Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Extrait de la préface d'Olivier Mongin, directeur de la revue Esprit : " Dessinant depuis toujours des théâtres, des lieux publics, Ariane Laroux se place fréquemment dans les lieux de rencontre, dans les rues et sur les places à Genève ou à Venise, dans les espaces dits de connexion. Dans les gares par exemple, à Bâle, à Berne ou ailleurs?: elle aime les gares, là où les paysages dessinent des corps humains mobiles car en transit. Ces espaces publics qui sont le ressort de la condition urbaine sont innombrables chez Ariane Laroux qui en dessine les traits majeurs, ceux de la mobilité humaine et du mouvement qui fait sens. Ces paysages urbains sont des portraits, des visages qui troublent... composé d'espaces publics qui mettent en commun des sites humains et géographiques, des corps, des scènes. Un commun qui est celui de la "?biographie?" de celle qui grave. Un commun dont tout le monde ne jouit pas, un commun qui se conquiert. Un commun qui, dans l'état de l'urbain contemporain est l'utopie concrète d'Ariane Laroux. "
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