Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous
gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la
communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !
Actuellement on peut voir cette émission sur la 5 le jeudi soir. Nous l’enregistrons mais il existe des DVD à la Fnac par exemple.
Bonne journée( ici la chaleur commence à s’appesantir)
Amicalement
Ok merci. Merci beaucoup pour cette précision. Belle et bonne journée chaleureuse !
ACCROCHE : Vous voyagez dans une voiture, (ou un train, ou un car, ou…) La tête calée contre la vitre, le paysage défile. Racontez.
J'entends le tac à tac incessant des roues qui frappent le rail. Ma tête brinquebale d'un côté à l'autre , sans répit. .mais je me sens bien , bercée par mes souvenirs d'enfant , j'aperçois le vert des arbres au loin, j'entends le bruit diffus d'un oiseau qui en appelle un autre ; et dans le ciel bleu glacé qui transperce ma tête , je vois rejaillir de temps en temps une volute blanche pleine d'une pluie certaine ...Mais là , pelotonnée , abandonnée contre cette vitre , je rêve d'un avenir où les vaches me salueraient depuis leur prairie , ou les fermiers me reconnaîtraient , où le poinçonneur viendrait me faire la causette et me rappeler combien il était doux le temps passé .
J'entends le tac à tac incessant des roues qui frappent le rail. Ma tête brinquebale d'un côté à l'autre , sans répit. .mais je me sens bien , bercée par mes souvenirs d'enfant , j'aperçois le vert des arbres au loin, j'entends le bruit diffus d'un oiseau qui en appelle un autre ; et dans le ciel bleu glacé qui transperce ma tête , je vois rejaillir de temps en temps une volute blanche pleine d'une pluie certaine ...Mais là , pelotonnée , abandonnée contre cette vitre , je rêve d'un avenir où les vaches me salueraient depuis leur prairie , ou les fermiers me reconnaîtraient , où le poinçonneur viendrait me faire la causette et me rappeler combien il était doux le temps passé .
J'entends le tac à tac incessant des roues qui frappent le rail. Ma tête brinquebale d'un côté à l'autre , sans répit. .mais je me sens bien , bercée par mes souvenirs d'enfant , j'aperçois le vert des arbres au loin, j'entends le bruit diffus d'un oiseau qui en appelle un autre ; et dans le ciel bleu glacé qui transperce ma tête , je vois rejaillir de temps en temps une volute blanche pleine d'une pluie certaine ...Mais là , pelotonnée , abandonnée contre cette vitre , je rêve d'un avenir où les vaches me salueraient depuis leur prairie , ou les fermiers me reconnaîtraient , où le poinçonneur viendrait me faire la causette et me rappeler combien il était doux le temps passé .
Très joli. Et en plus, j'adore l'idée des vaches qui vous saluent. "Une jolie vache déguisée en fleur" comme dirait Brassens!
J'entends le tac à tac incessant des roues qui frappent le rail. Ma tête brinquebale d'un côté à l'autre , sans répit. .mais je me sens bien , bercée par mes souvenirs d'enfant , j'aperçois le vert des arbres au loin, j'entends le bruit diffus d'un oiseau qui en appelle un autre ; et dans le ciel bleu glacé qui transperce ma tête , je vois rejaillir de temps en temps une volute blanche pleine d'une pluie certaine ...Mais là , pelotonnée , abandonnée contre cette vitre , je rêve d'un avenir où les vaches me salueraient depuis leur prairie , ou les fermiers me reconnaîtraient , où le poinçonneur viendrait me faire la causette et me rappeler combien il était doux le temps passé .
Merci à toutes ... Moi je me régale avec vos jolis textes plein de rêves ... Prenez soin de vous les filles
Coucou , je vous propose d'écrire une suite à cette phrase extraite de " ce qu'elles disent " de Miriam Toews
"Quand j'étais petit(e) , ma mère( prénom de la maman) me donnait du papier d'emballage pour dessiner....."
A vous d'imaginer des souvenirs ou décrivez ceux qui vous reviennent à ce propos à la suite de cette phrase. Amusez- vous bien...
Coucou , je vous propose d'écrire une suite à cette phrase extraite de " ce qu'elles disent " de Miriam Toews
"Quand j'étais petit(e) , ma mère( prénom de la maman) me donnait du papier d'emballage pour dessiner....."
A vous d'imaginer des souvenirs ou décrivez ceux qui vous reviennent à ce propos à la suite de cette phrase. Amusez- vous bien...
