Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Un Serge en noir et blanc, un Gainsbourg différent, un homme obsédé par la mort.
Gainsbourg est mort il y a quinze ans. Oui, et alors ?... Alors, laisser passer les commémorations nauséeuses, les hommages circonstanciés. Il est si facile de se dire l'ami d'un mort, on ne craint pas sa désapprobation !.... Oublier les personnes autorisées qui n'ont de cesse de nous répéter qu'elles l'ont bien connu, qu'elles étaient là à telle ou telle occasion. Ces gens-là, quand ils parlent de Gainsbourg, ils font des grands ploufs ou des grands flops quand on aimerait entendre des shebam et des wizz.
Revoir Gainsbourg et corriger. Eviter poncifs et rabâchages, voir ailleurs. Oublier frasques et provocs, clowneries et conneries. Prendre Gainsbourg à rebours (cf. Huysmans). Redonner au personnage sa dimension tragique et à ses maux leur sens. Lire Gainsbourg dans le texte, entre les lignes. Déflorer les filigranes et redorer le blason noir. Gainsbourg est mort, voyage au bout d'une vie... Mais où situer le mystère, si la mort rien fut pas un ? Raisonner par l'absurde.
Se dire que si la mort ne fut pas l'énigme, c'est qu'elle était toute entière dans la vie. L'énigme ? Non la mort ! Serge Gainsbourg, victime de son époque.
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