Les 20 romans plébiscités par nos lecteurs en 2015
Une histoire d'amour, d'une profondeur et d'une justesse bouleversantes !
Ari, quinze ans, est un adolescent en colère, silencieux, dont le frère est en prison. Dante, lui, est un garçon expansif, drôle, sûr de lui. Ils n'ont a priori rien en commun. Pourtant ils nouent une profonde amitié, une de ces relations qui changent la vie à jamais... C'est donc l'un avec l'autre, et l'un pour l'autre, que les deux garçons vont partir en quête de leur identité et découvrir les secrets de l'univers.
Les 20 romans plébiscités par nos lecteurs en 2015
Roman d'apprentissage où deux jeunes adolescents découvrent les premiers frissons liés à l'amour mais aussi leur orientation sexuelle. Ce récit est mené tout en finesse et les deux adolescents Aristote et Dante, deux adolescents solitaires qui nouent une solide amitié qui les fera avancer tous les deux, sont peints avec une grande précision.
Le récit est simple à lire mais se révèle très efficace dans le message qu'il délivre.
Cela faisait plusieurs années (depuis le 18 novembre 2017 pour être parfaitement exacte) que ce livre prenait la poussière sur son étagère en attendant son heure, plusieurs années que je passais devant lui, que je me laissais presque tenter, pour finalement me replier précipitamment sur un autre livre. Ce n’est pas qu’il ne m’intéressait pas, bien au contraire : j’étais plutôt curieuse de découvrir avec ces garçons aux drôles de prénoms quels étaient ces fameux secrets de l’univers. Mais j’avais peur. Peur d’être déçue, car la majorité des lecteurs en dressaient des portraits tellement élogieux que je me méfiais de mes propres attentes. Peur de passer complétement à côté de cette supposée petite pépite littéraire, de ne pas saisir ce qui plait tant aux autres lecteurs. Peur d’être en décalage, une fois encore, finalement. Alors je retardais année après année sa lecture … Il aura fallu qu’il me soit imposé par pas moins de trois personnes différentes sur trois challenges différents, qu’il soit l’un des seuls livres de ma pile à lire correspondant à une consigne pour un quatrième challenge, et une lecture commune pour que je me décide enfin à lui laisser sa chance !
Du haut de ses quinze ans, Aristote est un adolescent renfrogné, solitaire et bagarreur. Il sent peser sur lui l’ombre de son grand-frère, dont nul ne parle jamais depuis qu’il est en prison, il ne sait pas bien pourquoi. Il sent peser sur lui les nombreuses règles édictées par sa mère, et le silence implacable de son père hanté par la guerre. Parmi les nombreux mystères qu’il souhaite élucider, il y a lui-même : parfois, souvent, il ne se comprend pas. Et voici qu’alors qu’il barbotait lamentablement à la piscine municipale, un garçon tout aussi incompréhensible que lui se propose de lui apprendre à nager. Aristote ne l’avouera jamais à qui que ce soit, et surtout pas au principal concerné, mais il a immédiatement apprécié Dante. Ce cours de natation improvisé a sonné le début d’une amitié aussi maladroite que sincère. Dante et Aristote n’ont pas grand-chose en commun, mais ils sont tous les deux en quête de réponse sur les secrets les plus impénétrables secrets de l’existence humaine … Et peut-être qu’à deux, il sera plus facile de trouver ces réponses. Ou alors, peut-être que ce n’est que le début d’une nouvelle flopée de questions …
Pour tout dire, au début, tout allait parfaitement bien : j’étais presque tombée sous le charme d’Aristote, et complétement sous celui de Dante, et j’étais en passe de tomber follement amoureuse de leur amitié. Bizarre, mais très touchante. C’était un peu comme une évidence, finalement, et j’enviais leur complicité naturelle. J’enviais cette petite bulle qui semblait les entourer, lors de ce premier été, alors qu’ils apprenaient encore à se connaitre, alors qu’ils s’ouvraient progressivement l’un à l’autre. J’aimais comment chacun acceptait sans broncher les petites bizarreries de l’autre. J’aimais leurs conversations, parfois à la limite de l’absurde, mais toujours percutantes. Plus globalement, j’appréciais l’ambiance qui se dégageait du récit. Il y avait cette sorte de nostalgie, celle qu’on ressent tous lorsqu’on laisse définitivement notre innocence enfantine derrière nous pour découvrir la complexité de la vie, lorsqu’arrive le moment de choisir ce que l’on compte faire de notre existence. J’aimais beaucoup les relations que chaque garçon entretenait avec ses parents, entre amour infini et agacement adolescent. J’aimais être témoin de leurs rêves, de leurs doutes, de leurs peurs, et je m’attachais tout doucement à eux.
