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Anamnèse, du grec anamnêsis : action de rappeler à la mémoire.
En médecine, l'ensemble des renseignements fournis au médecin par le malade ou par son entourage sur l'histoire d'une maladie ou les circonstances qui l'ont précédée.
En ésotérisme, le fait de recouvrer la connaissance totale de ses existences antérieures.
Marie est en proie à des cauchemars aussi sinistres que sanglants. Qui est cette femme poignardée à mort qui l'implore ? Pourquoi lui demande-t-elle pardon ? Elle tente de découvrir ce qui se cache derrière ces images atroces qui l'assaillent chaque nuit... Dans sa descente en enfer, des secrets seront dévoilés, des masques tomberont, et la vérité éclatera. Qui en subira les conséquences ? Marie ? Sophie ? Luc ? Ou encore Jack Lee dont Marie est devenue l'obsession...?
Plongez dans l'univers frissonnant et bouleversant de Salvatore Minni.
Et n'oubliez jamais qui vous êtes...
⭐⭐
Anamnèse
Salvatore Minni
Thriller psychologique
288 pages
Edition : Slatkine et cie
Synopsis : Anamnèse, du grec anamnêsis : action de rappeler à la mémoire. En médecine, l'ensemble des renseignements fournis au médecin par le malade ou par son entourage sur l'histoire d'une maladie ou les circonstances qui l'ont précédée. En ésotérisme, le fait de recouvrer la connaissance totale de ses existences antérieures.
Marie est en proie à des cauchemars aussi sinistres que sanglants. Qui est cette femme poignardée à mort qui l'implore ? Pourquoi lui demande-t-elle pardon ? Elle tente de découvrir ce qui se cache derrière ces images atroces qui l'assaillent chaque nuit...
Dans sa descente en enfer, des secrets seront dévoilés, des masques tomberont, et la vérité éclatera. Qui en subira les conséquences ? Marie ? Sophie ? Luc ? Ou encore Jack Lee dont Marie est devenue l'obsession...?
Plongez dans l'univers frissonnant et bouleversant de Salvatore Minni. Et n'oubliez jamais qui vous êtes...
Evaluation : Ce livre m'a permis de sortir de ma panne de lecture ... C'est le seul bon point que je lui accorde : très addictif ! Mais chaque scène où il y a de l'action se termine comme ceci : "elle se réveilla en sursaut". "Son imagination allait trop vite". Sincèrement, ça m'énerve ^^ On croit être dans le réel et au final non il faut revenir en arrière car s'était un rêve ... Une fois, ça va ^^ mais tout le long du livre c'est chiant ! Si bien qu'on ne sait plus très bien où est le réel, où est l'imaginaire !
Déçue par la fin, j'espérais autre chose ... Mais bon l'envie d'en découdre était bien là. Bon moment sans plus !
Extraits / citations : * Marie avait été troublée par cette beauté sauvage la première fois qu’elle l’avait rencontré. Et monsieur Lee continuait de la fasciner. Le genre d’homme dont toutes les femmes auraient rêvé. En apparence… Car, de tous les patients qu’elle avait eu l’occasion de traiter, Jack Lee était de loin le plus tourmenté. La colère le rongeait. L’amertume le consumait. Pour lui, l’espèce humaine n’était qu’une erreur de la nature.
Anamnèse de Salvatore Minni
Direction Bruxelles où Marie est psychalyste.
La journée, elle écoute ses patients et partage une amitié sincère avec son assistante. La nuit, elle fait toujours le même cauchemar glaçant. Qu'est-ce qui la lie à ce cauchemar ? Entre cauchemar et réalité où se trouve la frontière ?
Un roman qui tient en haleine jusqu'au bout avec une fin surprenante.
Un auteur à découvrir !
Membre du comité de lecture des éditions “Les Nouveaux Auteurs”, j’avais découvert la plume de Salvatore Minni lorsque j’avais choisi, lu et noté son manuscrit anonymisé de son premier livre, « Claustrations », qui fut ensuite publié par IFS.
Salvatore Minni aime les thrillers psychologiques et faire que ses lecteurs remuent leurs méninges et tirent leurs cheveux à la lecture de ses livres. Encore ici, l’histoire fait qu’il vaut mieux le lire de manière reposée pour en comprendre toutes les subtilités.
Même si j’ai respecté cette atmosphère, j’en ressors un peu mitigée malgré tout. Je ne peux pas dire que je n’ai pas aimé mais la fin m’a laissée de marbre. Je n’ai pas eu l’impression d’être surprise par le final et finalement, cela a eu un peu un effet flan (ça monte, ça grime bien et puis en fin de compte, cela s’écrase).
Je ressens vraiment un petit goût de trop peu. Il est vrai que lorsqu’un écrivain place la barre très haute avec son premier opus, il est parfois difficile et éreintant de tenir la distance en produisant une oeuvre qui soit aussi bonne ou à tout le moins au même goût que la première. Peut-être que j’aurais souhaité un peu plus de piquant, surtout que la quatrième de couverture m’en promettait en quelque sorte.
Contrairement à certains blogueurs ou blogueuses, je ne veux pas démolir ce livre, tout comme son auteur. Tout d’abord, pour la simple et bonne raison que je n’en vois pas du tout l’intérêt. Cela arrive lorsque les lecteurs d’un précédent bouquin adorent votre premier mais qu’à la parution, ils en ressortent déçus. Cela m’est déjà arrivé avec des auteurs mais ce n’est pas pour autant que je ne retenterai pas l’expérience et que je ne le suivrai plus dans le futur. Un auteur se doit aussi de se renouveler, d’essayer de tenter de toucher un autre type de lectorat. Donc, sans rancune Salvatore, la prochaine cela marchera peut-être mieux entre nous deux
Vous est-il déjà arrivé de vous réveiller, au beau milieu de la nuit, dans le noir total, et d’essayer de sortir de votre chambre, en étant complètement désorienté ? Ça rend fou non, au bout d’un moment ?
