Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
Un texte épuisé depuis des décennies, enfin réédité.
Il fallait toute la malice d'un Louis Gillet pour parvenir à introduire un auteur interdit de publication aux États-Unis pour obscénité dans le bastion de la littérature officielle et académique. Le premier, il a parlé au grand public de James Joyce, depuis la tribune de la Revue des Deux Mondes où il tenait la chronique « Littératures étrangères ». Recueil principalement constitué de trois études critiques, augmenté d'articles de presse, Stèle pour James Joyce décrit les étapes d'un voyage, une sorte d'odyssée. Louis Gillet explique ici l'oeuvre d'un des plus grands romanciers du xxe siècle et en dégage toute sa beauté et sa grandeur.
Un livre-clé écrit dans une langue souple qui est à la fois une biographie, une aventure intellectuelle de quinze années et surtout l'histoire d'une conversion - d'une froide suspicion à l'admiration la plus totale.
Une introduction particulièrement claire à une oeuvre majeure du xxe siècle.
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