Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Le philologue commente, le scholiaste explique, le grammairien instruit : au public (scolaire ou lettré selon le cas) chacun fournit des éléments pour comprendre les textes anciens. À défaut d'une langue (variable selon l'époque et le lieu), un langage leur est commun, celui de la parole seconde ou suscitée.
La philologie a pour espace naturel le métadiscours, lequel possède sa grammaire, sa syntaxe et son vocabulaire. L'usage que les érudits (XVIe - XIXe siècles) font du latin véhiculaire (puis de leur idiome vernaculaire respectif) dans le cadre particulier du commentaire philologique mérite une analyse circonstanciée. Comment écrit le philologue, quels sont les principaux traits du langage dont il use, quelle tradition idiomatique dessine la production philologique : autant de questions auxquelles il est possible d'apporter quelques réponses.
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