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Paco vit dans la Grande Maison au milieu d'un village qui ressemble au chaos. S'y mêlent ouvriers et paysans, pêcheurs et commerçants. Les mots de la langue du pays y résonnent, et aussi ceux d'une autre, brutale, sèche, que l'on enseigne du bout des lèvres à l'école. Heureusement qu'il y a les gros dictionnaires de Grand-Père où on peut découvrir ce que les mots veulent dire.
Quand la famille quitte le village pour la ville, c'est un chaos encore plus grand que Paco découvre. C'est un bouillonnement continu duquel fusent les cris « Vive la République! » et « Proletaris Unitat! » Une chance qu'il y a Concha, pour lui expliquer la politique, et lui révéler quelques autres mystères aussi. Et quand le chaos de la guerre emporte même ce chaos-là, Paco se retrouve jeté sur la route qui monte vers le nord, vers la montagne. Où l'attendent l'âme et le corps de Margarita.
Jacques Folch-Ribas donne ici un roman de guerre, qui est également un roman d'apprentissage, dont se dégage une infinie et déchirante nostalgie. Il y évoque une terre et une enfance, toutes deux irrémédiablement perdues, toutes deux inoubliables.
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