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Nouvelle société t.2 ; produire autre chose, autrement

Couverture du livre « Nouvelle société t.2 ; produire autre chose, autrement » de Pierre Jc Allard aux éditions Petites Vagues
Résumé:

Les réflexions de Pierre JC Allard, Québécois, avocat (Barreau du Québec, 1957) et économiste (Université de Paris, 1965) sont porteuses d'un puissant impératif de survie. Aux fondamentaux du capital, il oppose ceux de la finalité humaine d'une société soucieuse d'assurer à tous la paix,... Voir plus

Les réflexions de Pierre JC Allard, Québécois, avocat (Barreau du Québec, 1957) et économiste (Université de Paris, 1965) sont porteuses d'un puissant impératif de survie. Aux fondamentaux du capital, il oppose ceux de la finalité humaine d'une société soucieuse d'assurer à tous la paix, l'abondance et la liberté. Infatigable chercheur de vérité et très pragmatique passeur de solutions, il a été, au fil aventureux d'une existence de globetrotter et de « décideur », tour à tour moine itinérant en Inde (il a été formé chez les Jésuites) et négociateur international, conseiller juridique de Fidel Castro (1960-1961) et du gouvernement espagnol au temps du général Franco (1965-1966), expert-conseil au sein de nombreux projets privés ou publics à financement multilatéral ou bilatéral d'assistance au Tiers-monde (OCDE, UNESCO, BIRD, CEE). Il a été aussi le premier Directeur général de la Main-d'oeuvre au gouvernement du Québec (1967-1970) et un éminent spécialiste en droit civil et en droit corporatif. Directeur général de l'Institut de Recherche et de Normalisation économique et scientifique (IRNES), vice-président aux Affaires internationales de la Société d'Exploitation des Ressources éducatives du Québec (SEREQ), l'homme d'action a pris aussi le temps de la réflexion et anime l'un des sites politiques francophones les plus fréquentés (nouvellesociete.org). Sa parole fait autorité sur d'autres sites de référence.
Elle rappelle que l'aventure humaine peut continuer différemment, dans un cadre institutionnel, politique et éthique qui assurerait la stabilité d'une économie au service des véritables besoins sociaux. Le patrimoine commun de l'humanité peut être préservé - si précisément il reste commun.
Titre : Nouvelle société Tome 2 : La production Auteur : Pierre JC Allard (Habite Québec) Genre : traité d'économie et de société.
Format : 15/21, 300 pages, couv souple En trois mots :
Suite du tome 1 (La crise de l'abondance) qui analysait les dérives du capitalisme.
Ce volume donne les clés pour harmoniser société et capitalisme Sortie : juillet 2011 Collection : L'esprit des vagues Isbn : 978-2-35965-023-5 Prix : 18 euros Public : tout adulte intéressé par le monde actuel 9 782359 650235 Tome 2 La Production Pierre JC AllArd Tome 1 La Crise de l'abondance 35965-010-5 © tom-fotolia.com 782359 650105 Allard, Québécois, avocat et puissant impératif de survie.
Il oppose ceux de la finalité soucieuse d'assurer à tous la paix, Infatigable chercheur de vérité et très solutions, il a été, au fil aventureux et de « décideur », négociateur au sein de nombreux projets financement multilatéral ou bilatéral OCDE, UNESCO, BIRD, CEE).
Directeur général de la Main-d'oeuvre 1967-1970). Directeur général Normalisation économique vice-président aux Affaires d'Exploitation des Ressources l'homme d'action a pris aussi anime l'un des sites francophones nouvellesociete.org). Il est l'éditeur et plateforme Internet qui « traite parole fait autorité sur d'autres rappelle que l'aventure humaine dans un cadre institutionnel, assurerait la stabilité d'une économie besoins sociaux. Le patrimoine être préservé - si précisément il euros Nouvelle Société Pierre JC Allard esprit des vagues L' Le tome 1 est finaliste du Prix Turgot du livre d'économie catégorie «francophonie» 9 782359 650105 Ceci est le Tome 2 de la série Nouvelle Société. Dans le premier - «La crise de l'abondance» - nous sommes remontés quasi au déluge pour en redescendre et constater comment, vers le milieu du XXe siècle, l'humanité, presque sans s'en rendre compte, a franchi un seuil unique dans son évolution: elle a atteint l'abondance. Concrètement, il est devenu possible, hors des situations de crises exceptionnelles causées par la nature ou la bêtise humaine, de fournir le gîte et le couvert à tous les habitants de cette planète, sans efforts surhumains, mais en utilisant normalement les ressources et les techniques disponibles.
