Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
La prédication averbale (dénuée d'un prédicat verbal, par exemple «Bas les pattes !») est souvent rejetée aux marges de la prédication alors que la prédication verbale tient le devant de la scène dans la plupart des théories linguistiques actuelles, alors même qu'elle constitue un paradigme de recherche qui doit être considéré à part entière. Ce numéro a deux caractéristiques majeures. D'une part, il présente des contributions de langues non indo-européennes (le finnois, le hongrois, l'hébreu) qui, provenant d'horizons peu familiers à notre appréhension linguistique, apportent un éclairage essentiel sur la prédication averbale, car celle-ci y apparaît comme une structure grammaticalisée. D'autre part, il explore les paramètres qui sont propres à la dimension de l'oral, notamment prosodiques pour fouiller davantage la notion et tenir compte de l'ensemble des marqueurs linguistiques susceptibles de la faire apparaître en discours.
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