Oui, vraiment, entre Aristote, Dante et moi, tout commençait sous les meilleurs hospices. Mais ça n’a pas duré. Il y a eu comme une déchirure après le premier tiers du livre, après un rebondissement pour le moins inattendu et tragique. A partir de cet instant, j’avais beau essayer de toutes mes forces, plus moyen de me sentir proche de Dante, et encore moins d’Aristote. Ce dernier était pourtant celui avec lequel je me trouvais le plus de points communs, celui qui me touchait le plus … mais au bout d’un moment, mon petit cœur d’hypersensible n’a plus pu supporter son comportement avec les autres, surtout envers Dante à qui il interdisait de pleurer. C’est comme si Aristote brandissait son mal-être comme une excuse pour faire du mal aux autres, pour faire de la peine aux autres, et même si on ne peut que compatir à son chagrin, à sa douleur, je n’arrivais plus à être en accord avec lui. Quant à Dante, il reste finalement assez effacé, et même si j’ai trouvé sa loyauté attachante, c’est pareil, plus ça avançait, moins j’arrivais à me sentir vraiment « concernée » par son sort. Toute cette douceur que j’aimais tant s’était volatilisée, et le récit avait perdu de sa saveur.
Il faut dire que ce qui me faisait vraiment vibrer, au début, c’était justement cette magnifique histoire d’amitié. Ceux qui me connaissent le savent, l’Amitié est une chose incroyablement importante à mes yeux, c’est presque un idéal. Vous n’imaginez donc pas ma joie lorsque leur amitié a commencé … et ma désillusion lorsque j’ai compris qu’une fois encore, ce récit n’allait pas se « contenter » d’une histoire d’amitié magique. A croire que 99% des personnes sur cette terre considère qu’un roman sans histoire d’amour ne vaut la peine ni d’être écrit ni d’être lu. Je rêve d’une histoire d’amitié qui reste une histoire d’amitié, dans toute sa simplicité et sa richesse, dans toute sa beauté et sa force. Mais ce vœu n’a pas été exaucé ici, et je dois bien avouer que je n’ai donc pas réussi à me réjouir pour eux, pas réussi à trouver leur rapprochement émouvant, car je les trouvais juste exceptionnels comme duo amical, et cela m’a brisé le cœur que cela se transforme ainsi … Surtout que finalement, c’est comme si ces fameux « secrets de l’univers » que nous faisait miroiter le titre se réduisaient à cette découverte et cette acceptation de cette réalité identitaire pas forcément simple à envisager en 1987, alors que je m’attendais à quelque chose d’un peu plus « original », différent de ce que l’on trouve déjà bien souvent dans la littérature jeunesse.
En bref, vous l’aurez bien compris, c’est plutôt une lecture en demi-teinte. Ce n’est pas une vraie déception, loin de là, car il y a quand même de fort jolies choses dans ce récit, des passages incroyablement émouvant et des thématiques particulièrement poignantes (j’ai par exemple était très touchée par la relation entre Aristote et son père, ce garçon hanté par les non-dits, cet homme hanté par la guerre, deux grands silencieux qui vont petit à petit commencer à se parler, à se libérer de ces silences) … Mais c’est très loin d’être un coup de cœur : il m’a manqué quelque chose pour être véritablement captivée, bouleversée, émue par cette histoire. Je ne ressentais au final pas grand-chose pour nos deux jeunes héros, comme si je les observais de loin, sans pouvoir me sentir concernée par leur histoire. Ils sont restés deux parfaits inconnus à mes yeux, alors que je m’attendais à vibrer vraiment avec eux. La plume est certes jolie, mais c’est pareil, elle n’a pas résonné en moi … Peut-être que ce livre m’aurait plus plu il y a quelques années, lorsque j’avais le même âge qu’Aristote et Dante et cherchais moi aussi à comprendre le sens de la vie et de ma vie, mais en l’état actuel des choses, ça restera un roman sympathique, mais sans plus.
