Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
ou comment essayer de se rendre intéressant quand on s'ennui,
très bof !
La honte d'avoir honte ... mais cela ne fait pas un bon roman ! Désolée ...
En 1995, Thiphaine SAMOYAULT se porte volontaire pour enseigner à Sarajevo. C'est la guerre, la ville est assiégée. Mais Thiphaine n'est pas dupe à propos de son engagement, elle est bien consciente de ne pas agir seulement par altruisme. Et elle a honte. En 2010, la voilà de retour en Bosnie, après 15 ans d'absence. C'est l'occasion pour elle d'analyser cette honte qu'elle partage avec sa génération, honte de ne pas avoir connu la guerre, de n'avoir participé à aucun combat. Plus largement, elle explore la honte qu'elle porte en elle depuis toujours.
Page 76, à mi-chemin de la fin, je jette l'éponge. Je ne comprends rien à toutes ces considérations pseudo-philosophiques, à tous ces questionnements oiseux. Trompée par la collection "Fiction & Cie", je me suis retrouvée à lire un essai et non un roman, genre de littérature que je ne prise guère, surtout quand il est indigeste et narcissique, comme c'est le cas ici. Ecriture volontairement absconse, posture intellectuelle, propos alambiqués, récit sans intérêt. A fuir.
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