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Ne laissons pas mourir l'Eglise ; foi chrétienne et identité catholique

Couverture du livre « Ne laissons pas mourir l'Eglise ; foi chrétienne et identité catholique » de Paul Lowenthal aux éditions Parole Et Silence
Résumé:

De plus en plus de catholiques ont « mal à leur Église ». Cela signifie qu'ils la reconnaissent, qu'ils la respectent, qu'ils lui veulent du bien, qu'ils comptent sur elle et donc qu'ils l'aiment. Mais cela dit aussi qu'ils n'y trouvent pas ce qu'ils estimeraient devoir y trouver, pour les aider... Voir plus

De plus en plus de catholiques ont « mal à leur Église ». Cela signifie qu'ils la reconnaissent, qu'ils la respectent, qu'ils lui veulent du bien, qu'ils comptent sur elle et donc qu'ils l'aiment. Mais cela dit aussi qu'ils n'y trouvent pas ce qu'ils estimeraient devoir y trouver, pour les aider à réassumer la Parole de Dieu en Jésus Christ. Nier ce fait ou se borner à condamner l'insoumission, c'est fuir la réalité. Ce serait aussi abandonner la mission de l'Église qui est de proclamer la Bonne Nouvelle et « de toutes les nations faire des disciples ». C'est pourquoi de plus en plus de catholiques soucieux d'une foi adulte, personnellement assumée et vécue en conscience, prennent leur distance par rapport à l'autorité romaine.
L'auteur a voulu enrichir le débat sur la foi et l'Eglise en multipliant les éclairages. Il prend en compte la double dimension relationnelle de la foi chrétienne, l'Alliance proposée à la fois avec Dieu et entre les hommes. Il observe l'Église et « la » société, dans leur histoire et dans leurs interactions. Il envisage leurs implications individuelles et collectives, et intègre dans sa réflexion les dimensions théologique, philosophique, psychologique, anthropologique, sociologique et pédagogique. Le plus important est cependant ailleurs : la doctrine de la foi n'est pas la foi.
Celle-ci est vie confiante, attachement à une personne, et c'est elle qui compte. En disant sa foi et ses critiques, l'auteur reste néanmoins attaché à l'Église, parce qu'elle est la « mère » qui l'a fait chrétien et parce qu'il prend au sérieux la vocation de sacrement de Jésus Christ dans le monde que lui a reconnue le concile Vatican II.

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