https://lesmotsetaientlivres.blogspot.com/2021/03/aristote-et-dante-decouvrent-les.html
Un roman qui fait du bien, un roman drôle et dramatique, où il est question du mystère et des secrets de l'univers. Sans en dévoiler d'avantage, ce roman donne la pêche à la maman que je suis.
http://mcchipie.over-blog.com/2020/09/aristote-et-dante-decouvrent-les-secrets-de-l-univers-benjamin-alire-saenz.html
L'amitié et plus qu'une l'amitié fulgurante et fascinante entre deux ados !
Roman vrai et touchant.
Aristote – qui n’assume pas l’originalité de son prénom et se fait appeler « Ari » – traîne son adolescence comme un poids mort jusqu’à sa rencontre avec Dante un jour d’été à la piscine. Semblables en apparence, intérieurement tout les oppose: Ari est solitaire, mal à l’aise avec lui-même et les autres, plein d’obscurs questionnements là où Dante est extraverti et solaire, avide d’apprendre, détenteur de toutes les réponses. Pourtant, dés les premières minutes c’est une évidence, ils sont fait pour avancer ensemble.
Mais rien n’est simple quand on a 15 ans: les doutes s’amoncèlent, l’avenir fait peur, la relation avec les parents ressemble à un tour sans fin de montagnes russes, l’amitié tient lieu de bouée de sauvetage et l’amour semble inaccessible.
Ari et Dante passent quelques semaines d’été ensemble, fusionnels, avant d’être séparés par des milliers de kilomètres et de devoir apprendre à se construire l’un sans l’autre le temps d’une année scolaire. Leurs retrouvailles sont l’occasion de faire le point sur leur relation et de permettre à Ari , avec l’aide précieuse de ses parents, de résoudre l’un des plus grands mystères de l’univers.
J’avais peur de tomber sur une banale et déjà vue amourette adolescente en commençant ce roman mais j’ai été très agréablement surprise. L’écriture de Benjamin Alire Saenz m’a cueillie dés les premières lignes et j’ai trouvé très malin de sa part de donner à son récit des airs de journal intime. On est tout de suite au plus près des pensées de Ari, même et surtout les plus intimes, et on partage chacune de ses émotions, chacun des moments bruts de son quotidien. Ses errances et questionnements nous touchent en plein cœur, sa relation avec Dante est d’une évidence, d’une pureté et d’une sincérité qui bouleversent, et beaucoup d’entre nous rêveraient d’avoir des parents comme les siens et ceux de son ami, pétris d’un amour sans bornes et débordants d’une bienveillance à toute épreuve.
C’est un livre intelligent qui ne parle pas d’homosexualité mais de l’universalité de l’amour et, en ces jours où la liberté d’aimer est menacée, il fait un bien fou. Je l’ai dévoré en quelques jours seulement alors que je prends d’habitude tout mon temps. Mon seul petit regret est qu’il soit un peu court, j’ai trouvé que le dénouement arrivait de façon abrupte, me laissant sur ma faim.
chronique : http://leschroniquesdenounett.blogspot.com/2015/07/chronique-litteraire-aristote-et-dante.html
omme la plupart des gens, je pense, j'ai découvert ce livre grâce aux Booktubeurs.
D'abord présenter dans sa version originale, il est sorti récemment en français. Je ne savais pas de quoi ça parlait, et j'avoue que je ne voulais pas le savoir. Je n'ai pas lu la quatrième de couverture mais je me suis donc littéralement jetée dessus quand je l'ai trouvé d'occasion. Ce n'est pas pour autant que je l'ai lu direct après l'avoir acheté !
