Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Nous avons marché" se décompose en trois parties bien distinctes :
1/ Tarik(manuel d'exil) 2/ s'échapper échapper 3/ Tenir registre du silence Le lien entre les trois textes, est le thème récurrent de la fuite. De l'échappée.
Le premier texte est sur l'exil. Exil réel (de son pays, de sa communauté), mais également exil de la vie matérielle, exil de sa propre langue. Tarik est sur le chemin pour devenir le chemin.
L'écriture est heurtée, fragmentée, se construit sur ses revers, le texte est balisé par des dessins, des schémas.
La seconde partie est composée de courts textes sur le refus de toute forme d'enfermement (enfermement physique, moral, politique...) et la volonté de fuir. La fuite comme seule solution, comme lutte ultime, la fuite avec sa force vitale, mais également son impossible : il n'y a pas de fin à la fuite, mais le risque d'autres murs. La fuite également se compose comme une langue qui se réinvente en trébuchant...
La dernière partie est écrite en une seule salve, sans ponctuation, sans fin (puisque elle s'achève sans s'achever, phrase en suspens)... il y est question d'une échappée, d'une marche. C'est un texte sur la décision : décision de partir et de n'être plus qu'un départ, de n'être plus que l'échappée même ; décision de l'écriture enfin...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle