Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Si l'on sait que Vialatte fut chroniqueur (Chroniques de " La Montagne "), romancier (Les Fruits du Congo) et grand traducteur (Kafka, Nietzsche, Franz Werfel), on sait moins, en revanche, qu'il fut aussi poète.La plupart des poèmes que propose La paix des jardins ont été écrits à deux périodes de sa vie: les années 1920 et les années 1950.Dans la première (il a une vingtaine d'années), ce sont des sortes de romances, où la mélancolie se marie au cocasse et engendre une tonalité tout à fait particulière, manifestant des parentés avec celles de Toulet, Levet, Laforgue ou Kipling, et où apparaît déjà tout le bric-à-brac imaginaire propre à l'auteur. Les poèmes de la fin (dont celui qui donne le titre au recueil) sont souvent plus graves, et peut-être plus beaux.Nouvelle édition, augmentée et complétée, d'un ouvrage paru en 1990 (La Différence). Nouveau choix de poèmes, mention des dates et origine de publication (revue, manuscrit, etc.).« On y décèle déjà le tour d'esprit (plus systématique) du chroniqueur incomparable, et les nostalgies parfois bouffonnes de l'auteur des Fruits du Congo. »La Nouvelle Revue française« Dans son jardin simple et candide, Vialatte ramasse ses pommes du Congo, cultive ses nostalgies exotiques. (...) Régalons-nous, une poésie de fin gourmet, et quelle maîtrise, jusque dans la facture du vers à la fois classique et chaloupée comme il faut »
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...