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Traduit pour la première fois en français, le texte d'Aelius Aristide est un document sans équivalent sur les croyances religieuses, les pratiques médicales, le statut de l'inconscient dans le monde antique.
Aristide est un sophiste de l'Asie gréco-romaine, illustre en son temps (le IIe siècle apr. J.-C.), un de ces orateurs qui allaient de cité en cité, proposant d'habiles variations sur des thèmes connus. Mais surtout, c'est un mélancolique, un malade entièrement possédé par Asclépios, le dieu de la médecine, auquel une fois pour toutes il s'est voué.
Son récit est une manière de Journal : il y raconte jour après jour les rapports privilégiés qu'il entretient, par le canal du rêve, avec Asclépios.
Texte symptomatique, qui touche d'un côté à la clinique de l'hypocondrie et, de l'autre, au travail du rêve (jeux de mots, régression formelle) tel que Freud le décrira dans la Traumdeutung. Non pas un manuel d'interprétation, comme la Clef des songes d'Artémidore d'Éphèse, mais la chronique, souvent violente, émouvante, des apparitions du dieu, de ses prescriptions et de leurs effets.
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