvanie, Brianna Labuskes est journaliste. Elle a écrit neuf romans, dont La Bibliothèque des livres brûlés est le premier traduit en français.
J'ai reçu ce roman que lecteur.com et les éditions Harper Collins m'ont envoyé. Je les remercie, car j'ai découvert une partie inconnue de la 2nde guerre mondiale.
On nous parle toujours des grands événements de cette guerre, ceux qui sont les plus importants ou qui ont le plus marqué la mémoire. Et ceux qui n'ont pas permis de gagner un combat, de délivrer une ville, de sauver une vie, on n'en parle pas et on fini par les oublier.
J'ai peut-être entendu parler des autodafés de mai 1933, mais comme on n'en parle pas autant que le reste on oubli. Et c'est bien triste. Car l'envoi de ces livres de poches aux soldats américains à bien montré que la lecture apporte beaucoup de soutien et d'espoir, même en des temps difficiles.
Hannah, l'un des personnages principaux du roman dit vers la fin de l'histoire « Je peux vous dire qu'interdire des livres, brûler des livres, censurer des livres est une manière d'éradiquer un peuple, un système de croyances, une culture. Une manière d'étouffer des voix, même celles d'écrivains qui sont la fine fleur de leur pays. ... ». Je trouve cette phrase tellement vraie. Je vais rajouter que ne pas parler de cet événement à crée son oubli. Nous avons oublié qu'une poignée d'hommes et de femmes ont voulu faire vivre la culture et leur auteurs en créant la bibliothèque des livres brûlés à paris et le conseil des livres en temps de guerre aux États-Unis.
L'auteure nous a permis de redécouvrir une partie oubliée de cette guerre. En faisant des recherches sur internet, j'ai trouvé très peu d'info sur la bibliothèque des livres brûlés, je trouva ça dommage. Alors n’hésitez pas après votre lecture a faire des recherches sur internet, peut-être qu'à force on trouvera plus d'informations sur la bibliothèque et que l'on pourra la déterrer de l'oubli. Et c'est même dommage qu'on en parle pas plus dans les livres d'histoire et dans l'enseignement.
Pour finir, je ressors de ma lecture bouleversée et touchée de savoir que des personnages connus et inconnus se sont battus pour que la littérature ne meurt pas. Nous ne devons pas oublier cette partie de notre histoire.
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