Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
Remorques se regarde comme un aplat détrempé ou un rouleau déplié.
Là réside la modernité du film : dans son absence d'épaisseur métaphysique ou de densité psychologique, dans son refus de l'invisible et de toute poésie factice, c'est-à-dire dans le rendu de la prose du monde. dans la mesure où toute la douleur du monde semble s'être logée dans le tueur d'andré laurent (jean gabin), la souffrance n'est pas liée au conflit entre l'individu et l'univers. elle se dilate à la mesure du cosmos.
Sans appel à la sublimation. sans appel à la réconciliation entre l'homme et les choses. juste la description d'une douleur sèche.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
Découvrez 5 romans en format poche et tentez de les gagner...
Lovecraft comme vous ne l'avez jamais lu, à travers une sélection de lettres qui rend son univers encore plus complexe et fascinant
Des conseils de lecture qui sentent bon la rentrée !