REPONSE à l'ACCROCHE DE DOMINIQUE:
Quand j'étais petit, ma mère Adélaïde, me donnait du papier d'emballage pour dessiner. Pendant la guerre, on ne jetait rien, et surtout pas le papier qui était si précieux. Comme les Chinois écrivant des poèmes sur des grains de riz, ma mère écrivait les siens sur des confettis ! Quant à moi, il me fallait de l’espace pour tracer des routes reliant Paris à Toulouse, là où ma grand-mère Marie m’attendait sur le pas de sa porte.
Zigzagant par monts et par vaux, dans la France entière, ma petite voiture rouge, guidée d’une main experte, roulait à toute allure sur le papier. Malgré les dérapages incontrôlés, et les accidents de parcours, elle arrivait tout le temps à destination ! Sous le regard ébloui de ma grand-mère, toujours debout sur le seuil de sa maison, je garais systématiquement ma décapotable dans la cour du château. Puis je sautais allègrement par-dessus la portière, et me jetais dans les bras de Marie, ma mémé bien aimée. J’étais alors le plus heureux des Titis Parisiens.
Messages : 2072
Le 06/09/2021 à 11h29
Bonne journée( ici la chaleur commence à s’appesantir)
Amicalement
Ok merci. Merci beaucoup pour cette précision. Belle et bonne journée chaleureuse !
Messages : 646
Le 07/09/2021 à 22h24
J'entends le tac à tac incessant des roues qui frappent le rail. Ma tête brinquebale d'un côté à l'autre , sans répit. .mais je me sens bien , bercée par mes souvenirs d'enfant , j'aperçois le vert des arbres au loin, j'entends le bruit diffus d'un oiseau qui en appelle un autre ; et dans le ciel bleu glacé qui transperce ma tête , je vois rejaillir de temps en temps une volute blanche pleine d'une pluie certaine ...Mais là , pelotonnée , abandonnée contre cette vitre , je rêve d'un avenir où les vaches me salueraient depuis leur prairie , ou les fermiers me reconnaîtraient , où le poinçonneur viendrait me faire la causette et me rappeler combien il était doux le temps passé .
Messages : 2072
Le 08/09/2021 à 08h15
Merci beaucoup aussi pour ce joli texte!
Messages : 645
Le 08/09/2021 à 09h01
Très joli. Et en plus, j'adore l'idée des vaches qui vous saluent. "Une jolie vache déguisée en fleur" comme dirait Brassens!
Messages : 2072
Le 08/09/2021 à 13h13
Exactement !!!
Messages : 646
Le 11/09/2021 à 14h01
Merci à toutes ... Moi je me régale avec vos jolis textes plein de rêves ... Prenez soin de vous les filles
Messages : 646
Le 11/09/2021 à 14h11
"Quand j'étais petit(e) , ma mère( prénom de la maman) me donnait du papier d'emballage pour dessiner....."
A vous d'imaginer des souvenirs ou décrivez ceux qui vous reviennent à ce propos à la suite de cette phrase. Amusez- vous bien...
Messages : 2072
Le 11/09/2021 à 15h04
Tout pareil, prenez soin de vous tous. Et tous.
Messages : 2072
Le 11/09/2021 à 15h09
Lol.
Messages : 645
Le 12/09/2021 à 07h46
"Quand j'étais petit(e) , ma mère( prénom de la maman) me donnait du papier d'emballage pour dessiner....."
A vous d'imaginer des souvenirs ou décrivez ceux qui vous reviennent à ce propos à la suite de cette phrase. Amusez- vous bien...
REPONSE à l'ACCROCHE DE DOMINIQUE:
Quand j'étais petit, ma mère Adélaïde, me donnait du papier d'emballage pour dessiner. Pendant la guerre, on ne jetait rien, et surtout pas le papier qui était si précieux. Comme les Chinois écrivant des poèmes sur des grains de riz, ma mère écrivait les siens sur des confettis ! Quant à moi, il me fallait de l’espace pour tracer des routes reliant Paris à Toulouse, là où ma grand-mère Marie m’attendait sur le pas de sa porte.
Zigzagant par monts et par vaux, dans la France entière, ma petite voiture rouge, guidée d’une main experte, roulait à toute allure sur le papier. Malgré les dérapages incontrôlés, et les accidents de parcours, elle arrivait tout le temps à destination ! Sous le regard ébloui de ma grand-mère, toujours debout sur le seuil de sa maison, je garais systématiquement ma décapotable dans la cour du château. Puis je sautais allègrement par-dessus la portière, et me jetais dans les bras de Marie, ma mémé bien aimée. J’étais alors le plus heureux des Titis Parisiens.