Si oui, vous comprenez ce que j’ai ressenti à la lecture du deuxième roman de Salvatore Minni. Ce sentiment de se cogner aux meubles, de chercher l’interrupteur, dans le noir complet, m’a étreint dès le début de ma lecture.
Ce ne fut pas pour me déplaire tout au long de la première partie. J’avoue avoir pris un plaisir presque malsain à m’égarer dans un récit aux multiples personnages, tous plus mystérieux les uns que les autres.
Pourtant, à mon grand regret, sur la durée, ça a plutôt fini par m’agacer et c’est avec soulagement que j’ai pu enfin sortir du noir en terminant le livre. J’ai hélas fini par me désintéresser de ce trop plein de personnages qui ont fini par me paraître de moins en moins incarnés.
J’avais beaucoup aimé le premier ouvrage du même auteur, Claustration, qui avait follement fonctionné sur moi. Peut-être trop bien d’ailleurs car, du coup, les ficelles utilisées dans ce roman-là, me sont apparues comme déjà connues et la chute ne m’a pas offert l’effet voulu.
Je ressors donc de ma lecture plutôt indemne mais pas foncièrement très convaincu. Il reste un roman dans lequel on pénètre comme on tombe en plein cauchemar, où on veut malgré tout connaître le fin mot de l’histoire. Il pourra peut-être surprendre beaucoup d’entre vous !
On ne va pas se mentir, je ressors très mitigée de cette lecture.
La première partie est pourtant excellente, énigmatique et piquante à souhait dans son flirt avec la folie : Marie, psychanalyste, est hantée par de terribles cauchemars qui mettent en scène une femme en sang, à l'agonie, ligotée, qui l'implore. Un des ses patients la fascine par la violence de ses réactions et la rage qui semble le ronger depuis la mort de sa femme et de sa fille. Un homme étrange la harcèle en l'appelant Vanessa, comme s'il la connaissait. Tout est en place pour se régaler avec les codes du polar psychologique.
Mais voilà, j'ai trouvé la deuxième partie terriblement maladroite voire ratée par moments. C'est là que j'attendais une montée en tension insoutenable, mais j'ai complètement décrochée à cause d'incohérences temporelles gênantes : d'habitude, j'apprécie le procédé de l'ellipse mais là, ça ne fonctionne pas, comme s'il manquait des passages entiers qui auraient du être là. Surtout, l'invraisemblance des réactions des personnages m'a bloquée. Par exemple, l'amie de Marie, Sophie, réagit de façon très bizarre en acceptant tranquilou de diner et flirter avec le harceleur de sa copine. Ces maladresses sont accentuées par des dialogues très clichés « feuilleton TV » qui sonnent faux.
La troisième partie est, elle, réussie, très bien traitée et tout s'éclaire ( si jamais on n'avait pas compris les ressorts principaux de l'intrigue ), on revient sur une ligne claire et pertinente. Mais elle ne fait qu'une trentaine de pages , pas assez pour faire oublier ce qui a précédé. Bien sûr, ces dernières pages peuvent justifier les flottements et les invraisemblances de la deuxième partie.
Une anamnèse désigne en psychiatrie le retour à la mémoire du passé, vécu, oublié ou refoulé. C'est un ressort passionnant pour un polar ( le sommet avec Shutter island du grand Dennis Lehane ), je regrette qu'ici, cela n'ait pas fonctionné avec moi.
Prologue : Rosalie, 35 ans est assassinée chez elle. Son meurtrier grave sur son ventre, à l’aide d’une lame le nom SHIVA.
De nos jours : Marie psychanalyste, est en proie à de terribles cauchemars. Ses cauchemars vont en s’aggravant quand elle commence à recevoir les appels étranges, d’un certain Paul, l’appelant pas un autre prénom, Vanessa, et la sommant d’avouer ses crimes. Hors, elle ne voit pas du tout de quoi il parle, et ne le connaît pas.
Premier roman de cet auteur que je découvre et je suis assez perplexe. Pourquoi ? Parce qu’il y a du très bon, mais aussi, du beaucoup moins bon.
Il y a des passages géniaux, avec des personnages bien travaillés, on sent leur mal-être, surtout le calvaire que Paul a vécu en prison. J’ai également beaucoup aimé la fin qui est surprenante, même si on imagine un peu la trame psychologique qui se joue, l’auteur nous distillant quelques informations aux fils des pages.
Mais voilà, trop de personnage principaux, certains ne servent à rien, comme François le frère de Marie n’apporte rien. Des incohérences également, au début du roman, on a l’image d’un Paul rempli de désir de vengeance, et, en tournant les pages, il devient un homme parfait, bien sous tout rapport, avocat, on ne comprend plus rien. Tout me parait surréaliste. Des longueurs à n’en plus finir, j’ai fini par me perdre, on passe trop vite d’un personnage à un autre, et il y en a tellement qu’on a du mal à tout retenir, on tourne vite en rond.
On a la sensation que l’auteur cherche encore ses marques, son style.
Pour résumé, je suis assez mitigée quant à cette lecture, ni trop positive ni complètement négative.
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