En ce jour férié, je n'avais pas de programme précis. J'ai bien une lecture en cours, mais elle ne me passionne pas plus que ça, je me suis dit que j'allais donc la garder pour les transports en commun.
J'avais envie d'autre chose. J'ai donc flâner devant ma bibliothèque et mes yeux sont tombés sur ce livre.
Et quel livre !
Je l'ai complètement dévoré en une après-midi !
C'est un livre totalement addictif, qui nous emporte entièrement. Je n'étais plus là, j'étais avec Aristote et Dante.
Tout commence avec Aristote, un ado de 15 ans, un peu paumé, une famille compliquée, qui n'a pas vraiment d'ami, non pas que personne l'aime mais plutôt parce qu'il n'en veut pas, il n'en a pas besoin.
Comme tout les ados, il se pose pas mal de questions existentielles, sur sa famille et a l'impression que la vie lui échappe. Il veut découvrir les secrets de l'Univers.
Et puis, un jour, à la piscine, il va rencontrer Dante qui est tout son opposé : c'est la naissance d'une amitié comme on en connait qu'une fois dans sa vie.
J'ai adoré ce livre... !!!
Ce n'est pas seulement un livre, c'est la vie !
La plume de l'auteur, même si elle est simple, est suffisante. Elle est poétique, nette et précise. Je dirai même qu'elle est synthétique. Il n'y a pas de fioritures. Il va à l'essentiel et ça change !
C'est une histoire bouleversante, touchante, à la fois légère et grave.
L'auteur a su soupeser à la perfection tous les ingrédients pour une histoire poignante et émouvante.
Les personnages sont à la fois drôles et attachants. Ils ont une façon propre à eux de voir la vie et d'essayer d'en attraper chaque instant pour en comprendre le sens.
Ils veulent tout comprendre. Ils ont leur caractère respectifs mais qui se complètent.
C'est une histoire sur le courage, la tolérance, l'acceptation de soi et des autres, mais aussi sur le bien et le mal... et finalement sur tous les petits secrets qu'on garde et que les personnes qui nous entoure ont.
C'est une histoire différente des autres, et dont chaque lecteur n'attend qu'une chose : que les personnages principaux découvrent enfin les secrets de l'Univers.
Voila ce que c'est que ce roman "Aristote et Dante découvrent les secrets de l'Univers".
Il y aurait encore tant de choses à dire mais je préfère vous laisser la surprise, comme moi je l'ai eu.
Il faut le lire pour comprendre, le lire si on veut comprendre et surtout le lire pour apprécier cette petite perle.
En bref, vous l'aurez compris, ce livre n'a pas volé tous les éloges qui lui sont faits depuis sa sortie en VO. Et vous, chers lecteurs français, vous n'avez plus d'excuse pour sauter le pas ! ;-)
C'est en lisant des livres comme Aristote et Dante découvrent les secrets de l'univers que je prends conscience du bonheur de la lecture. N'importe le genre littéraire, l'auteur ou le siècle, la lecture est avant tout un plaisir et elle est là pour nous souffler des sentiments, nous faire vibrer, pétiller et m'évader de mon quotidien. Elle rend le monde plus beau. Aristote et Dante est une perle rare. Un bijou précieux de la littérature young-adult. C'est un roman qui faut manipuler avec soin et douceur. Je n'ai pas lu beaucoup de roman LGBT mais dans cette catégorie, ici, Benjamin Alire Saenz nous présente un chef-d'oeuvre ! Oui c'est un mot fort mais c'est le seul pour qualifier cette histoire ! Merci à l'auteur pour l'avoir écrite, merci à ceux qui l 'ont poussé à la terminer et à la publier et merci à Pocket Jeunesse d'avoir parmi que nous français et habitants des pays francophones puissent la lire.
C'est un roman à lire, à mettre dans toutes les mains de jeunes adultes. C'est un roman sur la tolérance mais pas que... C'est un roman sur l'homosexualité mais pas que... C'est avant tout un roman d'apprentissage ; avant tout qu'est-ce que la vie ? Qu'est-ce que le bonheur ? C'est quoi être heureux ? C'est quoi grandir ? Qu'est-ce que devenir adulte ? Qu'est-ce que devenir un homme ? Est-il normal de ressentir des émotions comme l'amour, la colère, la tristesse ? Au travers des personnages d'Aristote et Dante, l'auteur nous accompagne sur le chemin qui nous amène à trouver nos propres réponses, à découvrir les secrets de l'univers.
