Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Versé autant dans les arts libéraux que dans les arts mécaniques, Spinoza fut aussi tailleur de verre à Amsterdam, sans doute acteur de théâtre, probablement dessinateur. Il fréquenta la boutique d'antiquaire de Franciscus Van den Enden et fut proche de la société des arts Nil volentibus arduum ; il habitait non loin de Rembrandt et Potter et appréciait la compagnie de peintres et de décorateurs. Élaborée au coeur du siècle d'or de la peinture hollandaise, cette philosophie a souvent inspiré les artistes. Comment expliquer un tel regard non philosophique sur une philosophie qui ne présente pas une pensée développée sur les arts ? Comment expliquer qu'on ait tenté d'emprunter les voies de l'esthétique pour pénétrer une philosophie qui ne constitue pas ce champ de réflexion en un domaine autonome ? A défaut d'avoir une esthétique à proprement dit, le spinozisme n'en contient pas moins une profonde réflexion sur les arts et leurs usages au sein d'un projet d'éthique conçue comme art de vivre.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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