Si on regarde cette longue marche, il en ressort surtout une impression de relativement bienveillante fatalité. On ne voit pas trop comment l'humanité, étant ce qu'elle est, aurait pu bifurquer dans une autre direction. On essaye tout, puis finalement on trouve. Ainsi, cette dernière phase assez lamentable, depuis que nous avons atteint l'abondance, il y a une soixantaine d'années et n'avons réussi qu'à en tirer des inégalités croissantes devenues insupportables; il semble bien que la crise économique et financière actuelle y imposera une solution par l'absurde et que tout ce fric virtuel qu'on a créé pour que Pierre puisse écraser Paul est à se révéler une purée de citrouille. Et les douze coups de minuit sonnent déjà...
Une crise ? Tout accouchement est une crise. Dans le volume précédent, nous parlions de «métamorphose» ce qui, gémissements en moins, est bien le plus radical des accouchements, mais aucune raison de croire que celle-ci ne se terminera pas aussi pour le mieux. L'abondance, c'est ce que nous cherchions plus ou moins consciemment depuis des millénaires. Ce but maintenant atteint, il faut passer à autre chose. Comme toujours, on se recréera un projet d'éternité ou on trouvera un accommodement astucieux plus gratifiant pour vivre dans l'absurde.
Avant tout, cependant, il nous faudra faire le constat et le compte des bouleversements que signifie ce passage à l'abondance pour toutes les structures sociales et économique que nous avons mises en place depuis que nous marchons sur deux pattes et que nous vivons en groupes. Après une euphorie tempérée par le déni, l'humanité va s'apercevoir qu'il n'y a aucune de ses activités collectives actuelles qui ne doive être repensée.
Repensée à la lumière de ce simple fait que l'abondance transforme en un réseau de préférences et donc de choix ce qui, durant les siècles de pénurie, était un tissu dense d'obligations imposées par la survie. TOUT va donc changer. Il faudra s'y faire. Après le travail millénaire pour mettre au monde l'abondance, on mettra certainement quelques décennies à sortir du post-partum...
Un post-partum durant lequel, qu'on fasse, c'est encore produire qui sera au coeur de notre existence. Produire autre chose, produire autrement. mais produire ! Ce que décrit ce deuxième volume de la série Nouvelle Société, ce sont les étapes prévisibles des changements qui seront apportés pour adapter notre société à l'abondance et habituer la population à vivre dans cette société d'abondance.
La structure de ce second volume, comme du premier, est celle d'une collection de mini essais et chaque chapitre peut en faire seul l'objet d'une lecture. Il est résulte la répétition en leitmotiv de certains concepts, dont on m'a assuré qu'elle était tolérable. Mes regrets a ceux que cette redondance pourrait ennuyer. De chapitres en chapitres, j'apporte ici des points de repère. C'est en joignant les points par des traits et vous aurez une esquisse. Seulement une esquisse, car je n'ai pas la prétention de créer seul une Nouvelle Société. Vous devrez y mettre du vôtre.
Dans une première partie, nous allons voir de nouvelles règles du jeu pour produire, ainsi que les attitudes et les comportements qui conditionneront ces règles. Elles sont l'ossature invisible sur laquelle se développera la nouvelle structure bien visible du système de production. La liste ne s'en veut pas exhaustive, car elle serait longue, fastidieuse, et ce bouquin ne serait plus une collection d'essais mais un manuel.

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