Aurélie Filippetti nous raconte l'histoire d'un amour défunt. La narratrice a follement aimé un homme, plus âgé, marié, père de deux enfants. Un homme qui pourrait être son père si ce n'était la différence de classe sociale qui les sépare. Lui est un bourgeois, sûr de sa condition et de son éducation. Elle a grandi dans un milieu beaucoup plus modeste. Et cette différence les sépare irrémédiablement. Il ne renoncera pas à sa vie confortable ; ils ne partiront pas ensemble. Elle gardera l'homme dans sa poche, partout avec elle, « son amour » comme elle l'appelle encore, longtemps, longtemps après la fin de leur histoire. Un livre déchirant.
J’ai acheté ce livre parce que le nom de cette ancienne ministre ne m’était pas inconnu.
C’est une histoire d’amour entre une femme plutôt jeune, issue d’un milieu modeste, et un homme d’âge mûr d’un milieu aisé.
Il a rompu et elle ressasse leur histoire.
C’est confus et brouillon, répétitif, disons le mot, pénible.
J’ai sauté pas mal de pages.
Elle s’englue dans cette histoire, passe d’une période à l’autre sans suivi, évoque ses parents.
Le seul point qui me fait mettre une étoile et demie, c’est l’évocation du monde des mineurs et le respect qu’elle leur porte, hommage à son lieu d’origine, Villerupt.
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