L'écriture de l'auteur est loin d'être moralisatrice. Il ne tente pas de nous donner une leçon, au contraire. C'est au lecteur de chercher ses réponses, de faire sa propre interprétation et ses choix. Son écriture regorge de bienveillance et de poésie. Toutes les phrases se savourent et sont écrites avec une infinie douceur. Comme l'évolution de la relation entre les deux personnages... Rien n'est brutal, même quand ça devrait l'être. J'ai été transportée. J'avais l'impression de lire un très long poème mélodieux exaltant l'amour et la tendresse. J'en ai le souffle coupé pour vous parler de tout ce que cette lecture m'a fait ressentir. Je n'ai pas de mots. J'ai envie de monter sur le plus haut gratte-ciel du monde et de crier à gorge déployée pour vous dire de lire ce roman, si ce n'est pas déjà fait. Je me dis pourquoi avoir attendu trois ans avant de le lire ! Mais en y réfléchissant, si je l'ai lu maintenant c'est que je devais le lire maintenant. Il est arrivé au bon moment. J'ai besoin de croire à cette bienveillance, à l'amour sincère et pur, non réfléchit et non calculé.
Nous sommes plongés dans les pensées d'Ari, jeune garçon de quinze ans en colère contre la vie, contre le fait de grandir et contre ses parents. Ari est triste. Son frère est en prison et sa famille refuse catégoriquement d'en parler ; Bernardo est un sujet interdit. Notre héros est seul et n'a pas d'amis, il ne se mélange pas au monde qu'il trouve inintéressant. Il est coincé dans un rôle qui ne lui convient pas. Il ne sait pas s'épanouir car il pense qu'il n'a pas le contrôle de sa vie. Et oui, avoir quinze ans ça craint ! J'ai adoré Ari, sa relation avec ses parents et avec Dante. L'évolution de son personnage est douce, à l'image du roman. Un jour d'été, son chemin croisera celui de Dante. Expansif et drôle, Dante est un garçon sensible qui n'a pas peur de ses sentiments. Au premier abord, les deux garçons n'ont rien en commun et pourtant une relation naîtra en eux ; exceptionnelle, sublime, magnifique ! Tout ne va pas trop vite. Chaque personnage évoluera à son rythme. L'auteur ne cherche pas à précipiter le cours des choses, il laisse faire la vie. On grandit tous à un rythme différent, on prend conscience de certains éléments quand on est prêt. C'est exactement ce qu'a retranscrit Benjamin Alire Saenz dans son ouvrage. Avec justesse, il exploite aussi la relation parents / enfants.
En bref, LISEZ CE ROMAN ! Ce livre est un diamant pur. Douceur, bienveillance et poésie sont les maîtres mots de cette histoire. Tout est bienveillant, de l'écriture au récit qu'à l'évolution de l'histoire entre Ari et Dante. Ces deux protagonistes m'ont mis un coup au cœur, un coup de cœur. Je n'ai pu retenir mes larmes aux dernières phrases du roman. Selon moi, le meilleur roman LGBT que j'ai pu lire ! N'hésitez pas, FONCEZ ! Vous ne pourrez qu'être émerveillé et ému.
C’est l’histoire d’Aristote, 15 ans qui est un garçon un peu paumé, solitaire, qui se pose plein de questions sur le monde et son avenir, balloté entre un frère en prison et un père hanté par ses souvenirs de guerre.Il rencontre Dante, son opposé : enjoué, spontané, expansif..Malgré leurs différences, ils nouent une profonde relation. Leur amitié va leur faire découvrir le monde, et eux-mêmes pour ne pas avoir peur face au regard des autres. Un très beau roman d’amitié et d’amour, touchant, sans miévrerie, juste réel et aux personnages attachants ! je recommande chaudement !
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